« Plus fort que l’amour, plus fort que l’amitié, plus fort que la fraternité : l’argent ».
Ce titre dans un site à vocation spirituelle, ‘l’argent plus fort que l’amour »ne manquera pas de choquer. Et pourtant !
Combien de divorces à cause de l’argent ? Combien de fraternités éclaboussées lors d’un héritage à cause de l’argent.
Combien de crimes à cause de l’argent ?
Quelle est la motivation première d’une entreprise si ce n’est l’argent.
Si j’ose faire un texte aussi chargé de sens, c’est que je peux vous garantir que si n’avons pas changé notre rapport avec la question de l’argent, c’est un boulet aux pieds que nous traînerons tout au long de notre quête de sens.
Si la Torah nous dit : « On connait un homme à travers sa colère, son verre et sa poche »(poche pour symbole pour argent, notre façon de la dépenser). C’est que la mesure de notre rapport à nos valeurs face à l’égo, c’est d’une part la colère, d’autre part notre attitude après avoir un peu trop bu et pour terminer notre rapport à l’argent.
Toute la kabbale du Rav Aschlag tourne autour du rapport entre le besoin de recevoir (réalité de la contingence) et le besoin de donner, (base première de l’évolution spirituelle). L’argent n’étant qu’un moyen de substitution aux véritables besoins.
Lorsque nous analysons la pyramide des besoins de Maslow, tout tourne autour du besoin de recevoir et ça commence par la base, l’argent, jusqu’au sommet, la réalisation de soi.
Ce que je propose dans notre programme « projet-sens » c’est une vision du monde qui au-delà de la réalisation de soi, nous propulse vers la transcendance de soi. Et cela commence avec la question le détachement aux objets du monde.
Lorsque V. Frankl, recadre la question existentielle et de la souffrance qui vient du manque à recevoir, pour retourner la question que je paraphrase « tu cherches à savoir ce que la vie te donne, alors que la question est : que donnes tu à la vie ?»
Alors vous comprenez que la question de l’argent a toute sa place dans la quête de sens ?
Lorsque je discute avec des conseils sur l’entreprise et la gestion du temps ou de l’argent, la réponse immédiate est, consacre le plus de temps à ce qui te rapporte le plus d’argent !
J’ai envie de leur répondre, me rapporte quoi ? Les valeurs éphémères de la liquidité ? Et si mon entreprise est basée non sur ce que mon prochain me rapporte mais sur ce que je lui rapporte, la gestion du temps prend une autre dimension? Nous avons appris que plus important que l’urgence est le temps consacré à l’important, nous apprendrons que plus essentiel que l’important est le temps consacré à l’essentiel.
Vous comprenez pourquoi cette question est fondamentale ? Et qu’elle va vous demander d’y passer du temps, non seulement pour aller jusqu’au bout de cet article mais surtout pour en extraire les graines de sens que je souhaite partager avec vous, ici dans cette article et plus tard dans nos modules expérimentaux. Nous traiterons de l’influx de la lumière sans faire l’économie de celui des besoins matériels qui passe par la question de l’argent sans entacher l’amour.
La Torah est claire là-dessus :
« Recherche D.ieu comme tu recherches l’argent » !! Elle n’a pas trouvé plus fort que la recherche d’argent pour nous aider à intensifier notre recherche de D.ieu!!
Attention aux gens de passage pressés, ce texte est un peu long. Et si je vous disais qu’au bout de la lecture vous n’aurez plus de problème d’argent, tout en gardant vos valeurs spirituelles, vous irez jusqu’au bout de la lecture ? Mieux encore si je vous promets la richesse en un seul enseignement ? Alors ? On y va ?
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Toute l’économie et la survie des hommes passent par l’argent.
Le fait d’écrire cet article m’a demandé de me payer un ordinateur et un accès internet.
Si je veux dire je t’aime à mes enfants qui sont dans un autre pays, cela passe par le coût d’un téléphone et d’une transaction.
Puisque nous sommes ici pour partager notre cheminement vers le sens de la vie, donc aussi pour parler de ce qui encombre l’être en devenir, en toute conscience, réfléchissons à notre responsabilité (= donner réponse) sur cette question qui fait et défait le monde.
La question tourne autour de la valeur « Argent », mais aussi autour de l’avoir en général, de son pouvoir et de l’identification de l’être en chemin à l’avoir.
L’argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue certes ! Tout comme il contribue à notre malheur.
L’argent « pèse » comme le dit l’expression populaire « combien tu pèses » ! Peser lourd, cela donne une belle image extérieure de sa « personne-alité », mais ce n’est pas l’idéal pour l’envol vers l’éveil.
Quand je-tu pense « je n’aime pas l’argent », c’est faux, du point de vue de la réalité des besoins de ce monde. Ce n’est pas que tu n’aimes pas l’argent, puisque te procure les biens nécessaires à la vie dans ce monde, mais c’est comme un cri de la conscience contre l’attachement et les limitations que l’argent produit.
Nous comprenons alors que le problème n’est pas dans l’avoir mais dans l’attachement que nous avons à l’avoir au risque de nous identifier à ses valeurs.
L’argent est comme le sang nous dit la Torah ! C’est un liquide qui circule et qui anime la vie, le problème est lorsqu’il bloque la circulation.
Ex : « Tu décides de passer des vacances méritées après le dur travail d’une année. Arrivé à destination tu profites pleinement du paysage qui t’est offert. Et puis voilà que tu ne trouves plus ton porte-monnaie avec les 1000€ d’espèce que tu avais économisé pour ce voyage. Volé, perdu, tu ne sais pas… quelle est ta réaction, écoute ton cœur parler, regarde le teint de ton visage qui a d’un coup blanchi. Tu comprends pourquoi c’est comparé au sang ?
Mon ami, homme d’affaire dans l’immobilier me téléphone un jour, paniqué ! Léo, je fais faillite ! J’entends de l’autre côté du téléphone son souffle. Je lui réponds avec beaucoup d’inquiétude : Comment ça ? Où ça ? C’est le cœur, le foie ? Arrêt sur image ! De quoi tu parles ? Je suis en train de faire faillite, c’est la crise dans l’immobilier, la banque bloque les apports et je vais perdre tout ce que j’ai construit. Silence : Ah ce sont tes affaires qui vont mal, tu m’as fait peur, je croyais que c’était toi-même quand tu me dis, « JE fais faillite »… Vous comprenez l’identification ! Ce n’est pas pour autant que je néglige le problème. Pour toute résolution de problème il faut se poser la question : où est le problème, qui est concerné ?. Sortir de la panique, mettre choses à leur place, alors, nous pouvons trouver les solutions adéquates. Et, résultat, ses affaires n’ont pas été mises en faillite.
Quand j’abandonne mes « affaires » de peur de me confondre aux « enfers », c’est le même crie de conscience. J’en parle un peu plus loin.
Si nous voulons éviter de tomber dans l’illusion et dans l’attachement à vision éphémère du monde, il nous faut cultiver le non-attachement. (L’ecclésiaste nous donne de bonnes leçons là-dessus).
Mais cela ne signifie pas pour autant de vivre le détachement des affaires du monde pour adopter une vie de mendiant religieux. Il nous faut simplement, (et ce n’est pas simple), trouver le juste équilibre entre les deux faces de la Vie, l’aspect de la réalité contingente avec ses contraintes et l’aspect spirituel avec ses valeurs.
