Ma roue de la vie en meta-sophia

Page Vacances 3-2

Je replace ici mon dernier mail sur la roue de la vie pour vous permettre d'y laisser vos commentaires. 

A la lecture des commentaires avec ce petits groupe de chercheur en quête de sens, commentaires qui nous font grimper très haut, bien que cela puisse alors sembler inutile, je plonge sur les exercices sur les exercices que je vous ai proposé, ne serait-ce que pour l’exemple.
Il n’en reste pas moins que revenir sur les bases ne peut que renforcer les hauteurs.
En fait en y retravaillant, j’ai eu cet envol qui m’a fait quitter la base…
J’aurai aimé partager ceci avec tous ceux qui sont resté en attente, mais je garde le cap, avec les passager du paquebot pour la croisière des vacances.

Je commencerai par la roue de la vie. Je viens de découvrir quelque chose de merveilleux.
Je pourrais tout autant mettre 10 de partout ( en terme de satisfaction, car j’en suis loin dans le réel), que zéro de partout, comme s’ouvrais une nouvelle dimension.

Je m’explique à voir le graphique de la roue de la vie posté dans le module 3 :
Là où j’en suis-je pourrait me dire c’est OK même si je continue à avancer dans tous les secteurs.
Pour ex je suis en rouge question argent, plus d’essence pour avancer. Je pourrais me dire range la voiture au garage et je passe à autre chose. Je suis sous contrôle permanent au niveau santé je pourrais me dire OK tu te calmes, un peu de repos, plus de sommeille, plus d’exercices, et tout rentrera dans l’ordre.
Et pourtant comme je l’ai écrit dans ma page blanche « je suis satisfait de ce que je vis, d’être là où je suis, où j’en suis, et ce que je suis. ».
Ce qui ne veut pas dire que tout est rose dans le meilleur des mondes.

Maintenant ce que je découvre c’est que je peux tout autant être à Zéro de partout.

Je m’explique, regardez le graphique comme une pyramide vue d’en haut.

On grimpe la pyramide jusqu’à son sommet le point zéro. On se positionne sur le haut de la pyramide pour voir d’autres horizons.

Vous comprenez ?

Tant que je suis dans le cadre je suis dans la mesure des besoins de la contingence (sans jugement car c’est aussi notre réalité).

Un peu comme avec la pyramide des besoins de Maslow (nous y reviendrons). Et atteint le point zéro (un peu ce que je vis en ce moment) c’est voir d’en haut de la pyramide un autre horizon qui se dessine.  C’est comme si les paradigmes de la mesure changent.
C’est comme si ce que nous mettons en projet ne vient pas (comme je l’ai suggéré) combler un manque.

Nous sommes alors dans un total lâcher prise, pour un agir dans le non-agir en partenariat avec la présence invisible. Il ne s’agit plus de se construire une carrière professionnelle, de refaire son couple, d’améliorer ses relations au mode, de trouver un sens à sa vie… son projet sens …  Juste être au service de la Vie, du projet sens des origines de la création.

Je ne dis pas que j’en suis là, car j’ai, de fait du réel contingent, de nombreux besoin à combler, même si je suis dans l’état de satisfaction.  Juste pour dire la vision qui m’a parcourue face à une roue de la vie qui s’amenuisait avec le temps.

Et dire que j’en parlais déjà au salon Réussir. (voir la vidéo du salon réussir vers la fin à 8mn 20 en bas de la page qui-suis-jeu)  J’aurai pu être au summum de la réussite, tout s’est écroulé pour repartir à Zéro. Ce fut la même chose avec mon entreprise en bio, je n’avais que 25 ans (j’en ai 71, faite le compte).  Que se passe-t-il aujourd’hui une nouvelle remise à zéro du compteur ? Je ne sais pas encore, mais ça y ressemble.

D’où cette étude en master mind.
Tu vois Geneviève G, cette singularité qui se dessine… « Le sage n’est pas celui qui ne tombe pas, 7 fois il tombe, 7 fois il se relève ».  Mon défi aujourd’hui est là…

Alors en conclusion, derrière ce projet-sens tel que je l’ai proposé, c’est-à-dire, notre ADN spirituel, il y a l’ADN du Nom ineffable, l'éternel, l’âme du principe créateur, qui ne se prononce pas mais se lit ADoNay.
Merci à vous tous de me permettre de partager ce "secret" (SOD).

