Elie Guez

Module 2 accompagnement Projet Sens

Tous les modules sont en mouvement.


Nous voilà au module 2 de la découverte du Projet Sens.
"Le chemin se construit en marchant". Les commentaires et questions m'aident à revenir sur le chemin, placer de nouveaux panneaux indicateurs et de nouveaux dossiers.
L'essentiel n'est pas dans les dossiers mais dans l'alliance "je-tu" de nos échanges.
Alors si ce n'est pas encore fait, dis-moi pourquoi tu es là, ce que tu cherches, ce que tu aimerais recevoir, apprendre... Si tu es professionnel(le) parle-moi de ton parcourt et ce que tu souhaiterais ajouter à ton savoir-faire, savoir-être, savoir-devenir...

Tu peux écrire dans les commentaires de cette page.
Merci également de visiter la deuxième page du groupe mastermind et d'y laisser votre commentaire ...  en cliquant ICI 

Les Ateliers "COMPAGNONNAGE DE SOI" Sont terminés. Les vidéos sont encore en accès libre dans le menu et sur notre chaîne YouTube.
Vous y trouverez également tous les replays de nos webinaires
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https://www.youtube.com/user/guezelie/

Kabbale existentielle et coaching existentiel vidéo 2

Logothérapie historique vidéo 3 sur la souffrance

Extrait de cours  : La souffrance.
Notez ce qui résonne en vous. Ces notes sont certainement en rapport avec votre Projet Sens car vous résonnez aux mots qui touchent votre âme.

Dans le prochain module nous apprendrons à distinguer le but des objectifs. Nous introduirons le lâcher prise concernant les buts tout en nous donnant le maximum de chance de les voir se réaliser grâce à la force de l’intentionnalité spirituelle dans la loi d'attraction. Tout cela doit se faire en interaction avec votre motivation à aller plus loin,  ceci, même si vous n'êtes qu'observateur.

Genevièvre G.

Je voudrais répondre à la question du pourquoi et du pour quoi de mon engagement :

1- Je suis en chemin et j'ai besoin d'avancer avec d'autres chercheurs comme moi, qui ont le même centre d'intérêt et la même expérience de foi, avec qui je peux converser et me faire entendre, sans paraître pour une extra terrestre ou une "désaxée".

2- Je crois que la Bible est un pré-texte pour nous faire advenir à la vérité de qui nous sommes en vérité, individuellement et collectivement. Je chemine avec, depuis longtemps et je porte au fond de moi la question de l'universalité de ma tradition religieuse. J'ai même osé me confronter à d'autres approches pour dépasser toute religiosité et conforter mon ancrage.

3- Je pense que nous sommes effectivement en plein changement de paradigme et comme je ne me retrouve pas pleinement dans le modèle et le langage qui sont proposés, du style "Devenez la meilleure version de soi-même" sous entendu celle que vous choisissez pour vous, j'ai envie de proposer autre chose du style : Découvrez la meilleure version de vous-même, pas celle que vous imaginez mais celle que vous êtes dans votre ADN spirituel.

4- C'est en cela que je me suis reconnue dans le travail que tu as proposé, Elie, mais aussi dans la manière dont tu l'as proposé : espace ouvert à l'autre pour lui permettre d'advenir, sans projection ou attente.

Tel est mon axe personnel aussi. Sur un plan personnel, j'espère fonder une école où l'on apprend à aimer la Vie et à s'aimer. Pour moi, notre ADN spirituel, notre projet-sens, c'est le choix de la Vie ("Choisis la Vie" dans Deutéronome) qui est Amour. Encore convient-il d'apprendre cette posture qui consiste à accueillir plus qu'à com- prendre (prendre avec soi, à remercier plus qu'à revendiquer, à être présent à l'amour à chaque instant et en toute chose.

Et je pense que beaucoup de personnes aspirent à cela.

Genevièvre G.

Laissez vos commentaire en dessous. 

56 Comments

  • Fanny

    Reply Reply 19 mai, 2022

    Il me semble que L’épreuve est ontologique à l’homme, et que la souffrance est une façon d’interpréter l’épreuve. Evidemment cette distinction devient complexe dans des situations extrêmes comme dans les maladies graves ou les handicaps ou le corps physique est diminué. Cette limite agit alors comme la confirmation tangible de ce qui manque ou de ce qu’on a perdu. Comment trouver alors de la liberté dans un contexte d’irréversibilité. En nous déplaçant dans la conscience nous dit Frankl c’est-à-dire en effectuant un mouvement intérieur d’une dimension à une autre et permettre ainsi de changer de fréquence. C’est en effet à cet endroit que l’épreuve peut devenir une expérience plutôt qu’une fatalité subit. Je crois que si je suis ici c’est précisément pour trouver le chemin vers cette dimension qui reste intact afin de pouvoir accompagner au mieux les personnes.

  • Annie

    Reply Reply 12 avril, 2022

    J’entends que tout le travail d’aller contacter la source de la souffrance dans l’enfant intérieur, dans le trans-générationnel, dans l’intra utérin, dans ce que l’on appelle le « programmant » en décodage aura toujours une limite lorsqu’on ne sait pas d’où vient la souffrance ou l’émotion ressentie comme douloureuse. contacter l’inconscient spirituel pour aller réparer, certains appellent à contacter le « moi supérieur » ou autre appellation en étant méditatif en onde alpha ou théta pour que la personne puisse contacter sa part de source divine qui viendra « soigner » la partie blessée. Tout à coup alors que je m’imaginais un progrès grâce à l’épigénétique et la neurogénèse, j’entends que même à cette endroit je trouverai des limites et qu’autant ne pas savoir pour permettre à la cellule souche spirituelle d’opérer sa propre guérison.
    je rêve ici d’avoir accès à cela moi qui me sent enfermée souvent dans un besoin de comprendre et d’apprendre sans arrêt.
    Je voudrais cependant ne pas seulement « panser » au lieu de « penser » et pouvoir quand même redonner à mon corps la capacité à se libérer car mon problème est bien de ne pas suffisamment descendre dans mon corps. J’attire du coup beaucoup de personnes coincées dans le mental qui verrouillent pour ne pas faire l’expérience de la douleur par des compensations et pansements pour ne pas souffrir.
    La cellule souche spirituelle n’aurait donc une action que sur le nefesh et le rouah …la neshama elle reste intacte ?

  • Bernadette CAPPELLO

    Reply Reply 27 mars, 2022

    Qu’est-ce que vraiment la souffrance? N’est-elle pas à « géométrie » variable en fonction de mon lieu de vie, de ma famille, du contexte professionnel. etc…Sommes nous sur terre pour souffrir? Certes, nous avons tous des épreuves…Pour ma part, je préfère utiliser les termes « mises à l’épreuve »…surtout, vis à vis de moi même…les épreuves sont, je crois, comme des rites de passage, des clés pour ouvrir des portes…

  • Bernadette CAPPELLO

    Reply Reply 27 mars, 2022

    Quelle merveille ces lettres-guides sur le CHEMIN dont nul ne sait où il conduit…

  • sophie parazines

    Reply Reply 26 mars, 2020

    Ma souffrance profonde a été de m’incarner et de l’accepter. Je suis ici avec vous en conscience et ancrée maintenant. Il me reste la souffrance de la peur de la mort, du grand passage que j’ai côtoyé à 5 ans et qui laisse encore des blessures ravivées par ce virus maintenant que j’ai 50 ans depuis le 16 mars! 5, 50, est ce un cycle? Je dois avoir bien des choses à comprendre et à lâcher à présent.
    La souffrance n’est qu’un tremplin vers le renouveau, la découverte de la résilience, une leçon à apprendre pour vivre mieux et se défaire des scories du profane. C’est une guérison généalogique, on pourrait dire un don du soi, peut être 🙂

