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Ouvrir la porte de la connaissance.
Première vidéo de l'enseignement de Daat Tévounoth Cette vidéo correspond bien à ce que nous entendons par Connaissance Le cours complet est sur le site Kabbale existentielle
L'homme et l'animal
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- Puissance de la pensée
Les cristaux sous influence
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9 Comments
Maeva
13 février, 2023Un appel ce matin, comme une marche en avant pour franchir cette porte Daleth !
Je commencerai par une question qui peu sembler philosophique mais qui reste très concrète ( aussi inspirée par les Gardiens et la terreur du seuil :
« Est ce qu’un Mal qui serait en secondarité un grand bien, resterait un mal ou cela deviendrait un bien ? »
C’est une question qui tourne depuis très longtemps dans ma tête
Merci infiniment pour la réponse
leoguez
2 mars, 2023Le mal serait aussi un voilement d’une partie du bien. Fin du mal, dévoilement du bien sous la coquille ( klipoth) du mal. Ce qui ne signifie pas que le mal serait un mal à notre niveau de conscience. Ceci risquerait de nous mené à une forme de nihilisme, ou d’apologie de la souffrance.
Sonia Beigbeder
8 juin, 2018Bonsoir
Je suis contentte d etre la. D apres l exercice je seraais un as de la motivation.
J avoue en ce moment je me sens abseente.
J avance lentement mes sûrement. Mma motivation a ouvrir une porte c est fait il y a peu , j en porte déjà les fruits, es du à mes nouvelles actions. Es ce juste le destin je ne le serais jamais. L évolution est tellement flagrante de la part des autres face a ma determination a mon affimation , oui je suis très surprise peut etre es ce éphémère .
Ma ffoi j attend le souffle de vie voir dans cette nouvelle periode que va t il. Se passé ?
Sur d autre plan je stagne je n avance pas j attend dee retrouver ce hé. Pour l instant je profite des fruits cache derrière une porte qui m apporte la providence dans le domaine financier.
En osant , on peut avoir de bonne surprrise. J espere que ca dura pour moi.
Les lettre c est un peu un spiral au cour de la vie. Elle se presente sans cesse. Reste a remplir les cases du cqcopqpp :comment ? avec qui ? , quoi ? ou ? Combien ?, quand ? Pourquoi et pour quoi ?
A bientôt sonia.
Marco
3 mai, 2018Bonjour Elie,
L’ ouverture de la porte Daleth et ses contenus m’ont apporté une réponse liée à une synchronicité et un court circuit neuronal , plus capable d’avancer , la sensation de ne plus avoir l’accès au hé au souffle divin qui doit se faire par l l’étude de la thora.Je suis non juif.
Cette porte est ouverte certe mais est elle ouverte au non juif?
Faut il retourner au Beth et lâcher ce qui a été transmis par nos parents et grand parent qui plus que l exil ont dû abandonner la religion juive Ce qui les a sauvé des progromes ?
Puis de la Shoah?
Techouvah ne veut il pas dire retour à la spiritualité ?Traduit par les romains convertissez vous.
Tikoum Olam:réparation universelle , délivrance,retrouver le lien avec le créateur.
Si l on y met de la Kavanah , peut on avec une motivation extrinsèque et étudier avec le cœur la thora être accepté à passer cette porte?
Celui qui est aimé des hommes est aimé des dieux.Celui qui n aime pas les hommes ne peut pas être aimé de d.ieu.
La thora est elle un principe universel ou une étude réservé uniquement au peuple juif?
Merci .
leoguez
3 mai, 2018Bonsoir Marco. Je suis étonné par certaines questions …
La Torah est-elle universelle? Je te renvois à mes articles sur le sujet
https://kabbale26.wordpress.com/israel-projet-dhumanite/
Et au blog qui ne parle que de ça… http://bnei-noah.blogspot.co.il/
Il y a évidemment dans la Torah un enseignement singulier pour le peuple juif, et tout n’est pas accessible car non nécessaire pour un non juif. Mais le peuple juif, devenant Israël, sa mission sera d’enseigner à tous les humains sans pour autant les faire passer par une conversion. Personnellement je ne crois pas en la conversion, ceux qui se convertissent ont en eux des racine juive, ce n’est donc qu’un retour. Et si c’est le cas les indicateurs se mettrons en place…
Il est possible que pour certains enseignement il soit demandé un engagement, comme pour les Bnei Noah par exemple… Mais en ce qui me concerne, il n’y a aucune nécessité d’être juif ou Bnei Noah, Tu as vu mon fichier « Ta religion n’a aucune importance? » Dans le Module 2 invitation?