Ouf ! je tombe et je retombe sur mes pieds, ( ceux de mon âme)  
A CREUSER

Tout se construit dans la progression de nos questions.
D'où l'aphorisme des Maximes des pères:

"Le timide ne peux accéder à la sagesse"

18 Comments

  • Floryann Sara'El

    Reply Reply 18 août, 2022

    OUF ! Je Tombe et reTombe sur mes Pieds… À Creuser
    Même si j’ai parfois l’impression de Creuser ma Tombe dans l’Avancement, le Perpétuel Mouvement qu’est la Vie, eh bien, j’ai Toujours cette Impression d’Aller de plus en Plus vers Les Racines et LA Racine Commune à ce Grand Tout. Partout où je Puisse Marcher, Sombrer, et même Ramper, je reSens Toujours de la Terre Sous mes Pieds et Tout Autour de moi. À n’importe Quel Moment, je peux Poser, rePoser, reMatérialiser, Cheminer Encore et Encore… il y a Toujours Matière à (à – Alef) tant qu’il y a Un Souffle… jusqu’au Souffle UN ^^

  • MPascale

    Reply Reply 21 mars, 2022

      » Juste être au service de la Vie, du projet sens des origines de la création….
    Agir dans le non-agir en partenariat avec le Présence divine »

    ça exprime exactement mon ressenti d’aujourd’hui à partir de ce point zéro.

  • Marie

    Reply Reply 29 mars, 2020

    En cherchant l’espace où commenter après vidéo d’Elie sur Pessah j’atterris ici, « roue de la vie » mais du haut de la pyramide…ok je me lance..

    Il me semble que depuis quelque temps et plus encore depuis le confinage je me retrouve propulsée au point zéro :
    me voilà minuscule un peu comme une miette de pain (de Vie?), il s’agit ici de voir non plus avec les yeux mais de percevoir (percer voir) avec le coeur et de me plonger dans ……., de faire Un avec……., Unité, Unicité, Lumière, Tétragramme ….rien qu’écrire ces mots et les larmes me montent aux yeux ( ceux qui percent -voient ) ….ouf, je me sens tout près et à la fois très loin, je ne peux que m’humilier, baisser la nuque et implorer l’aide du Maître du Monde.
    Me purifier, devenir canal, Son instrument…est-ce que je stagne? Ou est-ce que je progresse?

    Comment est-ce que je passe du point zéro à « faire partie de Ce que je per-sois »???????

    Voici quelques lignes écrites peu après mon inscription au » Compagnonage de soi « ( ps.MERCI Elie ) :

    Au coeur du Silence
    trouver des mots
    pour dire combien C’est beau
    Le Silence est musique de Vie
    les sons ont des couleurs
    les couleurs ont des formes
    elles font UN
    et s’habillent de l’ Arc en Ciel.
    Il n’y a pas de mots aussi beaux
    alors,
    se faire tout petit
    et avancer sans faire de bruit
    écouter La Voix
    accorder mon âme
    et vibrer à Son rythme
    devant Sa grandeur
    oser un OUI
    se laisser aimer
    être UN
    et aimer à mon tour.

  • sophie parazines

    Reply Reply 26 mars, 2020

    Je cherchais à atteindre le sommet de la montagne dans une contrait extérieure à moi et maintenant il me semble que le plus important est le chemin emprunté, la vivacité et la volonté (divine) pour atteindre ce point initial en nous/ noos. Ce point initiale, ce Yod d’où tout découle et qui permet de tracer le cercle.

  • Benjamin

    Reply Reply 13 mars, 2018

    Je trouve très interessant de percevoir le « point zero » en haut de la pyramide, comme une possibilité de voir de nouveaux horizons.
    Le livre « Or Zaroua » explique que quand la vie nous fait tomber dans l’épreuve (quelque soit notre niveau spirituel) c’est pour nous montrer quelque(s) chose(s) que l’on ne voit pas de nos hauteurs.

    Personnellement, une vision du « point zero » en haut de la pyramide m’évoque aussi autre chose :

    Effectivement, le fait que nous jugions et évaluions chacun de nos domaines de vie pourrait être équivalent au fait de quantifier nos manques et nos acquis à un instant précis de notre vie.

    Et le fait de pouvoir quantifier nos manques pourrait être vu comme une non-acceptation de notre vie, un manque d’humilité.
    Effectivement, la «vision du haut » (celle perçue par « les yeux de Dieu ») nous fait prendre conscience que tout n’est rien d’autre que la Volonté divine et que si nous l’acceptions, nous pourrions voir le « plein absolu »/ « roue pleine » (par gratitude pour ce que nous recevons de la vie), et le « vide absolu »/ « roue à zéro » (exprimant notre conscience selon laquelle tout provient du Créateur et que rien n’existe en dehors de sa volonté.