    • roeland

      Reply Reply 27 mars, 2020

      Bonjour sophie parazines, je peux comprendre; j’ai ressenti toute ma vie ce vide qui fait souffrir comme si je refusais l’incarnation. Ce refus de vivre a été avec moi longtemps; mais, depuis peu, j’ai un répit du fait d’avoir découvert quelques parcelles de vérité à mon sujet. Je me suis questionné et ai appris avec la numérologie, le tarot, et les lettres hébraïques et avec l’aide d’une introspection poussée, oui, j’ai appris un peu.
      Je peux comprendre ton questionnement qui me semble semblable au mien je crois?
      Note: je peux te donner une idée des nombres 5 et 50; du moins ce que j’en saisis?
      le : 5 est signe du changement qui est là.
      le : 50 est le Noun hébraïque, ce qui est à le poisson , le renouveau à identifier?
      Dans le aller vers Soi, sur le site : Calligraphie hébraïque plus d’information sur le Noun est disponible;
      https://calligraphie-hebraique.com/
      Si ça t’intéresse, tu peux cliquer sur le Hé et sur le Noun…
      Conclusion: je peux comprendre; pour moi, c’est le nombre : 6 et le 60 …
      Bonne continuité
      roeland

      • sophie parazines

        Reply Reply 27 mars, 2020

        Merci beaucoup pour ton message Roeland ! Cela parle énormément en effet. Cette mort qui m’a touchée à 5 ans était par noyade, et nous voilà au 50, le poisson que je suis aussi comme signe zodiacal et qui doit sortir de l’eau ! . Ce 50 est donc un passage tout comme le mem l a été il y a dix ans. Mes ressenties sont en adéquation avec tout cela. Merci encore beaucoup pour cet éclairage qui fait sens. Et pour le site de Souzenelle que j’apprécie.

        • roeland

          Reply Reply 28 mars, 2020

          Le plaisir a été le mien itou…
          Au plaisir d’échanger dans cette formation donc.
          À+
          roeland

  • Pascale-m

    Reply Reply 15 mars, 2020

    J’ai un mental très puissant, capable de me faire souffrir là où il n’y a pas de douleur.
    Une fois remis à sa place il se dégonfle comme un ballon de baudruche et je retrouve ma sérénité parce que je n’ai absolument pas besoin de souffrir pour progresser.

  • Nadeige

    Reply Reply 16 avril, 2019

    Bonjour Elie, bonjour à tous,

    Je ne sais pas vraiment parler de la souffrance. Pour ma part, je ne l’ai jamais vraiment sentie dans mon corps ou alors pendant seulement quelques jours et surtout enfant ou jeune adulte … et un enfant prend les choses comme elles viennent sans trop se poser de questions il me semble. Ma plus grande souffrance est une souffrance morale, j’ai le sentiment que c’est mon âme qui souffre et depuis que je suis enfant … c’est pourquoi je suis dans une quête permanente et depuis toujours …
    Par contre, je vis avec quelqu’un qui souffre physiquement depuis une dizaine d’années … et je me sens complètement impuissante … il est dans un enfermement dont il n’arrive pas à sortir et je ne peux qu’accueillir car il n’y a de place pour rien d’autre. Mais je ne peux m’empêcher de me dire que pour lui aussi c’est son âme qui souffre et qui le lui dit dans le corps.
    Ce que j’ai constaté en lisant des témoignages ou écoutant des conférences (comme celle de Nick Vujicik par exemple), c’est que les plus grandes souffrances engendrent l’amour … ces Êtres qui souffrent deviennent des Êtres qui semblent aimer inconditionnellement une fois leur souffrance transmutée … le dépouillement devant la souffrance semble permettre une véritable renaissance ∞

    J’aspire à ressentir l’amour envers tous les Êtres et le vivant et j’ose espérer que je peux y parvenir sans trop souffrir … même si cela semble incertain.

  • Danilo

    Reply Reply 19 novembre, 2017

    Bonjour et Merci. C’est difficil pour moi ecrire en francais mais je essai. Les temps et la grammaire frances est tres difficil, je sphére que vous ariez comprensive …

    Quand lise quelle que vous ecrive je le trouve trés en profoundeur. Je ecoute la force de votre aime. e je entre en resonance avec tous vous, en profond resonance.

    Je suis pas trop habitué a partager cette genes des choses. Suis plutout habitue a rester en silence … seul … mais sens me sentir seul.

    La sofference c’est en rapport au film que on vivons , et au processus de identification que on vas a nurrire.

    On pense, on croir que notre vite c’est la realite, et donq on vas en sofference. On resent de dolour. Ma c’est de l’illusion, et il fait mal !
    c’est ca que la rende realle.
    C’est pas semple de ce focalisser tout temps sur la Lumiére … mais c’est la chose milieu de faire. Je essai, et un jour peu-etre que D:ieu le permittra

    Merci a Tous

  • leoguez

    Reply Reply 18 août, 2017

    Ysabelle est une nouvelle inscrite aux modules gratuits. Elle n’a donc pas eu l’occasion de voir ce projet vacances.
    D’ailleurs ce qui ce partage ici est tellement fort, en tout cas à ce que je découvre dans la résonance, que je pense faire une halte dans un port pour inviter quelques membres.

  • Bonsoir,

    Je viens de lire tout vos commentaires ou plutôt je préfère dire je viens d’essayer de lire, car je serais bien prétentieuse si je dis avoir tout compris !
    Les commentaires de Ruth, bonsoir Madame m’ont donné mal à la tête tellement j’ai tenté de comprendre !
    ET puis tout à coup à force de me tordre le cerveau, j’ai ma petite voix bienveillante qui m’a rappelé, de lâcher ma zone de savoir !! Et de faire appel au petit professeur de mon inconscient spirituel !! J’avoue que cette partie de la vidéo m’a bcp parlé ! Je ne sais pas consciemment mais je sens que au final que tout ce que je viens de lire résonne en moi et me donne envie d’aller plus loin !
    Ysabelle

    • Je voudrais ajouter que j’ai eu ma dose de souffrance, aussi, je suis de celle qui pense que la souffrance est un passage obligé pour accéder à un niveau de conscience supérieur.
      J’aimerais croire que c’est faux, j’ai envie de croire que nous sommes sur Terre pour être dans la fluidité et l’amour et que nous n’avons pas besoin de souffrir pour être heureux. Sauf que pour le moment je n’ai personne qui m’a prouvé cette théorie !
      La question que je me pose, c’est : est-ce si grave de souffrir ? Je me suis aussi demandé ça lors de ma 3 accouchements. Péridurale ou pas péridurale là est la question ! Alcool, pétard, cachetons ou bourreau de travail…pour minimiser, cacher, oublier mais quand le mal-être est là il resurgit toujours à un moment donné. Rigolothérapie, ou anesthésie en tout genre, rien ne peut te faire oublier ta boule au ventre si tu ne la regarde pas en face un jour ou un autre. Ce que tu fuis te poursuis, ce à quoi tu fais face s’efface, j’adore cette maxime elle résume tellement bien la souffrance.
      La souffrance rien que le mot, ça fait peur ! Mais heuuuu non je ne souffre pas, je suis juste un peu mal ! Mais dois-tu accepter ce « juste un petit mal » ? Non personne ne devrais l’accepter, car ce n’est pas acceptable. Notre baromètre intérieur nous parle et nous devons l’écouter ou nous passerons certainement à coté d’une vie légère vivante et lumineuse.
      A toi de trouver ta formule pour en sortir il parait que là où il y a la volonté il y a le chemin ! Oui c’est vrai même si parfois il en faut une sacrée paire….de volonté !
      Ysabelle

      • leoguez

        Reply Reply 17 août, 2017

        Ysabelle, je te propose de lire l’article sur la souffrance dans le site. https://coachingexistentiel.com/souffrance
        25 commentaires à ce jour.
        Ceci dit dans notre groupe en master mind j’ai soulevé ta question. La réponse serait oui, même si c’est un état de fait de souffrir pour naître, pour grandir, cela n’a pas de sens du point de vue du projet créateur que l’accouchement de soit ou de l’autre passe par la souffrance. Le principe de l’accouchement dans la douleur et des souffrances qui s’en suivent, viennent du principe de la dualité ( arbre de la connaissance). Je ne peux en dire plus ici.
        Ce sont des questions profondes apparemment insoluble. Mais s’il y avait un possibilité d’une réponse de l’Un-possible alors ça vaut le coup de souffrir pour la dé-couvrir 😉

        • Merci pour cette réponse, je vais aller de ce pas, me nourrir de cet article et des commentaires. Et oui Elie tu l’auras bien compris, je cours derrière cette réponse comme Tom derrière Jerry !!! Et Dieu sait comme Tom souffre mais il continue à lui courir après, parce que finalement elle devient son amie, peut-être que la souffrance est devenue mon amie aussi et ce qui me donne l’impression d’en être sorti !
          Merci.