Pour assurer nos besoins et ceux de nos proches, nous gagnons et possédons de l’argent et des biens. Le problème n’est pas là.
Un sage indien que j’ai eu la chance de rencontrer dans ma jeunesse, Ram Chandra, pour le citer, disait dans la philosophie du sahag marg, « Le renoncement signifie en réalité le non-attachement aux objets du monde, et pas à la non-possession des choses…/ Le renoncement est en fait un état intérieur du mental qui ne perd pas de vue le caractère transitoire des choses, et crée un sentiment de non attachement pour de tels objets ». Nous retrouvons cette sagesse universelle dans toutes les démarches spirituelles.
Lorsque la Torah à travers les maximes des pères ( Pirké Avoth) nous suggère de nous préoccuper des affaires de nos amis comme si c’était les nôtres. Elle ne rejette pas l’idée de nous occuper de nos affaires, mais élargit le champ de la préoccupation des besoins à ceux de nos amis, puis à ceux du monde.
Cela me fait penser, avec mon utopie habituelle, à une petite histoire hassidique..
- Deux Hassids, Moché et Jacob, se retrouvent tous les jours pour leurs « havrouta » (Etude talmudique à deux).
- Jacob j’ai une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle à t’annoncer.
- Commence par la bonne, Moché.
- Ma fille se marie.
- Mazal tov Moché, mais quelle est la mauvaise nouvelle ?
- Il va falloir que tu prennes en charge les frais du mariage car je n’ai pas un sou et toi tu en as.
Silence… Les deux hassids poursuivent leur étude sans dire un mot sur la bonne et la mauvaise nouvelle. C’est comme ça que ça se passe entre « havers » (amis d’étude). Mais nous ne sommes pas des hassids
Sommes-nous capables toutefois, de trouver la juste mesure entre la vocation matérielle et la vocation spirituelle pour poursuivre l’aventure d’une vie?
Cela, c’est pour la leçon de Torah. Il nous reste la leçon à tirer pour notre sujet, Trouver un sens à sa vie. Chacun a un rapport spécifique avec l’argent. Nos divergences nous amènent à réfléchir sur le pourquoi de ce combat infernal pour gagner ce qui est le plus volatile, le plus éphémère au monde. Comprendre aussi l’effort de l’investissement de l’être, au risque de le perdre pour de l’avoir.
Dans toutes mes affaires l’accent a été centré sur la vocation. Je laissais ma première entreprise dans les mains des hippies de passage pour avoir droit, moi-aussi, à mon espace de liberté. Dès que ma liberté était en danger, j’abandonnais mon entreprise. Pionnier dans le bio, j’ai été jusqu’à vendre mon affaire en plein expansion pour 1F symbolique, juste pour un simple lapsus, ayant confondu « affaire » et « enfer » !
Maintenant j’ai compris, ça fait mal à l’âme de se plier à la contingence, alors je me suis penché du côté de l’âme et j’ai choisi le chemin du dépouillement. C’est là que j’ai commencé à gagner suffisamment d’argent pour répondre aux besoins de ma famille. Allez-comprendre !
En toute honnêteté intellectuelle, nous ne pouvons pas aborder la question du sens en faisant l’impasse sur les grandes préoccupations des hommes comme la souffrance, la mort, la maladie, les catastrophes naturelles, le sentiment d’injustice, notre rapport à l’argent et bien d’autre chose comme la générosité, l’amour, la compassion, la connaissance, … que nous aurons à explorer dans notre programme. Et D.ieu dans tout ça?
Ah ! J’oubliai ma promesse ! Hé non je n’ai pas une baguette magique, mais je sais que si vous comprenez cet enseignement que je partagerai en détail avec ceux qui entreront dans le « jeu », alors vous deviendrez riche en un instant tout en restant là assis sur votre chaise à lire une seule maxime.
Seulement je ne vais pas vous la donner gratuitement !
Mais non n’ayez crainte je ne vais pas vous la vendre.
Une promesse et une promesse, il faut juste la mérité. Alors promis je vous révèle le secret de la richesse dans les commentaires. Ça tient en à peine 10 mots ! Et ça marche, je l’ai expérimenté. Alors je vous retrouve dans les commentaires en bas de cette article. Avec une suite dans les modules gratuits.
Voir aussi l’articles un besoin essentiel
Et surtout le fil des commentaires qui progressivement apporte des voies de réflexion pour en faire un véritable attelier dans le cadre de notre programme compagnonnage de soi.
45 Comments
leoguez
7 février, 2020Merci Maurice de me ramener à cet article. As-tu remarqué que tu y es ?
Ok avec toi pour le reprendre et l’actualiser par rapports à mes dernières épreuves. Merci à vous tous d’y revenir
marco
23 juillet, 2018J’ai donc trouvé un texte de Marc Alain Ouaknin pour une revue financière ayant pour titre: Les 4 noms de l’argent. Voici un tout petit condensé qui m’a permis de chercher une réponse à ma question tout en essayant de mettre en évidence un rapport certain au compagnonnage de soi qu’Elie nous transmet.
Il y a 4 façons de dire Argent en Hébreux
1) Damim le pluriel de sang qui ce dit Dam de valeur 44 l’homme est un être de sang ce qui voudrait dire que l’argent est assimilé à la vie et à son contraire la mort,le meutre,
2)Mamon qui vient de moneh qui veut dire compter.Je compte sur vous avec une notion de responsabilité,Mais une responsabilité éthique.Un mouvement de déconstruction et de reconstruction. Un désir entre ce que je suis et ce que je pourrai être(projet sens).
L’homme est ce qu’il se comprend de lui même, Heidegger.Je suis parce que je me comprends, je me comprends parce que je ne suis pas, je ne suis pas veut dire je deviens, c’est à dire je peux être autrement.(aîn,ani)
3) Kessef qui vient du verbe éprouver une irrésistible envie c’est le même mot pour dire le désir.Mais un désir métaphysique et non de besoin.L’argent n’est pas dans le fait d’accumuler des biens mais dans cette capacité d’instaurer du désir, signifiant le rapport à l’autre comme don mais pas comme prix c ‘est à dire en fait comme transcendance.Je donne non pas pour donner mais pour le reconnaitre comme autre.
4) Maot au singulier Maah qui a deux significations, la graine ou le noyau (germer les graines de sens) on a un objet qui deviens (en devenir) .
Le deuxiéme est celui d’entraille qui vient de la racine maah qui veut dire effacement.Le même mot qui donne entraille et effacement est le mot Ma quoi ?le questionnement.La transformation.La transformation d’une réalité en une autre réalité.L’argent lieu de transformation.
On ne doit pas idolâtrer l’argent comme on ne peut pas ‘idolâtrer le nom de l’ineffable l’ homme ne s’en remet pas à lui pour se réaliser mais l’homme est responsable de sa réalisation.
C est vraiment qu’un petit condensé, j’ai encore du pain sur la planche et pain en hébreu ce dit du qu’est ce que c’est?
Pour conclure il y a un verset du Psaume 72 (Un clin d’oeil Elie) on dit: Ouvre tes mains pour nous nourrir non pas de pain mais nous nourrir de volonté.
Sonia
10 janvier, 2018Marco , elie
L argent plus fort que l amour pour certain oui, pour moi non. Je me suis aperçus a qu elle point c était important de s aimer. Quand on finis ainsi par s enrichir.