    Peut-être donc que, dans l’absolu, la notation sur la roue de la vie pourrait être perçue comme une forme d’orgueil (qui suis-je pour me permettre de quantifier les cadeaux que La Vie me fait ? et qui suis-je pour me plaindre d’une épreuve sous prétexte que je la vis avec souffrance ?).

    Cependant, j’ai vécu une expérience qui me pousse à croire que La Vie veut que nous jouions le jeu (je) du libre arbitre et que donc nous puissions nous jauger par rapport à nos objectifs. Voici cette expérience :

    Au mois de décembre 2016, je souffrais depuis plusieurs jours d’avoir le nez totalement bouché.
    Pour le déboucher, j’avais essayé toutes les méthodes que je connaissais (vicks, inhalation, huiles essentielles, traitement médical, méditation et même la prière…) mais en vain. Mes deux narines étaient totalement obstruées et rien n’y faisait.

    Un soir, alors que j’étais assis sur mon canapé, les yeux fixés sur l’ordinateur portable qui se trouvait sur mes genoux, je perçus dans mon champs de vison un animal bouger à ma droite, juste à côté du canapé.
    N’ayant pas d’animal à la maison, cette situation était donc perçue comme anormale.
    Et pendant la demi-seconde dans laquelle j’ai tourné ma tête vers l’animal en question, afin de le voir et l’identifier, beaucoup de choses se sont passées simultanément en moi :
    -Je sentis une vague de frissons traverser mon corps
    -l’intérieur de mon corps devint subitement très chaud
    -J’eu une sensation de légèreté extrême
    -Mon cœur s’accéléra
    -MON NEZ SE DEBOUCHA TOTALEMENT !!!

    Une fois la demi-seconde passée, les yeux fixé sur ce que j’avais cru être un animal en mouvement, je constatais simplement que c’était un sac de courses plein, posé en équilibre contre le mur, qui avait basculé vers l’avant…

    Une fois la chose identifiée, les sensations inhérentes à la mise en route de l’instinct de survie s’estompèrent progressivement, pour laisser place à la surprise : Mon nez est débouché !!!

    Comment se fait-il que par tous les moyens mis en place par ma propre volonté et par la connaissance de l’homme (médecine, méditation, aromathérapie etc…) je ne sois pas arrivé à sortir de l’épreuve du nez bouché, et que là, par l’action d’un mécanisme interne réagissant à un danger potentiel, l’épreuve du nez bouché se soit annulée ?

    Y aurait-il donc des fonctions en moi auxquels je n’aurais pas accès ?
    Y aurait-il une entité en moi qui veille sur moi et qui interviendrait sur moi-même seulement quand la situation devient critique ?
    Serait-ce Dieu qui, depuis moi-même, me surveille, me laisse « faire ma vie », mais agisse malgré moi en cas de danger imminent ?

    Comment cela pourrait-il être Dieu puisque cette entité qui « veille sur moi » s’est clairement trompée ?
    Pourquoi avoir débloqué inutilement mes pouvoirs de survie, alors que le facteur déclencheur n’était pas un animal qui passait dans mon salon, mais simplement un sac qui est tombé ?
    J’ai toujours appris que Dieu est partout et est la source de tout. Comment donc Dieu aurait-il pu se tromper sur la situation en question ?

    Puis je me suis souvenu d’un enseignement de mon maitre :
    Fin 2015, mon maître nous expliquait que Dieu ne regarde pas la situation mais l’homme. Il agit donc en fonction du vécu de l’homme par rapport à une situation.

    Cela explique pourquoi Dieu aurait agi dans cette situation. Il a certainement pris en considération mon vécu, et non la situation telle qu’elle était.
    La raison en est évidente : Si Dieu agissait selon la réalité des situations plutôt que selon la perception de ces situations par ses créatures, il n’y aurait pas de voilement, donc pas d’histoire, donc pas de sens à la création.

    Finalement, Dieu souhaiterait peut être que l’on ait notre propre vécu, selon nos perceptions, c’est-à-dire avec la notion des manques, afin de pouvoir évoluer selon des mesures et ainsi exister.