  • Christine

    Reply Reply 14 décembre, 2016

    Bonjour,
    Pour moi, la souffrance (que j’ai vécue également dans la durée) ramène tout d’abord au présent, nous qui vivons surtout dans le passé ou le futur.
    La souffrance permet aussi d’apprendre l’humilité. Humilité devant quelque chose de plus puissant que nous (la souffrance). Humilité également par le fait de ne plus pouvoir faire, de devoir se faire aider, laver…
    La souffrance permet également d’apprendre à accueillir ce qui est plutôt que de lutter, une fois que l’ on a accepté que rien ne pouvait soulager et que la douleur allait encore durer.
    Puis, lors des brefs moments de répit, la gratitude pour quelque chose qui nous paraissait tellement normal quand tout allait bien. Et les premières bribes de réponses à nos pour quoi.
    Après la souffrance vient le sens, la compréhension de cette étape, de cette pause nécessaire vers quelque chose de mieux.
    La prise de conscience également, que le corps nous avait déjà prévenu plus tôt, plus doucement, et que nous ne l’avions peut-être pas écouté…

    • leoguez

      Reply Reply 14 décembre, 2016

      Merci Christine
      C’est aussi l’expérience du vécu de la souffrance qui nous permettra d’accompagner celui qui la reçoit à son tour.

  • Mathieu NJ

    Reply Reply 5 décembre, 2016

    Bonsoir,

    Je remonte dans le train et dans le wagon 2.
    Pour moi la souffrance est une étape dans le processus de changement et de retour à l’Être, tant nous pouvons être pollué par l’expérience de l’exil et du monde, par héritage et expérience.
    La question effectivement qui est soulevé par Elie est cette souffrance sans objet ou encore inconsciente qui peut faire répétition dans nos vies. J’ai l’impression qu’elle peut s’approfondir au fur et à mesure que l’on peut être capable de la supporter.
    Bon je vais voir le module 3 et la suite…
    Bonne soirée. mathieu

    • leoguez

      Reply Reply 5 décembre, 2016

      Merci Mathieu pour ta présence active.
      As-tu parcouru l’article sur la souffrance?
      https://coachingexistentiel.com/souffrance

      • Mathieu NJ

        Reply Reply 13 décembre, 2016

        Oui je viens de le lire. J’aime bien l’idée d’apprendre à crier et hurler sa souffrance pour dire stop, comme Job. Et de renaître en acceptant son passage en nous. Mon expérience est dans le message de notre souffrance qui érode il me semble l’égo, qui érode l’orgueil, le savoir, nos croyances, nos images survalorisées de nous-mêmes et nos peurs et qui sont autant de leçons d’humilité. Le sens de nos souffrances est peut être aussi de nous extirper de nos histoires personnelles plus ou moins souffrantes et de nous faire connaître les archétypes sain(t)s de la création, ceux de la différenciation, de l’altérité et de l’amour.

  • Ruth

    Reply Reply 4 juillet, 2016

    Bonjour Elie, Bonjour à tous et à toutes,
    Commenter cet exposé sur la souffrance est difficile, en sachant comme Elie le précise qu’il s’agit d’un sujet tellement délicat, qu’on ne sait pas très bien comment l’aborder, sinon en rechercher le Sens ! peut-il y avoir un Sens à la souffrance ? quelle réponse apporter à cela ? Il semble qu’il n’y ait pas vraiment de réponse « au pourquoi » ? – et donc, c’est le « comment » qui est alors important – comment la neutraliser ?
    Beaucoup se sont penchés et scrutés ce qui pouvait justifier cette épreuve imposée, non choisie, sans l’avoir rechercher – D’un seul coup, comme un animal parfois féroce, elle vient terrasser un être, qui alors n’y voit qu’injustice et qui ne comprend pas – Il y a ceux qui vont se battre, et ceux qui vont se soumettre à une fatalité , tout dépend de la capacité de chacun à supporter la souffrance , en sachant qu’il y a des personnes (j’en ai connu) qui sont capables incroyablement de vivre en conscience leur souffrance physique et de la maitriser par la force de leur mental – Ceux-là n’ont semble-t-il pas besoin d’être aidés , en tous les cas seulement accompagnés comme ce qui semble être le cas de cet homme victime d’un handicap (la vidéo sur ce module) tel que né sans membres et qui semble respirer la vie !
    – Des penseurs, des philosophes, des théologiens, ont débattu de cette souffrance, et d’autres ont cherché à l’apaiser, à l’adoucir par des thérapies – Mais la « souffrance » est toujours là, tapie quelque part et prête à frapper, se servant de la moindre fragilité dans laquelle elle peut alors s’engouffrer !
    Or, je me disais, qu’elle a toujours été là ! et qu’elle se présente sous la forme d’une condamnation lors de la chute du jardin d’Eden ! « tu enfanteras dans la souffrance » dit D.ieu à Eve ! et « tu travailleras à la sueur de ton front » dit D.ieu à Adam ! On ne peut pas dire, que tout se passe dans la douceur – La Faute a engendré la souffrance – Au fond, cela fait partie du programme « si tu manges de cet arbre du Bien et du Mal, tu mourras ! »- Le Mal s’est concrétisé, cristallisé, et se manifeste tout de suite : « tu enfanteras dans la « souffrance » !
    Et de la même façon, que le « Mal » dans sa potentialité apparait à la brisure des vases, la souffrance « sa cousine » vient accompagner la chute d’Adam ! Nous sommes dans ces deux cas, face à la dualité et donc, on pourrait dire que nous n’avons pas d’autres choix que de l’assumer en recréant en soi l’Unité –
    Comment ? et qui peut oser aborder une telle question et donner des solutions ? Ne faut-il pas avoir vécu, soi-même « la souffrance », pour comprendre ou accéder à la souffrance de l’Autre, et dans ce cas à quel niveau ? car comme l’Amour, on pourrait dire qu’il y a des degrés dans la souffrance : celle du corps, celle de l’âme, celle de l’esprit et ces niveaux comportant eux-mêmes des degrés, certains pouvant être supportables et d’autres pas ! – Lequel de tous ces maux est le plus anéantissant ? On pourrait penser que tout va dépendre du niveau d’évolution spirituelle de chacun de ceux ou celles qui en seront victimes –
    Il y a des souffrances morales, qui touchent l’âme si profondément que l’être peut vivre un état de ténèbres tel, que cette souffrance intérieure est anéantissante et parfois plus douloureuse et plus difficile à dépasser qu’une souffrance physique – Certains mystiques peuvent connaitre cela, et tombent alors dans des nuits profondes ou seul D.ieu peut parvenir à les en sortir – Ces cas restent particuliers et font partie d’une échelle de valeur qui échappe à notre compréhension humaine – La perte d’un être cher, peut produire le même effet – Personne en dehors de D.ieu peut relever ces âmes – Et ce n’est que dans cette Voie là que l’on peut les aider –
    L’histoire de Job, ne peut qu’illustrer à quel point, à quel degré la souffrance peut atteindre l’humain :
    « mes entrailles ne cessent de fermenter…. Ma peau noircit et tombe ….
    Job crie vers D.ieu et vit dans sa chair et dans son âme, le drame de l’humanité, le drame de la souffrance « QU’IL NE COMPREND PAS » !
    La réponse est spirituelle et lorsque la réponse est là, la guérison est proche –
    On peut remarquer aussi que des âmes dont la hauteur spirituelle est particulière, des artistes aussi, qui ont pu être atteintes de façon violente dans leur corps par la mal a die(t) ont pu laisser des messages, des écrits, des chefs d’œuvre dont la hauteur tant spirituelle, qu’intellectuelle a atteint des sommets – D’où en déduire, qu’elles ont dépassé le stade de la douleur des sens, et transcender cette souffrance qui leur a fait accéder à un niveau d’Intelligence Supérieure, témoignant ainsi que l’on pouvait « apprivoiser » la souffrance – Comme si, dépassant le stade de l’humain elles atteignaient un niveau de surhumain – L’exemple de Rabbi Akiva témoigne que le niveau de spiritualité et de foi ou émouna, peut transcender la souffrance de façon tout à fait exceptionnelle –
    On peut alors en déduire qu’il est possible d’aider une personne souffrante à quelque niveau que ce soit, en l’aidant à développer la partie supérieure de son Etre, en passant de la Nefesh à la Nehamah L’éveiller ou la réveiller à une autre dimension que celle de la matière, du corps, des sens –Accepter l’épreuve et le combat en l’aidant à trouver un pôle d’intérêt qui puisse capter son attention – et aussi et surtout « l’aimer », être dans l’accueil, l’écoute et tout cela dans l’action , c’est-à-dire, la solliciter, être présent et disponible, bien sûr sans tomber dans le misérabilisme – Une personne qui est dans la souffrance a besoin « qu’on l’écoute » : l’écoute est comme un pansement sur une plaie, qu’est la souffrance – Tout cela pourrait activer cette cellule souche dont parle Elie, la faire sortir de « son sommeil » afin qu’elle entre en action là où elle peut apporter le bien de la guérison –
    En conclusion, la souffrance est un des sujets qui m’a le plus interpellée en étant de ceux qui considèrent qu’elle n’est pas nécessaire à l’évolution de l’être – Je la vois comme une nécessité pour le Tikoun, tant personnel que comme il est dit dans cet exposé, que sur le plan universel – La souffrance de chacun participe à la guérison de la Création et donc de l’humain en particulier, cette guérison étant le retour à la pureté originelle, celle d’avant la chute – Par la souffrance, ainsi offerte à la Volonté Divine, le Tikoun s’achèvera et le Bien sera alors la finalité de l’homme –