Le tsimtsoum de l argent me parle car en effet j ai acheté un kakebo. c est un agenda japonais on va marqué et pouvoir gérer ses dépenses journalière secteur par secteur. On note tous nos coût fixe et variable puis bilan mensuel.
celui qui est riche se contente de sa part. J ai toujours fonctionner en partant du principe que je devais me contenter de ce que j ai. Je préfère dépenser peu par achat mais dépenser plus en quantité. Car la richesse c est l abondance dans les actes pas de l argent.
La richesse ne dépend pas de la quantité d argent qu on a, elle dépend de notre façon de s en servir.
Je gere mes sous comme une entreprise.
Et le tsimtsoum me parle. j ai été dans l abondance , dépenses sans trop regarder , grâce a ça je me suis beaucoup plus restreinte. Il y a quand même de la lumière mais je suis plus riche Et plus sage même si il y a moins de lumière autrement dit moins de profit en abondance…
le tsimtsoum peut être aussi une notion symbolique, pour dire qu on fais une pause on se rétracte dans notre vie on se laisse le temps d observer, d analyser, de comprendre avant d agir a nouveau. Une périodes shabbatique. Ca peut être un concept qui peut venir après un vide existentiel. On passe du aleph le vide au beth. On vide la maison et on la remplit a nouveau à l intérieur et à l extérieur en étant plus organisé.
Comme les 4 mondes on émane une idée , on la projette souvent par la visualisation, c est une création virtuel, en entente de voir comme la former et on la concrétise.
J ai pus connaître cette part juive qui fait partie de moi. Et comprendre la spiritualité, trouve sa voie , c est fondamentalement. La y a que l amour que peut nous y aider pas l argent. On peut pas acheter le bonheur. Mais On peut reconnecter le chefa grâce a son cœur. Certes, j ai pu m enrichir par les livres. Donc l argent est un allié mais une fin en soi.
Au plaisir de vous lire. Sonia.
leoguez
11 janvier, 2018Merci Sonia, j’espère que tu as compris que mes titres sont volontairement provocants pour faire réagir, et tu as très bien réagi.
Je ne parle évidemment par du véritable amour, mais je joue avec le miroir des faux semblant de l’amour. Et là avec quelque dollars ça s’ébranle. Bien vue l’idée des 4 mondes, tout comme à bien vu Marco avec l’idée du tsimtsoum. Puisque après le Tsimtsoum vient les 4 mondes. Maintenant, nous ne pouvons pas développer tout ceci en commentaire. Le cadre de nos échange est ici publique, et tous les lecteurs n’ont peut être aucune idée du tsimtsoum ni Shéfa,ni des 4 mondes.
Peut être faudrait-il commencer par jeter un oeil sur la question du Tsimtsoum ICI https://kabbale26.wordpress.com/le-tsimtsoum/
Mais l’idée du Shéfa à travers les 4 mondes va bien dans le sens de ce que j’ai commencé à poster à la réponse pour Marco; qui de plus n’est pas dans le fil de cet article, mais dans un questionnement interne à notre programme.
J’ai pu noté que beaucoup de participants aux programme interne ont cette préoccupation concernant l’argent, certainement comme des passants, et comme moi-même.
J’en ai parlé en ce qui me concerne dans l’article sur la marketing éthique à revoir ABSOLUMENT ( ça c’est pour ceux qui suive le programme) pour ceux qui ont une vocation de faire un métier de leur mission. http://coachingexistentiel.com/marketing-ethique
Ceci pour dire que nous avons beaucoup méditer sur l’aspect de l’influx de la lumière, dans le site de Kabbale existentielle, nous aurons à méditer sur la question des besoins de notre réalité dans ce monde. Et là encore la kabbale existentielle à des réponses à donner pour notre responsabilité vis à vis du manque dans le monde.
A nous de trouver la juste réponse.
Je ne sais pas à quel module je mettrai cette question au programme.
En tout cas merci Marco, merci Sonia, merci Maurice, merci Ysabelle, merci isabel, merci Danilo, merci Mathilde, merci Celina, merci Nathalie, merci Virginie, merci Fabienne, merci Pierre, merci Geneviève, merci Etienne, merci Anne Lise, merci Cécile, merci à vous tous puisque chacun à sa façon m’a amené à ce sujet. Merci à toi aussi passant qui passe par là, pour la demande consciente ou inconsciente à trouver réponse à nos besoin d’équilibre entre le spirituel et le matériel. Nous sommes bien dans le principe de l’unicité de ces deux vocations qui se disputent dans le ventre de la matrice du monde depuis que le monde est. Ceci très bien représenté dans la bible ou dans la kabbale ou l’on trouve l’harmonie en (Tiphéreth) de ces principes et avec Jacob-Israël comme figure représentative . A nous de découvrir le « secret » de cette équilibre. Un plus que celui que je vous ai proposé dans cet article. » Qui est riche ? » qui mérite un véritable approfondissement. Cette réponse aurait pu faire l’objet d’un article pour lui-même, et il a trouvé sa place dans ce commentaire de Sonia.
Marco
9 janvier, 2018Merci Elie,
Qui est riche, celui qui se contente de sa part!
L ‘argent dans la thora est comme le sang, il faut que ça circule.
Il favorise les échanges. Recevoir,donner.
Trouver le juste équilibre de la balance du recevoir et du donner.
Je voulais replacer le sens de l argent dans ma vie en tenant compte de l historiosophie de l argent dans mon clan, dans la thora le replacer au niveau spirituel, levé le voile du tabou….
Le Tsimtsoum de l argent..!
Bien à toi
Marco
leoguez
9 janvier, 2018Tsimtsoum de l’argent !
Intéressant ce concept, je n’y avait pas pensé.
Le tsimtsoum, c’est faire en soi un espace vide pour laisser l’influx de la lumière entrer.
Le loi d’attraction dit de bien penser à ce que tu veux recevoir et tu reçois.
Le tsimtsoum c’est faire le vide, lâcher prise, sur le sujet, faire le vide de la préoccupation.
Mais alors comment faire pour que l’influx financier revienne?
Se fixer sur le manque, l’objet qui nécessite l’influx financier, pas l’argent , ce que je souhaite réaliser avec.
Et toujours dans la règle du tsimtsoum, le besoin de recevoir est orienté vers le besoin de donner.
Alors qui sais? Tu as peux être trouver la règle inversé de la loi d’attraction (qui d’ailleurs ne marche pas telle qu’elle est vendu, sauf pour ceux qui la vende;) ) qui fait que cela pourrait répondre à ton deuxième souhait, argent et spiritualité.
Bon c’est juste un premier jet à méditer. L’idée me semble assez juste. Il faut affiner
leoguez
23 août, 2016Le titre était provocateur,n’est-ce pas?
Je viens de recevoir un petit message de Torah Box qui aurait tout aussi bien pu faire la une de cet article. Le voici :
Il y a des gens tellement pauvres que la seule chose qu’ils possèdent c’est l’argent 😉
Ruth
9 juillet, 2016Bonjour Elie, Bonjour à Tous et à Toutes,
« Plus fort que l’amour, plus fort que l’Amitié, plus fort que la Fraternité ! l’argent » !!!…
Merci Elie, pour ce sujet qui entraine loin …. Et que pourrait contenir largement un livre – d’ailleurs je crois qu’il y a des livres qui en traitent, mais je n’en ai pas une connaissance personnelle –
Je ne sais pas si tu as « la clé » pour que nous devenions « riches », mais riches et pauvres sont de la même façon obnubilés par cette maladie …..