    De plus, un jour où quelques élèves de mon maitre et moi-même débattions sur le libre arbitre, notre maitre nous a expliqué que ce n’est pas parce que Dieu nous a fait cadeau de la perception de l’unité, que l’on peut se permettre de rester dans cette vision. Nous vivons dans le monde de la dualité et le libre arbitre est un cadeau de Dieu que nous devons utiliser.

    Il me parait donc pertinent d’entretenir la « vision du bas », en utilisant la roue de la vie, car cet outil permet de nous placer selon nos manques et selon nos singularités face à notre idéal/potentiel et donc participer à l’histoire de la vie selon le rôle que l’on a reçu.
    Et cela ne nous empêche pas de regarder de temps en temps par la « vision du haut », la « pointe de la pyramide », afin prendre conscience qu’une « force supérieur » nous accompagne perpétuellement dans un plan dont la finalité nous échappe, et de renforcer notre fois en La Vie.

  • Sophie

    Reply Reply 18 août, 2017

    L’ADN du nom ineffable…Cela résonne fortement . Nous transmuter nous même !

  • Genevieve

    Reply Reply 18 août, 2017

    Tout d’abord Merci des commentaires postés. J’ai bien aimé le lien fait par Marco avec la vibration, la cohérence cardiaque, j’y ajoute le mouvement sinizoidal des planètes.
    Pour partager mon expérimentation de la roue de la vie à travers le degré de maîtrise et lâcher-prise, uniquement par rapport à l’item de la santé, voici là où cela m’a conduite. Pour moi, le budget santé physique et psychique est le plus important parce qu’il me faut stopper ma capacité à génèrer des maladies auto-immunes. J’étais tant focalisée sur la résolution de ces problèmes que j’en oubliais de vivre, et c’est un puit sans fond. Ces dernières semaines, j’ai lâché prise. Cela ne signifie pas que j’ai renoncé à m’occuper de moi. Au contraire, j’ai entendu que tous ces tracas m’invitent à habiter pleinement mon corps, à prendre soin de lui et j’ai aussi entendu que ces tracas manifestent que c’est mon corps physique qui est aux commandes de ma vie, alors que ce devrait être mon esprit qui soit aux commandes de mon corps. J’ai donc à me décentrer/làcher-prise de ces soucis de santé pour reprendre la maîtrise sur mon corps et ma vie. Tel est le jeu du juste équilibre entre lâcher pour accéder à plus de maîtrise, et maîtriser sans trop s’y identifier !

    • leoguez

      Reply Reply 18 août, 2017

      C’est super ce qui se passe ici. On revient à l’essentiel: l’unité. L’unité corps/esprit, existence/essence, bien/mal… 1/2… ou 2/1… L’Eden et ce monde en construction. Souffrance:libération… Une âme sans corps c’est un fantôme! Quand à un corps sans âme brrr .. Je préfère les fantôme.
      Ce matin en sortant de chez mon ami-médecin je me disais à ce sacré corps qu’est-ce que je pourrais faire sans toi. Et oui c’est notre compagnon de tous les jours, alors autant en prendre soin. Alors je me suis fait un deal! OK je prend soin de toi, je te nourrie, je te fais bougé, je te repose. allez entre nous osons le dire, je t’aime. Mais le deal c’est la réciprocité, alors je te demande de me comprendre si j’ai décider d’arrêter de te laisser manger n’importe quoi, pour que je puisse te nourrir convenablement. Je te demande de me comprendre si parfois je m’isole de toi et de tes désir…
      Alors j’ai aussi compris comme toi ( il me semble même en même temps au regard de l’heure de ton commentaire), qu’il nous faut aussi revenir au corps.
      Mettre un chapitre santé du corps dans la démarche spirituelle. En plus c’était mon premier métier. Déjà à 25 ans ( soit plus de 45 ans) pionnier du bio, je militais pour la macrobiotique ( la grande vie). Je crée un des premier concept,  » La source de vie » ou j’associe la qualité de vie du corps et celle de l’esprit. Et puis il y a cette saloperie de « mal à dire ». Ces derniers temps j’ai étais encore une fois en compagnonnage avec un proche de ma famille pour se dire ce que nous aurions pu dire sans elle. Comme je l’écrivais à Ysabelle, une nouvelle âme qui vient d’arrivé mais qui ne fait pas encore partie de notre croisière.
      Pourquoi attendre de mourir vivant, alors que nous pourrions nous entendre et entendre pour vivre vivant.
      J’ai comme le sentiment d’une nouvelle croyance qui commence à émerger… plus de souffrance pour s’accoucher, plus de mort pour vivre. ça remue le projet, l’idée de ce master-mind est une bonne idée. Tu te rappelles que cela à émergé lors d’un entretiens que nous avons eu à Nice.