    • Eric

      Reply Reply 5 juillet, 2016

      Re-bonjour

      Je pense que l’homme au cours de sa vie, ne peut éviter la souffrance et c’est souvent dans la souffrance, s’il s’en sort, qu’il grandi, qu’il se transforme…Un jeune de 30 ans hier soir me disait, dans un cercle philosophique, que ce n’est pas l’âge qui comptait réellement pour atteindre une certaine maturité, mais l’expérience …Pour avoir des enfants de cet âge, je sais ô combien, il est difficile de transmettre une certaine sagesse, je pense même qu’elle ne se transmet pas, elle ne s’acquière que par l’expérience, enfin c’est mon point de vue…
      la souffrance est inéluctable, on en fait tous l’expérience…pendant cette période ou l’on souffre, il est très difficile de donner du sens à ce que l’on vit et très souvent, on en comprend le sens qu’une fois que l’on a traversé….Et pourtant donner du sens à ce que nous vivons permet de mieux traverser les épreuves, ce n’est pas seulement parce que je le sais, c’est juste parce que je l’ai expérimenté, ce qui pour moi confirme la différence entre le savoir et la connaissance…notre rôle, en tant qu’accompagnant est justement d’aider la personne souffrante à faire du sens de ce qu’il lui arrive, parce que seul, à l’image d’un poisson dans le bocal, on a plus de mal à prendre le recul nécessaire et se défaire de ses propres peurs…

      Bonne journée

      • Ruth

        Reply Reply 5 juillet, 2016

        Merci Eric pour cet apport complémentaire sur un sujet qui est tellement vaste et si particulier qu’on pourrait sans cesse y revenir et écrire plusieurs livres – C’est vrai que la souffrance peut permettre, une fois dépassée, d’en sortir grandi et plus fort, et aussi transformé – Mais il arrive que certains n’y parviennent pas et tombent alors dans la négation, dans le rejet de tout y compris de D.ieu qu’ils accusent alors d’injustice ! elle peut laisser une trace profonde indélébile –
        Le bien que peut en retenir la personne qui est passé par ce feu là, celui de la souffrance et qui s’en est alors « sortie » plus forte, peut mieux comprendre la souffrance de l’autre, et utiliser alors son expérience pour aider et accompagner cet autre, avec la sensibilité qui va lui permettre de s’introduire dans cette souffrance et l’ouvrir alors au Sens qu’elle l’invite à approfondir, à dé-couvrir afin de la conscientiser – En conclusion, Eric, nous sommes d’accord sur ces approches et cela montre que nous sommes dans un schéma de pensée tout à fait proche ce qui est très encourageant pour moi –
        Bonne soirée –
        (j’ai remarqué que mes post en réponse, arrivent « dispersés »…et pas forcément à la bonne place ! .. je dois cliquer au mauvais endroit ?? )

        • Eric

          Reply Reply 6 juillet, 2016

          Bonjour Ruth, Elie

          merci Ruth pour ce complément, je pense effectivement que nous dans un schéma de pensée proche et que nous sommes à la bonne place, y compris tes posts, je pense que c’est moi qui aie fait une erreur en répondant hier sous le message d’Elie..:-)

          Bonne journée..

  • Ruth

    Reply Reply 4 juillet, 2016

    Bonjour Elie, à tous et toutes –
    Après avoir pris connaissance de ce module, quelques réflexions très personnelles à la lumière de ce qui est dit : Il y a énormément de choses à développer à partir de ce petit cours, qui se retrouveront sans doute dans les prochains cours, ce qui d’ailleurs fait bien penser à « la Création » – le germe est semé !
    Les idées qui me sont venues en ce qui concerne le Tsimtsoum dont j’ai apprécié la présentation sous sa forme de kabbale existentielle
    – L’Origine de l’origine de la Vie, en même temps que des différents règnes dont la conclusion fut l’Homme qui donna l’existence à l’homme ne peut en effet qu’interroger – Et les réponses passent par tenter de comprendre cette Origine, pour mieux comprendre le Sens de notre existence, ce qui parait être l’objectif de ces cours –
    Ce petit cours ouvre le champ à beaucoup d’investigation et de questionnements face à ce Mystère de la Création – J’ai personnellement souvent cherché, comme il est fait ici allusion à la Femme qui est elle-même Matrice d’une « création », l’exemple qui pouvait faire mieux comprendre ce processus, mais bien sur avec ses limites ! En effet, la Femme qui est un « tout » libère en elle un espace dans lequel va se produire ce miracle, qui est création d’un être, et cela sans que pour autant son intégrité en soit changée, c’est-à-dire, qu’elle reste un « tout » – Simplement, elle va vivre un « tsimtsoum », une séparation – Mais le lien restera, même s’il est invisible – Comme le lien qui rattache, depuis toujours, l’Homme à D.ieu –
    Ce que je comprends, c’est que de la même façon, à l’Origine des origines, le « rien » contient le « tout », c’est-à-dire que le « rien » n’a aucune existence, et que l’Origine est le Tout dans lequel se meut la « Pensée de D.ieu » qui contient en potentialité le germe qui lui-même contient en lui toute la Création , en même temps que sa Finalité – Une image ! un gland – {qui nait de la sève contenue dans la branche, qui elle-même est alimentée par le tronc et les racines de l’Arbre, qui les racines sont nourries par la terre, qui la terre fait partie de la création, cette création qui nait de la Pensée de D.ieu qui est la totalité ] – et qui dans cette apparence de petite chose issue de ce qui paraît être « un rien » porte en lui ce « chêne » – tout est dans ce gland , de la même façon que tout est déjà dans la Semence qui va produire un petit d’homme , et toute la Création dans sa globalité est en germe dans la Pensée de D.ieu qui EST de TOUTE ETERNITE. IL est le « SANS FIN » –
    Et donc, le tsimtsoum s’inscrit dans une Action qui libère un espace, un don de soi, un effacement, afin de donner la « Vie » à l’autre, (ce que l’on peut faire de multiples façons – Donner la « vie » à l’Autre, c’est s’effacer, lui laisser son espace, tout en respectant, comme D.ieu Lui-Même, des limites ce qu’il créé lors de la Création, afin que sa Lumière conserve toute sa place , D.ieu restant la Totalité –
    Tout cela est un raccourci, aussi Elie, merci de me dire si j’ai commencé à comprendre et si je ne me suis pas trop égarée , en sachant que je retiens qu’il y a un élément important dans toutes ces « images » (l’homme a été fait à l’image et à la ressemblance de D.ieu) – c’est que l’on ressent dès l’origine, cette notion du « Bien », tout est « donné » – et peut être qu’à chaque fois, que « nous donnons » à l’Autre, peut être est-ce à chaque fois une nouvelle naissance ?
    Une autre question m’est venue : c’est lorsqu’on parle de « l’exil de D.ieu » ! pourquoi exil ? comment D.ieu peut-il s’être exilé ? Cette séparation (le tsimtsoum) je ne la comprends pas comme un exil – ou alors c’est l’homme qui l’a mis en exil en s’en éloignant. Mais Lui, le Tout Puissant reste « partout » chez Lui ? -( c’est une question ) –
    Je me suis dit également, que D.ieu était en faite, « Père et Mère », Il créé et met au monde ! – ce qui fait penser à la première partie de la Genèse qui dit : « D.ieu créa l’homme à son image , à l’image de D.ieu il le créa, homme et femme il les créa » – Le texte est ambigüe mais interpelle – ?
    Merci, Elie pour ces cours très éclairants et qui tendent à structurer la pensée – Je reviendrai sur les autres thèmes, dont la souffrance dans un deuxième post –