Sujet sulfureux que celui-ci ! comme une odeur nauséabonde et pourtant ! l’argent est une nécessité et plus que jamais dans les temps qui sont les nôtres, nous ne pouvons le mépriser –
En ce qui me concerne, mon rapport à l’argent est particulier, disons bizarre – la première fois que j’ai reçu « mon salaire » j’en ai ressenti une honte profonde, comme si je recevais une insulte – C’était la première fois que j’ai eu un contact réel avec l’argent – il fallait aller chercher « son enveloppe » au service paie … je vois encore la queue devant cette porte, qui distribuait son aumône
J’ai toujours conservé ce « dégoût » de l’argent, et encore plus en évoluant dans le temps et en voyant à quel point il pouvait influer sur les comportements – l’argent et le « paraitre » sont réunis dans une même étreinte – Il faut de l’argent, pour se faire voir, pour exister ! l’argent c’est « le pouvoir » ! et nous en avons de beaux exemples avec l’oligarchie gavée qui domine aujourd’hui ce monde – – (mon regard s’est malgré cela adoucit avec le temps en le détournant de ce que l’argent a de plus négatif en lui, bien que j’en ressente toujours une « gêne » d’en parler, de l’évoquer …) –
Alors c’est vrai, sous cet angle, l’argent est dérangeant, perturbant, en même temps qu’idôlatrie !
Mais néanmoins, lorsque je lis « qu’il est plus fort que l’amour, etc… » je ne le crois pas – Lorsque l’amour est l’Amour, lorsque l’amitié est l’Amitié, rien de peut surpasser ce Sentiment qui peut être au-dessus du sentiment – Alors l’argent, n’est pas un obstacle, mais un moyen pour vivre, pour partager, aussi pour aider de mille façons, son énergie alors est transformée et participe au Bien, son énergie est Spirituelle – Et s’il n’y en a pas, au contraire la Force de l’Unité dans l’Amour ou l’Amitié, dépasse le manque – On peut se rendre compte, qu’on peut se suffire de rien et être heureux –
Tout porte en soi, son contraire, c’est-à-dire « positif-négatif » – Tout dans notre monde est régit par cette dualité – Nous venons au monde avec ! – Aussi nous portons en nous, la Réponse et le Comment il nous est possible de « regarder » l’argent, avec suffisamment de recul et sans attachement particulier – Le regarder comme un « outil » qui permet de répondre aux nécessités que notre Société nous imposent en même temps que d’assurer la sécurité et le bien-être de notre famille, de ceux qui nous sont confiés, de ceux dont nous sommes responsables et ces derniers sont nombreux – Ne sommes-nous pas responsables de la Société elle-même de par notre comportement ? Tout cela avec discernement – Avec discernement , car le désintéressement total risque d’amener le « trop généreux » à sa propre indigence, (trop s’oublier, fait qu’en final on vous oublie …. »(j’en ai connu) et le trop « radin » l’amène à l’oubli de l’Autre, et même à l’oubli de lui-même – l’argent est devenu alors son obsession, sa boulimie et son D.ieu – (j’en connais !)
D’ailleurs, il faut bien le dire – l’Argent dans notre monde actuel a pris la première place, il a volé la première à D.ieu (si l’on peut dire cela, car D.ieu est UN de toute éternité) mais dans le regard de l’homme ordinaire, c’est bien l’argent qui a la première place et qui gouverne aujourd’hui le monde –
Si l’on se pose la question au niveau du Cherchant Spirituel, du Cherchant du Sens, que nous sommes, en tous les cas à des niveaux de conscience Consciente on ne peut que remettre l’argent à sa place – Un outil, un moyen comme je l’ai déjà dit qui va permettre déjà d’évoluer soi-même à savoir participer sur un plan matériel (auquel nous ne pouvons échapper) de répondre aux besoins de tout à chacun, dans des conditions respectables tant pour soi que pour sa famille (St Vincent de Paul Prêtre Chrétien touché par la misère des Pauvres, disait : « avant que de leur parler de D.ieu, il faut leur remplir le ventre ! ») et aussi , par exemple, répondre à nos idéaux et pouvoir accéder à des Enseignements, conférences, séminaires, etc… , en tous les cas, tout ce qui peut faire évoluer et grandir l’Homme, et pour lesquels il y a nécessité le plus souvent de participer financièrement (tout travail mérite salaire ) sachant que le système dont nous sommes « l’otage », nous y oblige , car sans argent, nous ne sommes « rien » et nous ne pouvons « rien » ! A défaut d’argent, nous dépendons alors des autres, de la société, de la communauté, mais « sans contrepartie » à donner, nous sommes « à charge » – C’est pour cela qu’il faut être en état de « donner » – (Qui donne aux pauvres, donne à D.ieu dit Victor Hugo « les voix intérieures » – ce qui rejoint les appels à la Tsedaka qui nous sont faits )-
Etre dans cet esprit demande déjà, un certain détachement de l’aspect matériel de notre existence , une sorte de regard neutre mais sans volonté de retrancher ou de rajouter – Entrer dans un schéma « je donne-je reçois » et cela sans « attente » ! Et cela demande aussi de la « Sagesse » ( c’est bien ce que nous recherchons ? )
En conclusion, (pardon d’être aussi prolixe) sur cet exposé qui ne peut être que très succinct, je dirais « IL FAUT DE L’ARGENT » tout en étant et restant « Sage » afin d’en canaliser la « FAUSSE PUISSANCE » car il n’y a rien de pire que d’en manquer, que de ne pas pouvoir réaliser ses besoins tant matériels, qu’intellectuels et spirituels (les livres, etc….) et aussi de ne plus pouvoir continuer à donner, à offrir de différentes manières (matérielles, ou autres – il y a tellement de façons d’aider et aussi de faire plaisir à ceux qu’on aime, ou que l’on découvre dans la nécessité) – Pour moi, c’est la pire des choses – « l’Autre », est très important pour moi – Enfant, je donnais, Adolescente je donnais, Adulte je donnais ….. Donner, porte en soi une nourriture qui a le goût de « la manne » et aussi « des cailles » reçue dans « son » désert – ! Aussi, comme déjà dit, il faut aussi qu’il y ait un minimum de « discernement » trop de Hesed, vide l’être de sa substance et quand il n’y a plus de « lait », l’être peut d’un seul coup se tarir ! Il est donc très important d’APPRENDRE à comprendre et à gérer cette « chose » que l’on appelle « l’Argent » et qui est en lien avec l’émotionnel, avec les sentiments (pulsions) , tant qu’on n’en a pas neutraliser ou maitriser l’influence –
A noter que l’argent, n’est aujourd’hui que de « la monnaie » du papier ! et non plus les pièces sonnantes et trébuchantes utilisées par le passé, d’où il tire son nom ! Or (sans jeu de mots) l’argent (le métal) est en lien avec la Lune ! qui montre bien sa « volatilité » « ses caprices » (un jour riche, un jour pauvre !) et donc sa relativité … c’est à mon avis, cette relativité qu’il convient de «Conscientiser » – l’argent, la monnaie, c’est « rien », une illusion (comme le reflet lunaire) la valeur qu’on lui donne n’est que subjective et qu’humaine en même temps – La vraie richesse nait de l’Intérieur et fructifie dans le Secret de cette « Grotte » qui se nourrit dans l’En Haut et qui s’en illumine –
A noter également que l’argent, sous réserve d’erreur de ma part, – n’est pas condamné dans la Torah – Simplement Elle interdit « l’usure », c’est-à-dire les intérêts …. (on est bien loin de la Torah.. !) – c’est bien là, une notion qui fait comprendre « du Comment » de l’argent !! Sans cette volonté dictée par l’égo, il peut être « ni bien, ni mal » « ni bon, ni mauvais » – un moyen d’échange et de don, un moyen de liberté face à son contraire qui est l’esclavage et la prison !
