Ce que je trouve de singulier est plus dans la personne que tu es plus que dans la formation en elle-même dans ce que je découvre et perçois pour l’instant .
Ta légitimité à parler de souffrance (forte douleur dans ton corps ) et de la mort (expérience EMI par exemple) .
Ton parcours avant « techouva » en contact avec d’autres traditions.
Redécouverte de la Torah non pas par tradition mais par Amour des lettres
Avoir été un proche d’un grand maître comme Manitou
Avoir conscience du projet pour le am Israël et les nations et œuvrer pour les Bne Adam
S intéresser à la nouveauté du digital même si ce n’est pas toujours évident.
Garder une certaine pudeur sur tes succès et compétences…quoique parfois je me dis que tu pourrais partager plus ta réjouissance à réussir certains objectifs qui restent au service du divin ( te réjouir de tes 1000 abonnés ouvertement n enlèvera rien à ton humilité car tu sais que c’est au service d’une plus grande diffusion au service de plus grand).
Ta connaissance de nombreux auteurs, de l écrit de sa diffusion (Metasophia, ton livre….)
Ton alya
Ta capacité à parler « sans filet » de ce que tu ne « sais pas » tout en découvrant des perles
Écouter le silence
Récadrer les personnes avec tact , recentrer la question avec douceur.
Vivre l émotion devant l’autre sans filtre (tellement réprimé chez d’autres hommes )
Rendre accessible des notions de kabbale pas facile à comprendre
Même en allant dans tous les sens on peut trouver une forme de structure
Sentir que tu es heureux pour des choses simples
Montrer à l autre que rien est figé que tous peuvent contribuer et apporter des choses, leur touche personnelle (change des personnes qui prennent le pouvoir et qui refuse qu’on touche à leur « Methode » ou « technique »)
Se sentiment de liberté qui donne envie de s engager car on ne se sent pas enfermé dans un système.
Une forme de touche de féminin qui te permet d’être entendu par les femmes.

Bon voilà j’ai pris ce temps de réflexion sur ta singularité qui j’espère te sera utile.
Je te partagerai la mienne à une autre occasion.

Comment partager avec ceux qui vivent leur vie au rythme du maintenant et du rationnel alors que notre esprit est spirituel et cherche le symbolique d identité de fraternité à travers le rituel lés coutumes des parents la transmission

C’est comme si les pièces d’un même puzzle avaient été mélangées et redistribuées lors de ces 2 années de confinement …on fait tous partie de la même boîte de jeu , même si chaque pièce de puzzle est différente, nos différentes particularités se re joignent dans l’intention « spirituelle » de re joindre UN tout, de collaborer , chacun(e) selon sa mission, celle qui donnera à d’autres êtres de se reconnecter à La Source.

Ma singularité, il y a eu tant de choses que je ne sais plus. Des étapes sur le chemin, un chemin de croissance, de co naissance et renaissance. La singularité d’ un être humain sur le retour vers le UN.

En ce qui concerne ta singularité, Élie : authenticité, sagesse, générosité.
Toutes les connaissances que tu apportes sur la Kabbale et les lettres hébraïques font pour moi partie de ta singularité ainsi que le fait d’être ancré dans ta religion tout en proposant un message universel.

Bonjour Elie, bonjour à tous,

Que dire pour dire Quoi ?
Sachant que le « Quoi » dit, va créer quelque chose…

Que vais je créer ? Qu’ai je le désir de créer ? Faut il avoir du désir pour créer ?
Pour en faire quoi ?
Faut il en faire quelque chose ?
Quelque chose d’autre que simplement créer pour partager et le laisser nous échapper, se déployer avec ou sans nous…

Après une exploration rapide des premiers modules,
je sens la présence de Martin Buber un peu partout dans cet « Autrement transmettre » à tisser ensemble
que tu proposes Elie…

J’aime…
Martin Buber est un de mes compagnons de route, toute petite 10 ans, avant même d’être capable de comprendre
je pressentais l’importance de ces écrits dans ma vie… »Je-Tu », « toujours se tenir sur le commencement des choses ».

Je sens, je reconnais parfois, j’intuitionne à d’autres moments le travail, la passion, la patience et la détermination
qu’il t’a fallu Elie, – pour te laisser traverser par toutes ces approches qui sont autant de regards, à partir d’un endroit différent à chaque fois, sur des expressions du processus de vie et/ou les différentes étapes de croissance et de cheminement intérieur de chacun.