    • leoguez

      Reply Reply 4 juillet, 2016

      Commentaire très riche, et qu ouvre à beaucoup de questionnement. Tu trouveras un certain nombre de réponses dans l’enseignement du RAMHAL que j’ai partagé dans le site de kabbale existentielle.
      Ce qui m’interroge, puis que nous somme maintenant dans la phase réflexion sur les contenu et le sens à leur donner. C’est la centralité des retour que j’ai en ce qui concerne la kabbale. Je définissais mon projet ainsi
      Des professionnels ou des particuliers qui désirent développer une approche psycho-spirituelle dans l’accompagnement de personnes en crises existentielles sur le sens de la vie. Mes outils : Une approche spécifique en coaching existentiel et en logothérapie avec un enseignement en bonus ou option en kabbale existentielle. J’ai beaucoup de retour ou de question sur la partie kabbale peut sur la partie coaching existentiel et la formation que je propose. L’été est pour moi une mise en question du présent en devenir.
      Rester sur la formation psycho-spirituelle, séparer la formation de l’enseignement de la kabbale existentielle, abandonner la formation pour rester sur l’enseignement?
      Alors ? C’est une question que je pose à tous et que je reposerai certainement en interne.
      Merci Ruth pour m’ouvrir à ce champs de questionnement.

      • Eric

        Reply Reply 5 juillet, 2016

        Pour ce qui me concerne, j’aime bien cette triangulation, cette trinité entre Logothérapie, coaching existentiel et kabbale existentielle…

    • Eric

      Reply Reply 5 juillet, 2016

      Merci pour ce commentaire et les échanges qui s’en suivent.. c’est vraiment intéressant.. ce que je ressens de D.ieu en exile, je ressens comme si D.ieu avait le besoin de se retirer pour laisser apparaitre l’homme et lui laisser le choix de mener sa propre vie…Comme la mer se retire pour laisser apparaitre le monde terrestre….Mais bon c’est juste ma représentation….

      Eric…

  • Ruth

    Reply Reply 4 juillet, 2016

    Merci Elie, pour cet échange encourageant et qui me confirme que j’ai frappé à la bonne “porte” –- Pour moi, il m’apparait clairement qu’ayant pris semble –t-il cette “première Porte” (premier module) , que b’h, je ne vais pas “m’arrêter en route” si vous ne m’excluez pas de vos élèves ! En tous les cas, mon objectif dans le sens de cette démarche et d’aller, b’h , jusqu’au bout de cet Enseignement –
    Donc je vais, comme un explorateur, prendre connaissance de tous les mes-sages reçus sur ces deux jours et m’accrocher des deux mains (demain…. au plus tard) à ma table de travail .

    Je comprends que cela va être dense comme vous le dites, d’ailleurs cela part très fort vu le nombre de messages, (ce qui semble vouloir me bousculer ….) mais pour moi c’est un bien, car j’ai absolument besoin de “fixer mon attention” sur un objectif qui puisse “capter” durablement, c’est-à-dire avoir toucher “la cible”, et donc mon intérêt , dans le cadre de ma Recherche qui est tournée vers l’Absolu –ce qui semble être le cas dans ma participation à ce “Projet Sens” – A défaut, comme l’eau ou l’air qui ne se laissent enfermer, je me dilue sans que le But soit atteint et comme une météorite je poursuis une trajectoire dont D.ieu Seul connait le terme ou le ter-minus !!! – Cependant, comme le nom choisi, ou imposé par un Niveau qui ne s’explique pas (Ruth) je continuerai à me baisser derrière les moissonneurs pour ramasser les épis que la Volonté d’Ashem aura laissé pour moi –

    Pour répondre à cette question Elie, je demeure en France, en Normandie ….. Peut être un jour, si D.ieu le veut, j’irai en Israël – (j’attends que ma maison se vende dans des conditions normales, ce qui n’est pas évident en l’immédiat – pour réorganiser tout mon “système”) alors je laisse le temps au temps, puisque comme je l’ai dit, pour moi les Ames n’ont pas d’âge et n’appartiennent pas au Temps, mais à l’Eternité et donc mon Temps à moi, n’est pas le temps ordinaire
    Je me remets donc au travail très vite –
    Kol Tov – et à nouveau grand merci
    Ruth
    (je vais revenir pour les commentaires qui me viendront, concernant le contenu de ce module 2, que je vais avant réécouter )

    • Ruth

      Reply Reply 4 juillet, 2016

      Merci Eli pour ce retour – En ce qui concerne les Enseignements du Ramhal, je me remets sur Daat Tevounot – et je vais également
      prendre connaissance des vidéos sur le site Kabbale Existentielle – Pour les questions qui suivent, concernant les options d’enseignement et de formation, qui sont proposées et bien que je sois nouvelle dans ce groupe d’études et de partages, je ferais part des suggestions qui peuvent me venir – mais c’est vrai que n’étant pas dans l’historique et l’expérience de tout le parcours accompli, ma réaction sera peut être plus personnelle – En tous les cas, oups…. je continue !!

  • leoguez

    Reply Reply 15 juin, 2016

    C’est normal puisque tu entres à la fin du processus. J’avais laissé cette porte en conclusion de notre travail. La clé d’ouverture de la première porte est la dernière ( le yod). En faite cette porte Aleph ne peut que s’entre-ouvrir car elle contient le secret du Nom indicible. Pour ton information, tous les livres de la tradition hébraïque commence par la page 2. Explication lire le titre de la page 1.

  • leoguez

    Reply Reply 14 juin, 2016

    Attention la porte 1 est la dernière porte à découvrir, il est préférable de commencer par la porte Beth.