Quel message ? quel « travail » ? à proposer à ceux et celles qui privés de ce moyen n’en peuvent plus de se battre et de se débattre pour vivre, ou survivre, écrasés par les prêts qui les rendent ainsi « esclaves » « dépendants » qui les musèlent ? C’est le système d’aujourd’hui ! Ceux-là qui ne demandent pas « l’amérique » qui veulent seulement vivre dignement sans que l’esprit soit « mangé » par le manque ? Et que dire à ceux qui « repus » d’argent n’ont même plus conscience de ceux qui n’en ont pas ? ce n’est pas l’avenir du monde qui les entoure qui les intéresse, mais l’avenir de leur « argent » ! et entre ces deux, ceux du « milieu » qui ne sont ni riches, ni pauvres, mais qui jouent les équilibristes penchant sans cesse leur perche d’un côté et de l’autre ? Oui, cher Elie, « l’argent » est une véritable calamité et quel que soit, le médicament, il laisse , (pour mon avis) d’une façon la plus générale « une tâche » dans les esprits sauf vraiment exception !
Merci encore Elie, pour nous(moi) sensibiliser ainsi sur ces questions « existentielles » ! On ne peut moins dire …..
Belle journée – Ruth
leoguez
9 juillet, 2016Comme je le disais ce titre est volontairement provocateur, un titre qui fait réagir, mais combien tueraient père et mère pour l’argent?
nous sommes évidemment face à une conscience primaire. Mais c’est aussi une réalité dans les rapports marchant. D’où la difficulté de mettre un prix devant certains échanges comme celui que nous construisons.
Le petit clin d’oeil, c’est un verset des maximes des pères. « qui est riche? Celui qui se contente de sa part
Ruth
10 juillet, 2016Bonjour Elie – Merci de ce retour – C’est vrai que la maxime résume bien « l’idéal » du sujet même si on peut le disserter, le sujet est tellement vaste et a tellement d’aspects. En tous les cas il inspire et fait chercher des réponses quant au Sens et à celui qu’il faut lui accorder – Je pensais aussi à ce qu’en dit Salomon ! duquel texte il ressort que bien ou mal acquis, bien ou mal employé, il n’est ni assurance dans la vie, ni source de bonheur – et il le considère en final comme « don de D.ieu », qu’Il peut reprendre – Mais comme dit cette maxime « qui est riche ? celui qui se contente de sa part » on y voit bien là la Voie du Détachement –
sonia
31 juillet, 2015Il est vrai que l argent est plus fort que l. Amour quand on vois que certaines personne paye DESS abonnement de site de rencontre pour satisfaire leur besoin relationnel. Ou que sans argent il ne peut pas se payer de loisir, de soin médicaux, s alimenter correctement, avoir un toit et donc ne peut etre libre. L argent est une clé devenus primordial dans notre société. Pour avoir le sentiment D avoir une existence social et une place dans la société sans argent c est tres difficile car toute est payant. A moins de vivre danss l ascetisme ou l amour deviens plus fort que l argent. Dans notre societe Faut savoir ce contenter de se qu on a mais c est pas toujours facile. Arriver a faire passer l amour avant l argent on choisissant un métier qui est une passion plutôt au un métier alimentaire. Ce que j ai fais et que je regrette pas meme si c Est très dur d accroitre une clientèle. Le pouvoir d existence a l heure actuel se résume a l argent la plupart du temps alors que ça devrais être notre amour propre qui devrais nous aider a avancer et au on devrais accroître. Les chose n ose même plus réaliser leur rêves ou se faire aider pour y parvenir. Ils préfère survivre plutôt au exister.
Mathilde
30 juillet, 2015Le secret de la richesse en 10 mots… je n’ai pas trouvė « la » phrase mais je crois que c’est certainement liė au non-attachement. Ceux qui sont le moins attachės ā l’argent se sentent le plus libres de toutes les misėres qu’il peut causer et se sentent riche à l’intėrieur. Ils n’ont pas « besoin » de l’argent pour se sentir en plėnitude.
Elie, est-ce que j’approche de la « rėponse »?
leoguez
31 juillet, 2015Oui en effet, mais c’est aussi en rapport avec la roue de la vie.
Mathilde Agoustari
31 juillet, 2015Avoir une roue de vie équilibrée est une bonne façon d’être riche. Pour ce aui est de la réponse en 10 mots ou moins, je donne ma langue au chat…
leoguez
31 juillet, 2015Je donnerai la réponse pour tous c’est écrit quelques part. Mais reprend le questionnement précis pour roue… qu’ai-je demandé?
Bon week End
Mathilde Agoustari
31 juillet, 2015Elie, Finalement, je crois que j’ai trouvé cette fameuse phrase! (enfin, je l’espère, sinon …)
« Qui est riche? celui qui se contente de sa part » Maxime des pères. Ne plus être dans le sentiment de manque quelque soit notre situation et tout de même continuer à travailler sans le sentiment de combler un manque…
Oh! comme c’est vrai! Le sentiment de manque et le besoin de combler ce manque, c’est bien cela qui est si perturbant, quand on est pris dans ce piège. Lâcher prise à ce sujet n’est pas chose facile et j’aimerais bien y arriver plus facilement..
Shabat Shalom.
leoguez
31 juillet, 2015Bravo… Reste à appliquer ce verset si riche, sans perdre la motivation d’avancer… L’idée d’avant sur le non attachement permet de poser des intentionnalité positive au niveau de l’argent… Juste à poser que gagner de l’argent ne passe pas les 8 critères des objectifs…
Mathilde Agoustari
16 juillet, 2015Petite continuation sur ce thème (j’ai cliqué trop vite..). « Plus fort que l’Amour, l’Argent », je l’ai souvent vu. Mon expérience, surtout dans le monde des affaires et aussi dans ma vie privée, est que je gagne plus à laisser tomber les disputes sur l’argent et en perdre, plutôt que perdre une relation, et ME perdre dans des énergies négatives et inutiles. Mais quand il s’agit de grandes sommes, ce ne doit pas être si facile. J’espère que ça ne m’arrivera jamais!