Laisser vivre en toi et faire émerger, ces passerelles invisibles, à la construction constante et infinie, mais réelles entre tous ces champs de préhension, de perception et d’expression des manifestations de la vie.
Ces va et vient intérieurs …ces voiles qui se déchirent ..traversé(e) par des fulgurances qui échappent presqu’aussitôt, avant d’être revécues autrement ailleurs en soi, pour s’inscrire un peu plus chaque jour au coeur de soi… Le travail invisible de la vie qui nous traverse…

Très tôt dans ma vie, j’ai eu la conviction que le « Tout »(chacun y met ce qu’il peut et veut y mettre) était comme une météorite dont un bout était tombé à chaque coin du monde. L’expression et la couleur en étaient différentes à chaque coin, mais elles étaient toutes de la même nature que le Tout.
Mon chemin était tout tracé…Me laisser attirée, guidée, portée vers/par la nature de ce Tout…vers le tissage de l’Invisible…

Formée à l’Analyse Transactionnelle (Carlo Moiso) et à la Psychothérapie Intégrative (Richard Erskine) , je n’ai jamais réussi à me satisfaire des enseignements transmis dont il me semblait que les questions traitées ne parlait pas de l’essentiel mais permettent d’apprendre à vivre avec soi, un soi qui vient de plus loin que soi et qui ne m’appartient pas vraiment, au moins pendant une partie de ma vie. J’ai appris à travailler et développer ma propre sécurité ontologique, je sais maintenant apprivoiser les terreurs de mes nuits intérieures. J’en ai de moins en moins ou elles ont perdues en intensité ou je les ai apprivoisées…j’ai lâché une part de moi qui n’était pas vraiment moi…J’ai choisi des repères intérieurs qui me servent par vent de grande tempête…

L’un d’entre eux que je partage avec plaisir, la Shekhina…

Qui suis-je ?
Quelle trace ai-je envie de laisser ?
Ne sont pas des questions que je me pose…

Je vis aujourd’hui sans me projeter dans l’avenir ou le passé,
essayant d’être pleinement présente à chaque moment de ma vie et de partager ce qu’il est bon de partager
tout en préservant mon espace intérieur autant que put se faire.

Pour cela, j’ai choisi de vivre au bord de la forêt et de partager mon temps entre la création et l’accompagnement…

« Alors quelle est ta singularité? » :

-Je pose les bonnes questions.
-Je ne me fais pas d’avis.
-Je ne cherche pas à comprendre, je laisse la compréhension venir à moi.
-Je suis en quête perpétuelle de simplicité intellectuelle.

« En ce qui me concerne : Peux-tu m’aider à répondre à :
Quelle est ma singularité dans l’offre de formation en coaching existentiel ? » :

-L’humilité
-Le discernement
-L’expérience

-L’humilité par le fait que tu proposes une formation qui se construit en avançant, plutôt que de miser sur le contrôle de quelque chose de fermé et figé.
-Le discernement pour avoir su former une boîte à outils pertinente à partir des vastes sciences du développement qui existent aujourd’hui.
-L’expérience pour ta capacité à puiser dans ton parcours.

[Whaouuuuuu ! Mais comment vous dire ? Quand je vous lis à toutes et à tous, je me sens portée, emportée même dans des hauteurs défiant toutes gravités !
Difficile pour moi de ne pas réactiver mon complexe d’infériorité ! Mais encore une fois que la vie est magnifique, car c’est exactement ce que je dois travailler encore et encore ! Être à la hauteur du groupe et ne pas me faire rejeter ! Voilà le trou encore béant de ma vie que je cache par d’autres aptitudes assez exceptionnelles, il faut bien le dire !!
Allez, comme d’habitude je préfère en rire et rester dans ma simplicité d’être. Ma singularité est bien là ! Mon attitude et mon parler authentique, qui rassure et ouvre les voix et souvent les voies ! Je suis une fédératrice d’âme et je crée régulièrement des événements qui rassemblent et créent des égrégores de joie et d’amour. Je ressens, je vois, je crée.

Quant à toi Elie, tu es un rocher, un passeur, un rêveur, un initiateur, un véritable professeur et un maître au sens le plus noble qui soit.
Ce que j’ai tout de suite ressenti, c’est cette attitude naturelle d’être à la hauteur de chacun d’entre nous. Je ne ressens aucune condescendance malgré la mine exponentielle de tes connaissances.
J’aime la façon dont tu reçois, tu comprends chacun de nos langages avec simplicité, et humour. Et ça l’humour, j’adore, savoir ne pas se prendre au sérieux même si on détient mille savoirs ! Bravo pour cette leçon d’humilité que tu nous offres à tous.
Ton enseignement est un cadeau du ciel, et je remercie encore le ciel de m’avoir conduite jusqu’ici.