  • Eric

    Reply Reply 11 juin, 2016

    Le TSIMSOUN serait créer le vide, et laisser un espace afin que le monde, notre monde se créé. ne serait ce pas l’inverse de ce que nous faisons au quotidien, remplir nos placards, nos agendas, nos estomac, nos têtes de toutes sortes de futilités, histoire de s’occuper en attendant notre fin.. ne serait ce pas le contraire de la peur de s’ennuyer..la nature, n’a telle pas horreur du vide, donc pas de soucis, le plein se fera et certainement d’une autre manière!!
    enfin, je ne sais pas..:-)

    LA SOUFFRANCE:

    sortir de la souffrance, par un autre niveau de conscience d’où elle été créée, c’est peut être une piste !! on rejoint Albert EINSTEIN..
    cette cellule souche qui viendrait nous guérir, de nos souffrances, pourrait s’appeler la particule de Dieu…

  • Eric

    Reply Reply 11 juin, 2016

    la religion pour moi est une forme de spiritualité qui relie les Hommes sous des croyances communes. Une bonne religion est une religion qui fait grandir l’Homme..

  • Eric

    Reply Reply 11 juin, 2016

    cette leçon de vie, que Nick nous envoie, nous devrions, comme le manuel d’Epictète, l’avoir toujours à porter de main.

    Mais on peut la résumer aussi, en méditant sur le fait que  » ce n’est pas ce que la vie nous envoie qui est important, plus encore, c’est ce que nous en faisons, c’est comment nous régissons à ce que la vie nous envoie »
    Du bien en apparence, il peut en sortir du mal et du mal, il peut en sortir du bien…

    Du mal il m’est sorti beaucoup de bien. En demeurant calme, en ne réprimant rien, en étant attentif, en acceptant la réalité, mes émotions, mes passions, les choses comme elles sont et non comme je voudrais qu’elles soient , il m’est venu des connaissances singulières, et aussi des pouvoirs singuliers, tels que je n’aurais jamais pu me l’imaginer auparavant. Je pensais toujours que si l’on acceptait la réalité, les émotions, les passions, les choses en général, nous étions dominé d’une façon ou d’une autre; mais en réalité il n’en est rien, c’est seulement en les accueillant qu’on peut fixer sa position, poser ses choix par rapport à elles et trouver notre puissance d’agir. Désormais je jouerai donc le jeu de la vie en acceptant ce que la journée et la vie m’apportent à tout instant, bien et mal, soleil et ombre qui alternent d’ailleurs constamment, et en même temps, j’accepte aussi mon être propre avec ce qu’il a de positif et de négatif, le bon et le moins bon, ce qui me tire vers le haut et vers le bas et tout devient plus vivant. Je questionne mes représentations, mes passions et Je discerne entre ce qui vient de moi et ce qui ne vient pas de moi, ce qui me donne de la puissance et ce qui au contraire la diminue ce que je veux changer et ce que je ne veux pas changer et j’agis avec morale…

  • Eric

    Reply Reply 11 juin, 2016

    Pour moi la meilleur des religions, c’est celle qui relie les Hommes, qui mène notre humanité à l’unité.. La meilleure entreprise pour moi est celle qui fait grandir l’Homme. J’ai tutoyé cette philosophie et je peux dire quelle fonctionne, elle portait ses fruits, mais le toujours plus en a eu raison …
    Pour moi quelques soient notre religion, nos croyances, si cette religion ces croyances nous élèvent, nous donnent et donnent aux autres de la puissance d’agir, de l’énergie alors elle est bonne pour nous et pour le monde..
    On ne désire pas une chose parce qu’elle est bonne, mais on la trouve bonne parce qu’on la désire, alors soyons vigilants…et désirons ce qui nous fait grandir et grandir l’Homme…

    Enfin, c’est ce que je pense…ce n’est pas la vérité…

  • Eric

    Reply Reply 11 juin, 2016

    Bonjour à tous..

    Je suis dans le train je progresse en changeant de wagon, le but étant de me rapprocher du wagon de tête . Je progresse, chaque module, chaque porte, chaque expérience, le paysage change, les vibrations, les sensations sont plus fortes.
    je suis entré dans le train par le wagon de queue, je ne sais pas depuis quel wagon je descendrai, mais en attendant je chemine dans le train et change de wagon à ma guise. Comme dans ce module, je n’hésite pas à revenir au wagon précédant, car souvent c’est au wagon suivant que l’on comprend le sens, la nécessité ou la juste place du wagon précédent..
    Chaque jour nous prenons le train, mais ce n’est jamais le même train, puisque le contenu est toujours différent.. et selon la position que nous prenons dans le train, nous avons l’illusion d’avancer ou de reculer…Mais le train lui, avance toujours dans le même sens, et même si nous nous sommes quelques fois trompé de sens, le train lui ne se trompe pas, il avance et dans un seul sens..

    Bonne journée

    • leoguez

      Reply Reply 13 juin, 2016

      Bonjour Eric,
      J’aime beaucoup ta métaphore.
      En tant que tout nouveau à entrer dans la dance du jeu du « je », peux tu me dire en quelques phrases le bénéfice que tu y trouves. J’aimerai utiliser si c’est OK pour toi ton témoignage pour proposer cette aventure à d’autres prospects. Merci et à bientôt à Nice.

  • Transformance

    Reply Reply 18 mai, 2016

    Bonjour Elie, bonjour à tous

    Encore un bon moment passé avec ces vidéo et les différents textes mis à disposition. Je comprends un peu mieux dans la première vidéo, le sens de l’expression la nature à horreur du vide, encore une fois, je suis loin de comprendre avec mon petit cerveau, mais je comprends des choses avec mon corps, avec une partie de mon être divin, les mots me manquent… Concernant Nick! Je l’avais déjà visionné une ou 2 fois, et aujourd’hui cette vidéo fait encore plus sens pour moi et pour les petites souffrances que j’ai pu traverser dans ma vie…j’ai besoin de déguster, de savourer, je prends quelques jours de recul et je reviens très vite

    à très bientôt et encore merci…

    Eric…

  • Laurence

    Reply Reply 22 octobre, 2015

    j ‘entends l ‘inspiration que le thérapeute peut trouver dans la création
    insufler des cellules souches spirituelles pour réparer l ‘âme est une belle image d la contribution à une réparation
    vivre avec ce qui nous a été distribué est le secret d’une vie heureuse
    s’installer dans l’instant…
    la souffrance un des outils de la connaissance de soi, un des indicateurs du chemin
    et le partage Je Tu
    voilà ce qu j ‘ai pu glaner au fil de ma promenade dans ce module
    je me dirige vers le 3

  • leoguez

    Reply Reply 30 juin, 2015

    Toute les vidéos que je poste dans les modules ne sont que des invitations à introduction.
    En ce qui concerne l’intégration pédagogique, cela fait partie des cours que nous aurons dans le cadre de l’école dans la partie Kabbale existentielle. Mais contrairement à la présentation, cette partie se trouvera dans la porte 1 le Aleph, (la porte la plus « mystérieuse ») qui demandera plusieurs leçons d’introduction. En plus le support graphique n’est pas en rapport avec le réel de notre monde. C’est juste un support métaphysique. Dans les premières leçons de kabbale existentielle que nous aurons dans le sein de l’Ecole, le RAMHAL,(Kabbaliste du 18em sciècle), nous explique d’une façon plus proche de notre réalité ce qu’est le Tsimtsoum. Et tu pourras faire des liens plus appropriés avec nos leçons de logothérapie sans risque de se perdre dans des nébuleuses kabbalistiques. Tu vois contrairement à ta première crainte, ce que je compte faire dans la partie kabbale existentielle c’est une propédeutique pour nous aider à puiser de la kabbale non seulement un enseignement mais surtout un outil d’analyse du réel.
    Donc un peu de patience Laurent. Nous commencerons dans quelques jours, à ouvrir les classes de l’école pour les devoir de vacances. En tant qu’élève inscrit tu vas recevoir une invitation dans les jours qui suivent. Mais continue à explorer les modules gratuits comme tu le fais, ce sera un des exercices à faire c’est à dire aller récolter les graines de semences du « l’arbre à sens » que j’ai semé dans les modules, dont évidemment la question du Tsimtsoum en rapport avec la dé-réflexion dans la logothérapie de Victor Frankl.
    C’est un plaisir de t’avoir comme élève partenaire. Elie