  • marco

    Reply Reply 17 août, 2017

    Bonjour Elie,

    Je suis toujours un peu en retard Pour te répondre Elie , mais en tous les cas, je vous suis sur le chemin , vous m aidez grandement car vous l avez défriché, (déchiffré), dés chiffrés .Celà me permet de voir un autre paysage .
    Sur ce que tu dis , « Le point zéro » et « juste être au service de la vie »
    j y ai vu l écoulement du temps avec ces hauts ces bas .Qui peut être anologie à ce qui est en bas et comme ce qui est en haut et vis versa.
    Si on tient compte de l espace temps j y ai vu une roue tourner avancer et dessiner une sinusoïdale .
    La sinusoïdale part en principe du zéro sa monte et sa descend en dessous du zéro et sa remonte au dessus du zéro .Elle se dessine à partir de la roue qui tourne sur son axe le point zéro et avance sur cette route de l espace temps .Et ton point qui est en haut à un moment donné il arrive vers le bas …
    Une sinusoïdal peut être une présentation schématique de la vibration , de la fréquence cardiaque, du verbe de l expression de la vie .En tous cas ça m y fait penser.
    On repart pas à Zéro on repasse par le point zéro avec d autres niveaux de consciences sur nos domaines de vie.

    Je n ai pas répondu à ma roue , parce que ce que tu as écrit a déplacer mon champ de réflexion ..
    Ce n est qu une réflexion un point de vue …Ce zéro est peut être notre centralité par la ou on reçoit plus de lumière 😉

    • leoguez

      Reply Reply 17 août, 2017

      Oui Marco la vie est une spirale comme l’ADN. Ainsi est notre projet-sens, l’ADN spirituel.
      Revenir, redescendre, ne fait que nous propulser plus haut. Mais nous ne faisons pas pour autant l’économie du réel. Donc la roue de la vie est à prendre dans les deux sens, pour que ça roule. Le point zéro est une propulsion vers un ailleurs, mais il n’empêche pas que quand je prend ma bicyclette pour aller faire mes courses autant avoir des roues bien dans l’axe. Quand au course, les mains vide, je ne suis pas certain que le commerçant du coin remplira notre panier au regard de notre auréole spirituelle. Et si nous avons des enfants je ne crois pas que la méditation puisse les nourrir physiquement. Mais je vois que tu as compris, faire des aller retour entre le ciel et la terre. Alors tu peux reprendre ta roue de la vie pour rouler sur terre et vivre l’unité des 2 principes.
      J’en profite pour partager une petite histoire personnelle. la première question d’un kabbaliste qui avait accepté de me prendre comme élève, fut combien tu gagnes? A l’époque j’avais une toute petite rente d’une location. Sa réponse fut, « ce n’est pas assez pour faire vivre une famille. Tu ne peux pas être libre dans ton étude si tu as des préoccupations matériels ». Alors, j’ai compris, je me suis mis au boulot pour pouvoir étudier.
      Ensuite je te raconte pas les autres questions,
      A bientôt

  • Genevieve G.

    Reply Reply 17 août, 2017

    Juste un ajout ou un partage !
    Pour moi, il ne s’agit pas d’être désincarnée, loin s’en faut mais je suis à une étape où j’ai déconstruit nombre de croyances et traversé nombre de peurs à la force de mon vouloir que je viens de lâcher. J’ai aussi fait un travail similaire pour lâcher mon savoir. Et retourner dans la roue de la vie avec des objectifs ou même l’idée d’amélioration me reconnectait à mon vouloir égotique.
    Il me semble que la roue de la vie tourne entre maîtrise niveau 10 et lâcher prise, niveau 0, et plus qu’une évaluation de mon degré de satisfaction, je vais évaluer sur la base de cet outil, mon degré de lâcher-prise dans mon rapport aux autres, à l’argent, à ma santé, à…
    Peut-être qu’une piste s’en dégagera ?
    À suivre !

    • leoguez

      Reply Reply 17 août, 2017

      C’est une superbe idée. Tiens moi nous au courant.

  • Genevieve G.