Mathilde Agoustari
16 juillet, 2015Je suis assez d’accord avec ton point de vue, Elie. La meilleure image que j’aime utiliser pour l’argent c’est celle où on est dans une barque, on prend de l’eau dans un seau sur un des côtés et on la verse de l’autre côté. On a donc l’eau en main pour un certain temps et quand on la reverse dans la mer, elle y est retournée. Il y a plein d’eau dans la mer, donc en abondance, et comme cela je peux imaginer que c’est la même chose pour l’argent. J’envie les gens qui n’ont aucune crainte vis-à-vis de l’argent, ils en ont ou il viennent à en manquer, pour eux il suffit de quelques actions (comme de puiser de l’eau avec son seau dans la mer) et ils en ont de nouveau. Personnellement, j’ai presque tout connu, assez bien d’argent et parfois plus du tout, et alors je me suis retrouvée en dettes. Mais même quand j’en ai, j’ai facilement des angoisses de ne plus en avoir. Alors, pour moi, c’est un travail continuel pour apprendre à ne pas trop m’y attacher, bien que je trouve que c’est nécessaire à notre survie dans une société comme ici en occident, et puis… l’argent permet de faire des choses qu’on ne pourrait pas faire sans, ça ouvre certaines portes et des horizons différents. Je crois aussi que l’importance de l’argent peut être liée au charactère de chacun: si on aime une vie tranquille à la campagne et sans jamais voyager, par example, alors on n’en aura moins envie que quelqu’un qui aime voyager et écrire sur ses aventures, même si on peut voyager sans un sou en poche, comme certains en sont capables, mais ce n’est ni mon cas, ni mon ambition. Le sujet est illimité.
leoguez
16 juillet, 2015Merci Mathilde,
Je dois juste profiter de ton intervention pour souligner que mon titre est volontairement provocateur. Il fait référence à une réalité qui malheureusement inverse les valeurs. Je souligne aussi que la forme pédagogique de ce texte vient nous bousculer pour aboutir à deux principe.
1 que le problème n’est pas l’argent car il a son utilité et sa raison d’être ni la faite d’en posséder plus ou moins mais l’attachement. Le poids qu’on lui donne dans notre vie.
2 c’est le secret de la richesse en 10 mots que nous reprendrons dans notre exercice sur la roue de la vie.
leoguez
30 juillet, 2015As-tu découvert le secret de la richesse en 10 mots?
Elisabeth C.
12 juin, 2015Bonsoir Elie et merci pour cet article et l’échange qui en a découlé.
L’argent est un moyen d’échange nous apprend-on à l’école, un moyen qui facilité les échanges. Et il est vrai que l’on confond beaucoup moyen et fin,surtout depuis le 18e siècle, en accumulant l’argent au détriment de l’échange car l’argent est devenu le signe de reconnaissance sociale. Est-en en empêchant ou en ralentissant le sang qu coule dans nos veines que l’on vivra plus longtemps? J’en doute.
Et puis j’aimerai apporter un témoignage qui va dans le sens . Il y a une quinzaine d’années, j’ai ressenti le besoin d’aller voir comment fonctionnait le monde et donc j’ai revendu mes entreprises.Je n’avais plus grand chose et j’ai du m’inscrire au RMI mais 1 an après, j’avais dépassé la situation déjà confortable que javais avant de tout quitter. Est-ce parce que j’étais sur ma voie et choisi de suivre une intuition? Comment cela fonctionne t- il car j’ai toujours reçu de l’argent quand j’en avais besoin? encore dernièrement? Y a t-il des chemins plus difficiles que d’autres, des chemins où la question de l’argent oblige à se positionner? Le manque d’argent marque t-il la fin d’un cycle, le fait que les vieilles peaux sont à jeter?
Comme s’écrit le mot argent en hébreu? Quelles sont les lettres hébraïques qui le composent?
Enfin un clin d’œil: j’habite un village qui s’appelle Damville, la ville du sang et c’est là que j’ai rencontré la kabbale, la connaissance, pour la 1ére fois et j’ai beaucoup de mal à m’en éloigner.
Amitié à tous. Elisabeth
leoguez
12 juin, 2015Merci pour ton témoignage,
En effet l’argent oblige à nous positionner. En plus dans la tradition Hébraïque la gestion de ce que nous recevrons se fait chaque année selon des calculs est valeur qui dépassent notre entendement.( Nous en avons tout de même quelques aperçu) Par contre ce qui nous est donner à gérer c’est la façon dont nous le dépensons. Mais je vais t’avouer que c’est un des points qui m’a été le plus difficile à positionner dans mon offre. J’ai plusieurs profils clients, dont des anciens élèves et des amis. Je voudrai éviter la gratuité qui n’est pas productrice. Je voudrai éviter de faire un trop grand différentiel entre le client lambda et l’ami ou l’ancien élève. J’ai écouté ceux qui ont répondu à mon questionnaire pour conclure selon ce que ma conscience m’a dicté. J’ai défait et refait ma page de présentation pour répondre aux questions posées.
sonia
11 juin, 2015Personnellement j ai choisi de travailler pour m’enrichir intérieur. pour moi l argent dans mon travail est une récompense, un geste important dans la relation Donnant donner. Dire que l argent est plus fort que l amour est pas faux ceux qu il faut c est ne pas laisser l argent gère notre vie. Car c est certainement pas la quantité d argent qui nous rend heureux mais la qualité du travail fait avec le coeur qu on a fait pour recevoir de l argent qui nous rend riche. L argent nous permet de sa construire dans l ici bas. Peut être que l argent est plus fort que l amour mais cela dépend alors pour qui ? Dans notre societe l amour est notre force avec l espoir pour avancer l argent n est que le moyen pour parvenir a l épanouissement est a nos but. Certaines personnes vive marginalement et se soucis guère de leur revenus. C est un gros débat en effet. Pour moi c est pas l argent le plus fort dans ma vie car c est mon amour propre qui a gain de cause surtout quand je me fais rémunérer je me met a la porter d autrui en proposant divers tarif pour aider les gens a trouver un sens, leur voie en laissant la possibilité a tous le monde de pouvoir faire une seance meme si on final je gagne moins d argent par personne je m enrichis par le fait que bcp de personne peuvent me consulter ce qui me permet. D accroître mon développement personnel. Si on travail c est cette car l argent est plus fort que l amour. Sans argent on peut rien construire mais avec notre amour propre on peu tout affronter.
Annie
11 juin, 2015Je suis comme ester
L argent c est un moyen de locomotion pratique utile nécessaire
Tout dépend de ce que l on fait avec l argent
On peut ambitionner de devenir riche quand on a été pauvre parce que l on a vécu ces manques de possibilité sans argent et effectivement savoir comment utiliser sa richesse pour lui donner une sacralite spirituelle
Comme construire une synagogue aider des écoles des enfants etc……
On peut naître dans le confort et savoir se soucier de l autre et reconnaître sa chance et de donner
On peut aussi devenir radin parce que l argent est mis sur un piédestal des valeurs et devenir sot parce que l on croit que tout peut s acheter!!!
Dans tous les cas
Qui peut se passer de l argent aujourd’hui c est incontournable
estherjb
10 juin, 2015Bonsoir Elie,
Désolée d’intervenir tardivement dans ce débat, mais je ne suis pas vraiment d’accord avec la phrase suivante :
« Quand je-tu pense « je n’aime pas l’argent », c’est faux, du point de vue de la réalité des besoins de ce monde. Ce n’est pas que tu n’aimes pas l’argent, puisque te procure les biens nécessaires à la vie dans ce monde »
Je pense qu’évidemment nous avons besoin de l’argent pour vivre et payer nos factures, et je pense que mon rapport à l’argent se limite vraiment à cela. Pour moi, cela n’implique pas d' »aimer l’argent ». Pour moi l’argent n’a que valeur d’échange, ce n’est pas une valeur en soi. Je n’ai pas besoin d’aimer l’argent pour pour payer mon loyer ou aller au supermarché. L’argent me sert à acheter ce qui m’est nécessaire et s’il en reste je suis heureuse d’en mettre dans la tsdedaka, et bien souvent avant même de savoir s’il va en rester.