  • sophie

    Reply Reply 30 juin, 2015

    Merveille de découverte. Il m’a fallu longtemps pour accepter le fait que je sois autodidacte. La vie est mon apprentissage par l’expérience et le vécu. Les ressentis qui réveillent et nous dévoilent qui nous sommes pour l’intégrer et nous connaitre.Il serait tov de manger une pomme dans ce désert , de se retrouver dans cette matrice du monde pour renaitre encore et toujours à nous même.
    Merci .Sophie

    • leoguez

      Reply Reply 30 juin, 2015

      Merci Sophie pour ce parfum de sens que tu nous redonne. Elie

  • GALINDO Geneviève

    Reply Reply 21 avril, 2015

    Bonjour,

    Voici ce que m’inspire ce module 2 :
    Pour moi, il y a différents niveaux de souffrance. Il y a la souffrance physique et psychique d’un événement douloureusement vécu, et ce le temps plus ou moins long qu’il soit digéré. Il y a aussi la souffrance d’un événement vécu mais dont j’ai oublié l’origine voire même l’existence et dont la trace laissée dans ma mémoire est une souffrance psychique tout comme le chemin à effectuer pour remonter à la source de cette ou ces cristallisation de ces discours intérieurs qui continuent pourtant à influencer mes comportements intérieurs. Ces souffrances la appartiennent à mon histoire personnelle.
    Puis il y a des souffrances qui n’appartiennent pas à ma vie mais à la vie de mes ancêtres. Souffrances qui ne sont pas miennes et qui pourtant sont miennes par héritage, puisque j’en porte les résidus et que ça me bloque dans mon évolution même spirituelle ! Et la je suis désarmée. Je n’en comprends ni le pour quoi, ni le sens et je ne sais que faire avec ces impressions, intuitions qui sont le fruit de je ne sais quoi !
    Cela m’intéresserait de travailler la souffrance et la mémoire, la souffrance et la culpabilité, la souffrance et la faute, y compris celles que je n’ai pas personnellement commise!
    Geneviève

    • leoguez

      Reply Reply 21 avril, 2015

      Bonsoir Geneviève
      Le souffrance, est évidemment une des choses de ce monde les plus difficile à saisir au niveau du sens.
      D’autant comme tu l’as bien décrit que sa forme comme son origine sont multiple. Je pense qu’il serait incongrue de répondre, ici, à ces questions qui ont traversées le temps jusqu’au plus grands prophètes bibliques.
      Nous avons ce soir même avec notre petit groupe de Nice travaillé sur le sujet selon l’enseignement de la kabbale existentielle. La réaction d’une autre Geneviève du groupe m’a interpellée en ce qui concerne là où nous en sommes avec le Projet-Sens.  » C’est cela qu’il faut développer, c’est ta singularité face à tout ces outils de coaching ou de développement personnel du marché. » me dit-elle. C’est en effet sur cette piste que nous devrions avancer en étude, pour, si ce n’est donner sens à toutes les souffrances du monde, commencer au moins à partager certains enseignements métaphysiques sur ce sujet. C’est dans ce sens que j’ai créé cet espace-temps vide pour laisser chacun apporter son sentiment. Ce qui me permet de reprendre le programme annoncé. Et pour ce sujet faire de ce qui était en « bonus » optionnel, partie intégrante du « programme »
      Quand au niveau individuel cela demande un travail plus en profondeur dans des entretiens qui nous ouvrent vers l’inconnu logé dans notre âme ou pour parler le langage de Victor Frankl, l’inconscient spirituel. C’est dans ce sens que je propose dans le cadre du projet-sens des entretiens individuels pour aborder ce qui est difficile à partager en groupe d’étude.

  • estherjb

    Reply Reply 28 février, 2015

    Bonsoir Annie,
    Je comprends bien tes questions pour avoir vécu (et vivre encore) moi-même les mêmes problèmes.
    Je crois qu’aujourd’hui les enfants sont très occupés, malgré les incroyables moyens de communication à leur disposition, comme tu dis. Ils trouvent toujours le moyen d’appeler leurs amis, mais les parents, ce sera pour plus tard, je pense. C’est donc moi qui les appelle et j’essaie de ne pas faire de remarque désagréable (sauf quand le vase déborde et que les plombs sautent !!… cela m’arrive aussi).
    Je dirai qu’en tant que parent, comme en tant que jeunes adultes, chacun a le droit de vivre sa vie comme il/elle l’entend.
    Si ton choix, ta décision, c’est de venir vivre en Israël, je pense que tu dois le faire. Tes enfants vont faire leur vie comme ils l’entendent et pas forcément de te demander ton avis au moment de faire leur choix…. (C’est ce que je pense, en fonction de mon expérience personnelle… je ne suis pas psy !)
    Certes, ce n’est pas toujours facile à vivre, mais il faut arriver à accepter cette différence avec nos enfants.
    Je pense que tu as raison de profiter de cette expérience de vivre ici la culture juive et les fêtes avec tout ce que cela comporte de réjouissances et aussi de problèmes. Mais le Chabbat et les fêtes juives sont incomparables ici en Israël.
    Peut-être qu’un jour tes enfants te seront reconnaissants d’avoir fait ce choix, ton choix et voudront te suivre dans ta démarche…. Mais cela prend du temps.
    Bon courage et tiens bon !
    Esther

    • leoguez

      Reply Reply 7 mars, 2015

      Chavoua Tov ( bonne semaine) Annie.
      Tu sais Annie, Esther a vécu la même situation, elle t’en parlera elle même.
      Mais ce que nous avons compris dans notre travail en suivant les leçons de logothérapie de V. Frankl et ceux du RAMHAL, c’est qu’il a des situation que ne dépende pas directement de nous. Nous ne sommes pas toujours la cause de certains effets. Viktor Frankl explique dans son livre donner un sens à sa vie. Dans ces situations ou nous ne sommes pas maître, il nous reste encore une liberté entre la cause et l’effet. Cette liberté il l’appel la valeur d’attitude qui pour lui est la valeur essentielle dans les situations extrêmes qu’il a vécu pendant la Choa. Si je ne suis pas maître de la situation j’ai encore une réponse à donner c’est celle de mon attitude face à cette situation. C’est cela notre responsabilité en tant que « response » à donner.
      Nous avons travailler cela avec Esther pour une situation similaire et pour plus encore. J’ai vu comment cela à changer son attitude dans le lâché prise de la situation et l’attitude qu’elle donné à nouveau à ses épreuves. Et c’est pareille dans beaucoup de situation.
      Et la parie est aussi qu’un changement d’attitude peut aussi changer la situation, car nous projetons une nouvelle vision en cette vision influe sur l’environnement.
      Pour ton exemple tu as pris l’option de ta réponse « je me sens punie ». Ouvre ton champ de réponse possible et essai de trouver une réponse qui ne t’enferme pas dans une croyance limitante. Essaye tu va voir c’est un travail qui peut changer ton monde intérieur, un travail difficile certes, car nous sommes formater à voir le coté sombre de nos épreuves, mais si éclairantes quand on sait lire derrière le rideau des apparences.
      Dans le cadre de notre échange, j’ai proposer une possibilité de skipe ou par téléphone, avant la fin du 4em module. Si cela te convient, tu m’écris à mon adresse en me donnant ton téléphone et je t’appelle pour un rendez-vous.