    Reply Reply 17 août, 2017

    Bonjour Elie,

    Je suis ravie de lire ta manière d’utiliser la roue de la vie, qui laisse de côté la logique d’amélioration et d’évolution pour se placer au centre, en toute disponibilité par rapport à la vie. La roue tourne mais nous ne sommes plus des acteurs qui tentent de trouver un équilibre, lequel n’est trouvé que si l’on atteint le centre. Alors nous saurons que, quelle que soit la manière dont tourne la roue, tout est juste et nous devenons les observateurs libres de toutes nos contingences.
    Ça me parle bien car il s’agit d’une posture face à la vie et il n’y a plus d’objectifs à atteindre, ni d’efforts à déployer, ni aucune réparation ou manque à combler, ni aucune contribution à ajouter. Seulement être au bon endroit, au Coeur de son soi !
    Merci pour cette ouverture d’horizon !

  • Rahel

    Reply Reply 17 août, 2017

    Le lâcher prise du point zéro n’est-il pas le chemin le plus court pour atteindre le dix, la complétude?
    Le « vide » n’est-il pas ce qui contient le « tout »?
    De tout cœur,

    • leoguez

      Reply Reply 17 août, 2017

      Oui Rahel, en effet le début rejoint la fin. La roue de la vie tel qu’elle a était construite est une démarche de développement personnel. Mais elle reste tout autant une réalité des besoins tout comme la pyramide de Maslow. J’y reviendrai avec ma pyramide inversée.

  • Sonia

    Reply Reply 17 août, 2017

    Bonsoir Élie, je voulais répondre et je savais pas ou ? Donc ta eu une très bonne idée.
    Moi j en suis un parfait exemple au départ vus que ma vie sentimental a toujours étais au point mort ( j ai jamais été en couple ) je m étais 0 mais avec le temps, le recul, j ai reconnus être trop dur car j ai été en couple a 10 ans y a prescription , j ai le coeur en miette. J ai été sur des site de rencontre, je suis déjà tomber amoureuse. Ma vie amoureuse n étais pas a 0, un vide existentiel. Elle était bien vivante. J. Aurais pus mettre 10 car parfois vaut mieux être seul que mal accompagner. J ai préféré tranché et mettre 5. ( D ailleurs oubli de frappe dans mon commentaire a se sujet). Pour moi a l image d une pyramide le stade zéro peut être en haut comme en bas. Faut savoir par qu elle bout prendre une situation. J avoue pas avoir distinguer frankl de jung.
    Après à l image dualité bon et mauvais , le. Stade zero c est le neutre. c est vraiment variable d une personne a l autre selon son point de vus. Peut être que l échelle de logiques de dills peut permettre d approfondir le pourquoi de ce stade neutre. Une autre étape, en tous cas pour ma part. Comme je dit «le statut quo» je le maintiens sur le plan financier, j espère qu il continuera d évoluer cote professionnelle et personnelle. Se fameux «statut quo» a donner lui la base de mon automanagement. C est devenue pour moi une philosophie de vie. C est pour ca que je comprend pa quand ta zéro a l école , on te met c est nul, c est d un pessimisme. D autant plus qui a rien a dire car rien n a été fait, pourquoi être négatif ? Voilà donc un exemple qui illustre notre société. Pourquoi pas mettre un pour la présence. Et ainsi se montrer optimiste. ben oui il toujours en vie et présent donc c est le essentiel non ? Mais ca beaucoup de gens l oubli alors le statut est souvent vus comme négatif et pas neutre. Pourquoi je parle ainsi ? J ai vécut. En ayant peur de dormir et de ne jamais me réveiller.
    A bientôt, sonia Conseillère en développement personnel.

    • leoguez

      Reply Reply 17 août, 2017

      Oui Sonia, nous touchons des zones qui fluctue en fonction du regard que l’on porte. Je sais ce qu’est d’avoir eu un jour 1 en dicté. Un jour une fois dans toute ma scolarité. Mais je sais aussi combien tous ces zéro accumulés m’on fait grandir, pour être ce que je suis aujourd’hui. J’ai mis le focus sur ma singularité, Zéro en dictée mais aussi le champion en calcul.
      Nous parlerons de la différence entre Jung et Frankl dans nos cours de logothérapie
      Nous regarderons également l’échelle de Dils en Meta, comme pour la pyramide de Maslow, poser la structure pour voir du coté sommet et en sortir.
      Tous ces outils sont important pour la formation en développement personnel. Nous verrons aussi comment les utiliser en situation méta pour ceux qui choisissent une autres approche. Mais ceci dit ce que tu étudie est indispensable pour le choix de métier que tu as fait. Indispensable pour accéder à d’autres formations. Porte toi bien Elie

* Denotes Required Field