Par contre, je serai plutôt d’accord avec la fin de ta phrase : « mais c’est comme un cri de la conscience contre l’attachement et les limitations que l’argent produit. »
Esther
leoguez
10 juin, 2015Quand je dis « je n’aime pas l’argent » c’est faux, cela ne veut pas dire j’aime l’argent. Mais c’est tout aussi faux de dire je n’aime pas l’argent puisqu’il a comme tu le dis et comme je l’ai dit l’argent à sa place dans la nécessité contingente. En fait je veux dire quand j’ai ce rejet face à la question de l’argent, c’est ce que tu as souligné: un cri de la conscience contre l’attachement et les limitations que l’argent produit. » . En faite j’ai entendu ce cri de la conscience chez un ami correctement argenté « je n’aime pas l’argent » et pourtant quand on regarde le confort que sont argent lui procure, ce cri de la conscience voulait dire autre chose. Il ne supportait plus cette inquiétude (attachement) qu’il avait d’en manquer et surtout les relations faussées que son argent apportait avec proches et ami.
Ce qui est intéressant dans ta lecture c’est comment as-tu pu lire ce que tu as entendu en toi. Comment ce texte peut induire un présupposé « aimer l’argent » alors que tout le texte va vers le détachement vis à vis de l’argent.
Alors comme tu as tout faux, tu as gagner la réponse que tout le monde attends. Devenir riche en 10 mots.
« Qui est riche? celui qui se contente de sa part » Maxime des pères. Tout juste 10 mots. Ne plus être dans le sentiment de manque quelque soit notre situation et tout de même continuer à travailler sans le sentiment de combler un manque…
Bref c’est pas un cadeau! Est-ce vraiment plus facile d’atteindre cette richesse intérieure que celle des extériorités?
Dans une de mes vidéo, je disais, si tu es formateur, enseignant, thérapeute… pour ce que ce sont des métiers ou on « gagne bien sa vie », change de métier. J’ajoute, mais si tu fais ce métier pour le bien que tu peux apporter à autrui, alors ce que tu gagnes en retour est une bénédiction pour le donneur comme pour le receveur.
estherjb
10 juin, 2015Selon la maxime des pères que tu cites, je m’estime riche effectivement car je me contente de ma part, et tu sais que je ne suis pas riche ! Mais qu’importe ? Ce n’est pas la richesse matérielle qui est importante dans la vie, je préfère la richesse intérieure d’une personne. Plus facile à atteindre ? pas sûr mais on peut l’atteindre avec un peu de réflexion et de travail sur soi.
Esther
leoguez
10 juin, 2015Je te sais riche. Il te reste à partager ta richesse.
GALINDO Geneviève
25 mai, 2015Bonjour Élie, bonjour à tous, Tout d’abord MERCI pour cet article et vos commentaires. Ils arrivent à un moment où mon rapport à l’argent est une question urgente pour moi, parce que j’accepte de quitter un emploi salarié qui m’assurait non seulement un confort et une stabilité financiers mais surtout la liberté de redistribuer une partie de mon salaire. Voici ce qu’ils m’inspirent
L’argent pour moi, n’est qu’un moyen que j’ai mis et mets au service de mon développement personnel au travers de diverses formations et au service des autres par rapport à leur nécessité du moment. Je ne donne pas seulement de l’argent, je donne aussi beaucoup de mon temps à être consultante coach en bilan de compétence ou en transition de vie gracieusement parce que les besoins sont là, parce que j’aime donner ce que j’ai et ce dont les autres ont besoin. Mais je réalise d’une part que sous couvert de générosité, se cache le désir d’être mécène, d’aider voire de sauver les autres, d’autre part qu’en agissant ainsi, sous couvert de gratuité, j’exprime peut être que ma valeur est nulle à mes propres yeux. L’enfer est pavé de bonnes intentions et je ne sais pas aujourd’hui comment concilier et réconcilier l’image de moi même à mes propres yeux et aux yeux des autres, les nécessités d’une vie sociale où rien n’est gratuit et mes valeurs éthiques et spirituelles. Voilà des questions à débattre dans le projet sens !
leoguez
25 mai, 2015Bonsoir Geneviève,
En effet tout est dans ce que la kabbale nomme l’équilibre de la balance, équilibre entre bonté et justesse. Un enseignement que je paraphrase dit que la la racine inconsciente de la bonté peux être égocentrique, c’est à dire que le besoin de donné peut avoir comme cause le besoin de recevoir, (reconnaissance par exemple). Le bonté est certes une des valeurs les plus élevés, mais il faut aussi voir si cela apporte un bien à celui qui reçoit gratuitement. Le créateur lui même dans sont immense bonté à décrété que le bien qu’il souhaite nous prodiguer n’est un bien véritable que si nous faisons un « travail » pour l’acquérir. C’est une partie importante de la kabbale existentielle que j’aimerai partager dans nos prochains modules. Elie
Benjamin
18 mai, 2015Il me semble que l’argent nous permet de nous connecter au monde qu’on croit extérieur à nous, en nous donnant l’illusion qu’on peut en posséder un morceau.
Pour moi, l’argent est le moyen qui permet de s’offrir une part d’existence là où il manque en nous une part de vie.
Peut-être que si nous étions vivant dans toute notre âme, nous pourrions avoir conscience du fait que tout le monde extérieur émane de nous-même, et qu’il serait donc incohérent de chercher à le posséder en se tuant à la tâche (l’attache). On accepterait donc que la vie nous amènerait, de toute façon, ce dont on aurait besoin.
En attendant de vivre une conscience aussi élevée, nous devons remplir nos vides de vitalités par de l’existence matériel, afin de se rassurer, et se consoler (consolation/consommation).
Le problème, est que le remplissage de ce manque de vie, par de l’existence, pourrais nous faire prioriser une recherche d’existence sur une recherche de vie, et faire de nous des esclaves du gain matériel. D’où l’importance de chercher, chacun, notre propre équilibre entre existence et vie.
Etant plus ou moins conscient de la valeur inestimable de la vie, j’ai toujours eu très peur de rater ma vie. Et je pense que le seul moyen de ne pas rater sa vie, et d’œuvrer à dévoiler son propre potentiel.
Il me semble aussi que d’aller vers le dévoilement de son propre potentiel, permet d’aller vers l’amour de soi, et donc, vers l’amour des autres.
Il y a deux ans, ma femme, mes enfants et moi, avions le choix entre aller vivre au Québec (j’y ai déjà vécu), avec de forts salaires, et une vie amusante au possible, ou alors faire notre Alyah, quitte à gagner plus difficilement notre vie, dans le but de continuer au mieux notre recherche en Dieu, et se conduire en parents responsable en offrant à nos enfants la possibilité de s’épanouir en Israël, ce pays dans lequel la vie prime sur l’existence.
Nous avons donc priorisé le chemin de la vie, sur celui de l’existence, et, cerise sur le gâteau, on s’amuse au moins autant qu’au Québec, et notre situation matérielle est en perpétuelle évolution…
Nadège
18 mai, 2015Merci Elie pour tout ceci ! Je serai patiente alors… Je ne doute pas que ton prix sera le plus juste pour toi et les personnes qui correspondent à ton offre.