      Cette proposition est ouverte à tous les participants de notre liste. Mais attention il ne s’agit pas d’entretiens thérapeutique, le cadre ne s’y prête pas, juste un échange, poser une situation pour ensuite trouver des piste de auto-recadrage de sens. Un outil que je mettrai à disposition à ceux qui le demande.
      Elie Guez

  • leoguez

    Reply Reply 28 février, 2015

    Chaque personne peut réagir et partager une réponse en cliquant en haut à droite sur Reply. Ceci ouvre le champ du partage. Nous passons de la metasophia ( sagesse en meta) à met ta sophia…;) Elie

  • annie

    Reply Reply 28 février, 2015

    bien lu les analyses et commentaires qui forment aussi l eveil du groupe
    pour moi qui vit une experience de sens ici en israel c est l environnement de la culture orientale des senteurs d epices des couleurs des parfums des legumes fruits….des habitudes culturelles de la langue sans parler des fetes juives qui se font dans la rue a visage decouvert comme nous le verrons a pourim
    voir tous les magasins aux devantures remplis de costumes de deguisements!!!
    tout cela c est mon retour a mon enfance en tunisie
    cote plus difficile assumer l eloignement de la famille des pts enfants des proches qui n acceptent pas ou ne comprennent pas ce voyage vers soi meme alors que je trouverai plus de serenite a etre acceptee….j eprouve beaucoup de chagrin d etre en conflit larve a cause de ma decision de vivre ici…..je me pose la question suivante
    qu ai je donc fait pour que mes enfants n appellent pas meme s ils n approuvent pas mon projet alors que ns sommes en pleine revolution des moyens de communication?mon depart l ont ils ressenti comme abandon?
    en tant que parent meme de jeunes adulte marie et ayant des enfants a t on le droit de vivre sa vie?
    faut du courage beaucoup d eveil pour mettre en pratique les enseignements de cette recherche de sens

    • leoguez

      Reply Reply 28 février, 2015

      Nous sommes ici dans un cadre très singulier. Rien à voir avec ce que l’on fait individuellement. Difficile à expliquer en « kitsour ». Dans une vidéo j’explique la différence entre d’une part ce qui se nomme Achgaha pratite ( c-à-d) système de cause à effet d’un vécu par rapport à nos actions individuelles. Coté Torah cela peut s’appeler le tikoun (réparation individuelle) coté science orientale le karma? D’autre part de ce qui se nomme Achgaha Klalite. Conduite divine selon le principe d’un projet de collectivité. Chaque individu fait partie d’une certaine collectivité et peux être porté à vivre individuellement l’influe divin d’une collectivité voir même le tikoun Olam (réparation universelle). Tu vois ce n’est pas aussi simple que ça. Tu n’as certainement rien fait de mal pour vivre les épreuves de ton choix. Il y a une autre règle du jeu que tu dois connaître « Gan zou lé tova » ceci est aussi pour le bien. Pas toujours facile à comprendre devant de grandes épreuves autrement que par « l’apprenti-sage ». Nous sommes éprouvés par l’épreuve. 10 épreuves ont été données à Abraham pour qu’il devienne ce qu’il est. Pour ce qui est des senteurs ça me ramène à ce que j’écris dans mon livre sur l’exile de Tunisie, une belle histoire que je partage dans le livre interactif. Je pressens que sa lecture t’ouvrira certaines portes en « pré-texte » à ton propre texte. Elie

  • gen

    Reply Reply 25 février, 2015

    coucou Elie, coucou les copines du Projet-sens. certains savent sûrement surfer sur internet aussi bien que sur les vagues. ou bien dessiner des colliers. Moi, j’ai bien entendu que le souffle a dit du nouveau dans le silence du désert. merci pour ce silence. et pour ce nouveau. c’est en lui même que je préfère communiquer, c’est plus facile pour moi qu’en tapant des lettres sur un écran brillant. bisous à toi et à tous ! pour le reste, tu as dit…en octobre?…:)

    • leoguez

      Reply Reply 25 février, 2015

      En effet, la formule via internet réduit le contact directe. Rappelle-toi ce que j’écrivais dans la « page blanche » (l’âme du livre)
      Nous sommes ici au cœur de la méthode.
      En voici un extrait que je reformule dans ce nouveau contexte de partage.
      Le sens de la vie, le projet sens, le projet de vie, les objectifs, le sens ultime, le pourquoi du comment, la souffrance, D.ieu ?
      … Une question, mille chemins en fonction de l’âge, de l’état de santé, du contexte, de la situation !
      Je me retrouve face au défi d’un accompagnement en coaching existentiel pour aider le compagnon de route à découvrir son projet-sens.
      Un accompagnement qui se veut pratique, sur ces questions existentielles qui interpellent l’homme depuis la nuit des temps.
      Mais comment crée l’émergence de l’intelligence de l’instant, cette parole qui jaillie des ressources de l’inconscient spirituel dans les entretiens ? Autrement dit, comment transcrire la voix, ce logos qui nous accompagne dans une rencontre?

      Me voilà face à ce qui se dit être la maladie des écrivains : La page blanche.
      … « Un livre c’est une bataille » … Oui, mais ici c’est une bataille avec soi-même.

      Cette formule devient une nouvelle entrée ! Le projet-sens devient un cheminement à plusieurs entrés. Tu peux le suivre d’une façon linéaire, mais comme tu as pu le découvrir, son écriture n’est pas linéaire. Le projet sens se construit par couche dans un itinéraire qui sera le tien. Alors accepte de vous perdre dans le déroulement, revient en arrière, saute les exercices qui ne résonnent pas à ton âme, reprendre ton propre texte, revenir à l’enfance, car là se trouve les racines du sens… Revenir à de nouveau souvenir, à tes réalisations, tes échecs, tes changements, les réécrire, les annoter…puis revenir à l’exercice qui vous a mené vers cette page blanche…
      Ainsi le projet sens se dessinera comme une peinture, couche après couche.
      J’ai moi-même réécris, complété, changer.
      Et comme tu sais, tout ceci n’est que « pré-texte » à ton propre texte, jusqu’à ce que le sens se fait entendre.
      Je te disais dans une des réponses interne « Je ne suis pas le seul chercheur fou dans ce monde, internet c’est aussi la magie de la rencontre sans contact avec d’autres chercheur fou. » Ce qui démultiplie les pistes de réflexions. Car je ne serai pas seul à répondre dans le cadre des commentaires.
      Oui on perd d’un coté et on y gagne d’un autre. Ce qui me manque personnellement dans cette aventure ou je suis à l’intérieur du « jeu », c’est de mettre un visage au personne avec qui je cheminerai éventuellement. Il est certain que sans la proximité de l’alliance, ce programme n’a pas de sens.
      J’ai tellement de chose à donner avant d’entrer dans le murmure du silence.
      Mais j’ai promis de le mettre à nu dans le prochain module. Ce sera pour moi la mise sous sellette de mon propre projet qui de toute façon prendra la couleur de ce nous en ferons.
      pour terminer nous gardons aussi le contact individuel par mail. Et dès que possible échange skipe individualisé et vidéo conférence collectif.
      Mais ça c’était demain.

      PS pour les nouveaux, nous avons plusieurs personnes qui ont déjà travaillé en contact direct et qui sont pour moi des éléments ressources pour cette proposition via internet. Cette échange donne exemple d’une recherche d’authenticité indispensable pour donner suite à ce programme.
      merci Geneviève pour ton questionnement toujours aussi décoiffant.

  • estherjb

    Reply Reply 24 février, 2015

    Bonsoir Elie,

    Je suis heureuse que nous puissions communiquer à nouveau !

    Mitzpe Ramon : quelle merveille que ce cratère immense dans le désert. Tu as raison, il faut y être seul pour pouvoir ressentir ce sentiment de proximité avec la création du monde. Berechit… quel beau nom ! Il semble que le temps s’arrête pour nous laisser percevoir le souffle du silence, comme tu dis. C’est tellement beau, que j’aimerais pouvoir y rester des heures, avec moi-même, pour aller au fond de tous mes questionnements.
    Esther

    • leoguez

      Reply Reply 25 février, 2015

      En effet Esther. Je retrouve cette belle expérience faite en groupe, cette fois en solitaire, l’un n’empêche pas l’autre.
      J’en profite pour rappeler l’extrait de vidéo sur le tsimtsoum et la logothérapie posté dans le module 2. Je m’entends dire, pour comprendre le sens de notre vie il faut revenir au début de notre naissance, plus encore au début de la naissance du monde, plus encore au début du projet de création. Et ceci est inscrit dans le premier mot de la bible « Béréchit » malheureusement mal traduit par au commencement. Béréchit c’est avant même le commencement. Mais ça c’est pour ceux qui veulent plonger des ces eaux profonde de l’ésotérisme hébraïque. Merci pour tes commentaires. Elie

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