En lisant tous les commentaires avant de m’inscrire, j’ai eu peur, très honnêtement, je me suis dit mouai, ça va être une surenchère masturbatoire de « moi, je suis plus brillante que tout le monde, avec des kilos et des tonnes de jeux de mots tous aussi subtiles les uns que les autres !!!
ET puis rapidement j’ai compris que non, et que tu es là pour réguler le flux et les énergies de ce groupe incroyable !
Sonia encore une fois, tes mots me parlent complètement, en fait, c’est comme si tu écrivais ce que j’avais envie de dire !
J’adore l’idée de cultiver l’optimisme des personnes que j’accompagne, être positive dans l’attitude, dans les mots dans le cœur, c’est un concept qui a changé ma vie.]

Merci à tous
YsabelleRose

Bonjour Elie,

Juste une rèflexion pour faire un lien entre le module 2 première version et ce module 2 vacances, un lien entre la singularité et la souffrance : Souvent, pour ne pas dire Toujours, notre singularité est le fruit des épreuves traversées et donc de notre rapport à la souffrance. Avons-nous su la traverser ou sommes nous encore englués dedans ? Jusqu’où nous a t-elle façonnés ? Quel sens (y compris au sens de direction !) lui avons-nous donné et lui donnons-nous ? Sommes-nous encore accroché à elle parce qu’elle est notre matrice, celle qui a fait naitre et donné sens à notre vie intérieure ou sommes-nous parvenus à la lâcher pour prendre notre envol, au-delà de toute souffrance ?
À suivre !

En fait, ma singularité m’est renvoyée par les personnes avec lesquelles j’ai une relation de coaching ou intime. Ça fait des étincelles car la personne est comme illuminée mais moi je suis là comme une observatrice de ce qui se passe, ce résultat ne m’appartient pas, je suis comme le révélateur de ce qui est écrit à l’encre sympathique …
Ton authenticité Élie m’a beaucoup touchée car elle rejoint mon inclination profonde.
Ma singularité serait dans ma capacité d’analyse des situations, l’émergence de questions pour comprendre. Il y aussi mon intuition qui me fait peur car elle est parfois tellement impérieuse et sûre d’elle et je ne sais pas quoi en faire. Bonne ou mauvaise, ouverte ou fermée, telle est la question.

Je compte sur vous tous pour l’éprouver et découvrir si c’est une façon de me cacher à moi-même ou si elle est pertinente.

Bien amicalement et merci de votre lecture

Singularité singularité
Toujours ce besoin de se distinguer…
Toujours cette nécessité de mettre en avant notre « positionnement »
Doit-on toujours être différent? Doit-on toujours l’affirmer, voire le revendiquer ?
Dans le je-tu, il y a aussi un jeu à ne pas tout dire, à laisser l’autre faire l’effort de découvrir, de chercher des résonances et des dissonances… Cela fait partie de son travail de coaché, d’apprenti ou d’accompagné. Savoir s’ouvrir à l’autre d’abord en le comprenant ou le questionnant.

Et si l’affirmation de valeurs revendiquées (plus que vécues ou démontrées) ne favorisait pas au fond les blocages et limitations. Le je-tu cantonné en quelque sorte à « tu en auras pour ton argent ». Ni plus ni moins, car mon champ d’intervention, ma « légitimité » se réduirait à une petite liste de valeurs ou de compétences. Cela m’a bien fait rire le commentaire sur Elie trop « hébraïsant »… comme si l’on allait écouter Keith Jarrett et puis dire « c’est trop jazzy » :))

Faire le travail de la singularité est pour autant un exercice indispensable : se comprendre, apprécier ses ressorts et ressources, connaître ses archétypes, méditer sur sa mission.
J’ai fait ce chemin, compliqué, intime, parfois semblable à une thérapie, parfois à une prière, de temps en temps à une séance de regard dans le miroir, et plus prosaïquement à un bilan de compétences CV et inventaires de personnalité en main (MBTI, PAPI et autres SOSIE…).
Plus que de l’étaler (pour impressionner?), j’évoquerai ici la méthode pour la définir : c’est une approche nécessairement multiple et décalée pour assurer des allers-retours entre zones de confort et territoires inconnus
Au coach de savoir guider le cherchant dans ce chemin parfois long et intime (c’est aussi pourquoi la discrétion est de rigueur pour réussir cette étape). Et d’y trouver les vecteurs de force et d’alignement.

Au passage, comme Elie, on découvrira que la singularité est multiple : que la singularité est en fait pluralité ! C’est le charme de l’homme que d’être complexe et évolutif!

Tout comme une marque, puisqu’Elie évoque le marketing, l’identité, la uniqueness, la singularité s’appuie sur un prisme…
-Histoire personnelle
-Formation
-Compétences
-Qualités
-Valeurs
-Mission/Intention
-Archetypes
etc.

Amitiés à tous
Etienne