Ce que je souhaite pour la porte hé, c’est qu’elle s’ouvre à la singularité de chacun. Le souffle divin est certes non seulement universel mais se répand dans le keli ( la forme) du receveur. Et si la quête est le métier, alors le souffle insufflera la juste mesure.
Ceci dit revenir au Beth, pour une autre approche c’est tout autant juste car il ne s’agit pas d’étape qui se termine avec une prochaine étable… La construction du beth se fait tout au long du chemin, tout comme une vie en constante mouvement avec le guimel.
marco
16 mai, 2018Bonjour Elie.
13 Jours ce sont écoulés, avant que je puisse prendre le sens de la porte Daleth et avoir un signe comme quoi elle s’ouvre!
Durant ces 13 jours, Je suis passé par ton blog Bneih-noah et par Israel projet d’humanité: J’ai bien noté la dimension universelle de la Torah.
« Je ne voulais à aucun prix me trouver limiter par une religion particulière et j’ai trouvé l’universelle dans le judaîsme » « il y a un projet et ce projet ne peut être qu’universel » « Ce projet qui est décrit dans la Thora s’appelle nohanisme » « il y a une quête de retour à la fraternité et ça s’appelle aussi universel » « il y a 2 façons, celle de Babel ou l’unicité était l’uniformité, 1 religion pour le monde entier ou à la Façon d’Abraham :l’unité est la capacité dans la mutiplicité de ce reconnaitre ».(Dixit Elie Leo)
Et puis je suis resté là au seuil de la porte , dans l’attente de réponses que je souhaitais en quelque sortes plus matérielles que spirituelles.
Puis je me suis mis à écouter le son des grenouilles, des oiseaux, à sentir l’air peut être qu’ils avaient un message à me faire passer ils devenaient les intercesseurs entre le monde d’en haut et le mien ici ! Qu’est ce que je fais de ma vie Aujourd’hui?
Mon portable depuis 3 jours c’est mis à déconner.Avant même de toucher l’écran tactile celui ci s’activait dans tous les sens.
Je voulais rentrer un nom et une succession de lettres s’inscrivaient sans rien faire.
Puis entre ton mail d’aujourd’ hui et celui d’hier il etait impératif que je te dise que j’étais toujours là . Te dire toujours là en plan, au seuil de cette porte Daleth ? Non je ne voulais pas.
Je me suis dit et si la réponse t’était donné par ton téléphone.
J’ai regardé ce qui s’inscrivait lorsque je voulais rentrer sur google une adresse et j’ai laissé l’appareil écrire sans intervenir une succession de lettres.
Toujours les mêmes.
YVHH , puis VYV. Et si ces lettres étaient celles des 22 lettres hébraiques, et que j’allais trouver le sens de Daleth à travers ce message?
J’ai cherché sur mon ordi la symbolique .Et je suis tombé sur l’extrait entre autre d’un livre de Roland Berman Lire la bible en intié (A la recherche de l’ unité)
Il y est écrit : »Si l’on ce questionne pas, si l’on ne s’interroge pas, si l’on se contente d’accepter les choses telles qu’elles semblent être de prime abord alors aucune Porte ne peut s’ouvrir aucun progrès n’est possible »
.Celà m’a ramener à ce que tu disais Ma= Quoi?=45 =Adam
Et là j’ai compris que cette porte ouvre à la dimension spirituelle.
« Dépasser ces besoins naturels légitime (je dirai matériel)sans masquer les nécessités spirituelles situées sur un autre plan tout autant légitime et vitale » « le péché étant la recherche de la pure matérialité »
J’ai calculé VYV = 22 . YVHH est l’anagramme du nom ineffable qui vaut 26.
Dans ce texte je trouve que 26 c’est également Vedyo (VAV DALETH YOD VAV) =Encre Le secret du nom ineffable est « Sang et Encre » =70 Dam
Encre qui rappel l’écriture de la parole de la Torah .
bien à toi
Marco
leoguez
22 mai, 2018Marco, j’ai ouvert les modules de Kabbale et écriture de la porte Daleth
Genevieve G
28 avril, 2018Je fais écho au texte sur la Logothérapie.