A bientôt, Nadège.
PS : Je « comprends vite », oups, il faut le dire vite ! Avec tous ces projets que j’ai osé remettre à plat et ces livres que je lis par ailleurs, sans compter le soleil qui m’appelle de plus en plus souvent, je n’ai toujours pas tout lu du module 2…
leoguez
18 mai, 2015Pas de problème, Nadège ça fera partie des « devoirs de vacances » que je vous prépare.
tina Bosi
18 mai, 2015Merci Elie pour ton « investissement ». En ce qui me concerne, je sais que lorsque je fais un bilan sur mon rapport à l’argent, il est tres souvent en lien avec mon état de fragilité.
Si je suis dans un projet porteur ou je me sens à ma place, qui me nourrit dans le dynamisme tout va bien, mais lorsque je doute, même si en soi, je n’ai pas de problèmes financiers, je peux vivre des moments d’angoisse et de manque en ayant peur de ne pas pouvoir aider mes enfants ou de dépendre de qui que ce soit.
Lorsque j’ai lu qu’en en recevant la « manne « dans le désert, les hébreux étaient nourrit de questions, j’ai ressentie un vrai soulagement. Ce que le mauvais rapport à l’argent risque de nous faire perdre, c’est justement cet élan et la joie de se poser les bonnes questions et perdre le vrai lien avec soi et les autres.
Une vigilance de chaque jour….
je remercie aussi très souvent la vie de vivre dans ce confort et de gagner ma vie dans le domaine que j’ai choisie et qui me construit. amitié tina
leoguez
18 mai, 2015Merci Tina pour ce beau témoignage. J’adore!;) Avec tous ces commentaire comment me taire;) Vous tous qui jouez le « jeu du je » vous permettez de hausser le niveau de partage. C’est une grand encouragement pour moi à poursuivre mon projet-sens. Nous verrons Tina, en quoi le rapport à l’argent (et aux biens matériels) est un des fondements de l’évolution spirituel. Ceci aussi bien du coté pratique avec une analyse de la base de la pyramide de Maslow inversée, (vu coté existentiel) comme dans la partie de la Kabbale existentielle ou l’historiosophie biblique où la question se pose dans le rapport entre Jaccob et Esaü. Et tu as touché du doigt, pardon du cœur, le manque ontologique avec la manne, là ou il n’y a plus de problème de contingence puisque tout est donné, il nous reste le véritable questionnement du sens. Elie
Nadège
18 mai, 2015Bonjour Elie,
Heureuse de te retrouver en grande forme ! Quel sujet ! J’y travaille depuis quelque temps, et certains enseignements que j’avais reçus de Deepak Chopra (les clés spirituelles de la richesse) commencent à faire leur effet. Mais surtout, après des déboires l’an dernier, j’ai beaucoup appris sur la physique quantique et les principes d’Hermès Trimégiste (Le Kybalion) et en ce moment, je lis (je travaille, devrais-je dire) un livre formidable « Créer votre abondance. Manuel e de prospérité » de Sanya Roman et Duane Packer qui sont en fait des médiums et disent avoir canalisé ces riches enseignements.
Quelle qu »en soit la source, cela ressemble beaucoup à du coaching car on fait le point, on se pose des questions, on visualise, etc. Toujours dans le sens de la joie et du plaisir, du respect de soi, tout en étant utile aux autres, au passage. Mais être complètement Soi, c’est déjà être utile aux autres. J’ai pu le constater, plus j’étais « égoïste » comme on dit si mal, mieux je me porte et les gens m’apprécient, trouvent ma compagnie agréable et disent que je leur fais du bien ! Ce qui est bien dans tout ça, c’est qu’alors, je n’ai même pas besoin de leurs compliments, je ne fais pas ça pour être aimée, même si ça rajoute au plaisir.
Ce que je retiens de ce travail que je fais, c’est que je dois me faire plaisir, et faire ce qui me fait plaisir depuis toujours. Chouette non ? Du coup, en ce moment, moi aussi, je vais très bien, je suis très enthousiaste à l’idée de recréer ma vie comme je l’entends, avec plus de ce que j’ai toujours aimé au fond de moi (écrire, dessiner, peindre, chanter, danser, etc.). Je comprends aussi que mon passé a servi à enrichir ce que je vais créer, car j’aurai des choses plus intéressantes à dire et à raconter.
Voilà où j’en suis, et d’après ce que j’entends partout, il semble que suivre ce chemin m’amène déjà à beaucoup de joie et que l’argent viendra de façon logique !
Alors, quel est ce secret ? J’ai envie de voir si ce que tu dis est en corrélation avec tout ce que j’ai entendu en long, en large et en travers, et qui a mis tant de temps à faire son chemin dans mon esprit… Car il y a parfois beaucoup de blocages à franchir avant d’arriver à la Porte du Paradis terrestre.
Belle journée, Nadège.
leoguez
3 avril, 2018J’ai pas compris pourquoi cette article sur l’argent est revenu en commentaire, tout comme celui du temps. Le temps, l’argent… ???
Bizarre ce retour de cette ancien article à titre provocateur « Plus fort que l’amour, l’argent » !!!
Juste à vous dire puisque ceci arrive au temps du deuil de ma mère où la question d’argent n’est pas d’actualité, et que l’expérience vécu vient me dire que tout est vent, éphémère, vanité … tout ce qui existe sous le soleil retourne à la poussière … Sauf l’amour. Oui si il y a une seul réalité dans ce monde qui n’est pas vanité, ce serai l’amour vrai. Comme celui d’un enfant de 72 ans pour sa mère de 97 ans. Il n’y a plus rien à recevoir, plus rien à donner, juste aimer… Est-ce cela la leçon de cette article?
Ruth
3 avril, 2018Oui, cher Elie tu viens de tout résumer ! Que la Paix soit dans ton cœur et dans ton âme afin que cette paix alimente celle de l’âme de ta maman, laquelle est dans la lumière – Egalement rappelons qu’AIMER, comme tu le dis, juste cela, c’est là aussi seulement que l’on reçoit, c’est l’unique ouverture qui englobe, qui absorbe tout – On pourrait dire que c’est un mélange indéfinissable de joie et de souffrance qui se transforme en une seule énergie subtile « aimer » et qui peut faire toucher du doigt « Cela » qui ne se prononce pas, tout en le dé/couvrant au travers d’un être « aimé pour de vrai » comme tu le dis !
leoguez
3 avril, 2018Merci Ruth, d’article en article, je retrouve celui » d’apprendre à aimer« , et j’ouvre le module guimel sur l’écriture.
leoguez
11 avril, 2018C’est fou de me relire et me relié à nouveau à travers la lecture de ceux qui lise et se lie… C’est une véritable voie comme la « parole qui se voit »… une voix qui ouvre la voie…
[…] Ah l’argent ! L’argent ! Encore lui ! Combien d’articles ai-je écris là-dessus ? Jusqu’à oser ce titre provocateur : « Plus fort que l’amour, l’argent ! » […]
[…] Plus fort que l’amour l’argent : http://coachingexistentiel.com/l-argent […]
[…] « plus fort que l’amour l’argent » : avec 27 commentaires. Nous attendons le vôtre : http://coachingexistentiel.com/l-argent Idem dans la présentation « levons le voile) … Voir dans […]
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