Voici ce que je pense aujourd’hui : Chacun cherche un sens à sa vie et se donne des réponses en fonction de ce qu’il comprend de lui-même à l’instant « t » de son époque, de son histoire de vie et de la satisfaction qu’il en retire. Tant que la réponse que je donne à un instant « t » me satisfait, je n’ai pas besoin d’en chercher une autre. Mais si un évènement vient détruire mon château de cartes, alors il faut en reconstruire un autre.
Freud, Adler, Viktor Frankl sont des réponses qui s’équivallent parce qu’elles sont chacune sous tendues par une vision de l’être humain, qui a le mérite d’être énoncée (donc figée dans le temps !) et proposée aux autres. Cette vision se veut globale mais n’en demeure pas moins partielle et parcellaire, tout comme pour chacun d’entre nous.
Est-ce à chacun de nous de donner du sens à ce que nous allons vivre pour faire advenir ce que nous voulons vivre ou de mettre en mots ce que nous vivons présentement pour mieux l’appréhender, l’incorporer en nous et alors chercher du sens serait juste une composante de notre incarnation vécue en conscience? Est-ce que s’inventer un sens ou mettre des mots sur notre vécu ne serait pas une réponse nécessaire à notre vide existentiel ? Et la religion ne serait-elle pas la garante de cette réalité trop difficile à vivre ? Ne serait-elle pas une réponse à notre vide existentiel pour nous éviter de demeurer dans notre vide existentielle et d’être en prise direct avec l’angoisse existentielle qui en découle. En ce sens, en nous donnant une réponse toute faite, elle nous entretiendrait dans une fuite de notre condition humaine et nous empêcherait d’affronter notre angoisse, entretenant notre névrose collective !
Aujourd’hui la réponse de la religion a perdu tout crédit mais l’angoisse demeure et les réponses sociétales invitent à la fuite en avant, notamment en entretenant le culte des divertissements en tout genre (voyage, voiture, mode vestimentaire ou alimentaire, …) ou des illusions notamment celle de croire que nous sommes Maitre de notre vie comme de notre mort (voir les dernières pétitions des 156 parlementaires sur l’Euthanasie !).
Si nous passons notre vie à fuir cette question qui devient pourtant inévitable parce que visible et palpable lors de la confrontation à la mort, c’est peut-être parce que tout se joue là. Pourtant qui d’entre nous accepterait de demeurer dans son angoisse existentielle pour y chercher une réponse qui ne se donne pas mais se reçoit là précisément ? Je ne suis pas sure d’en être car je vois bien que mon activité actuelle qui absorbe mon temps, mes pensées, mes aspirations… m’évite d’y penser et surtout de m’y confronter.
À suivre !
leoguez
29 avril, 2018Nous traitons dans notre parcours des questions existentielles qui sont en effets figées dans le temps, si la question ne concerne notre l’existence du connu entre naissance et « mort ». Freud, à mis au placard la « religion » opium du peuple dans « l’avenir d’une illusion. Adler ouvre le champs de la « religion » du développement personnel qui s’ouvre sur des approche de spiritualité sans religion. V. Frankl essaie de réhabilité la notion de religion sans dogme, dans le fait d’être relier à une transcendance dans « le D.ieu inconscient. Il ouvre le champs de l’inconscient spirituel. Mais ne peut dire plus que ce qu’il en dit du fait de rester dans le « psychologiquement correct ». Oui mettre des mots nous permets de sortir de nos maux existentiels. Le champs que tu ouvres, au-delà des mots et du temps n’est plus de l’ordre des questions existentielles. Nous touchons ici la question à savoir si l’essence précède l’existence. C’est dans ce sens que j’ajoute dans notre parcours un enseignement sur la kabbale existentielle, non pas pour donner des réponses à l’existentielle, mais comme je l’ai laissé entre-ouvert à plusieurs reprise, c’est de passer au questionnement du l’essence de tout ça… juste entre-ouvert … et comme tu le dis si bien … A suivre… non pas dans le sens d’une suite à donner mais à savoir qui suivra… Entre » Je suis qui je suis » et « Je serai qui je serai » … Où en étais-je avant d’être ? Et Lui ? Alors A suivre? Où A vivre?