Vous êtes au module compagnonnage de la porte Daleth
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7 Comments
Maeva
5 mars, 2023Comme elle est difficile a passer cette lettre…..j’ai vraiment « ramé »….un rêve tres étrange est venu en synchronicité, les gardiens de la porte qui étaient pétrifié dans du marbre ( etrange). j’ai du mal à comprendre pourquoi les exercices de motivation se trouve dans cette partie
Petite question, est que Daleth ne renvois pas, d’une certaine manière, à la fin des choses, la mort, le passage ?
L’impression d’une zone cachée ( ce jour je suis percluse de fièvre) Et la fièvre comme l’alcool de Pourim permet d’accéder au Sod. Est ce dans le Sod que se révèle Daleth ?
En toute honnêteté, je ne pensais pas trouver autant de difficulté dans cette porte…..
leoguez
13 mars, 2023Tu as la réponse dans ton autre commentaire avec un essai de réponse.
Benjamin Baruk
17 juin, 2018Doc « Qu’est-ce que le sens » > J’y ai trouvé de sacrées perles :
« Si le but de la création été dans ce monde, il n’aurait pas été nécessaire de lui insuffler une âme aussi élevé ».
Ramhal
« Il est facile de se laisser prendre au piège d’une activité pour gravir des échelons et découvrir que finalement nous n’avons pas placé l’échelle sur le bon mur ! On remporte souvent des victoires vides de sens. Nous avons souvent été conduits par des scénarios mis en place par notre entourage ou par la société et non par nous-mêmes ».
Eli Guez
Et pour la dernière : « Tout comme l’archer qui tend son arc en arrière avant de tirer sa flèche, il vous faudra prendre en compte votre passé pour vous projeter vers l’avenir ». > Cela révèle que le passé contient l’énergie necessaire à nous propulsé vers notre but. A nous de trouver sous quelle forme se cache cette énergie…
Genevieve G
27 mai, 2018Juste un partage après la lecture du texte sur le sens :
Aujourd’hui nous sommes en plein débat social sur la loi en faveur du suicide assisté et de l’euthanasie. Si je raisonne en pensant qu’il appartient à chacun de poser des actes en toute liberté à partir du sens qu’il donne à ce qui lui arrive (ressenti, signification et direction à donner à sa vie), alors je peux concevoir qu’une personne affirme sa liberté en décidant d’en finir avec la vie si elle perd irrémédiablement le sens de ce qu’elle a à vivre notamment si elle se sent inutile, un poids pour les siens, si elle se sent dépossédée de ses capacités (autonomie, mobilité, raisonnement…), de sa volonté, de sa liberté….
Agissant ainsi, nous créons une société qui pose le libre arbitre comme valeur absolue, qui pose comme critère de légitimité, le droit de créer et de décréer sa vie à sa convenance, qui absolutise le ressenti et la prise de décision qui s’ensuit et nie le caractère changeant et évolutif des humeurs du moment. De plus, cela légitime l’attitude de fuite d’une société qui n’a pas de réponse face à sa propre impuissance. Elle se déresponsabilise au nom de la « liberté » de l’individu ! Pourquoi chercher des solutions collectives pour contrer la souffrance humaine en lien avec la maladie, la vieillesse,…. (Tout ce qui touche à notre contingence humaine), si la question peut se résoudre individuellement. Ce serait accepter comme normal le suicide même non assisté de toutes les personnes qui voit leur monde s’écrouler suite à une perte (travail, membre de sa famille, déchéance physique ou psychique ….), et ne plus s’en révolter !
Quand il y a perte, il y a nécessairement souffrance parce que la perte touche à nos repères, à notre intégrité, qu’elle soit physique ou psychique. Et cela exige qu’un travail de deuil soit fait pour accompagner la traversée de cette épreuve et qu’apparaisse quelque chose de nouveau.
Mais la perte qui est derrière la question de l’euthanasie ou du suicide assisté est au coeur de la question du sens car il est question de la perte de l’espérance. Dans les autres cas, il y a perte de l’espoir mais là c’est un cran au dessus ! Quand il n’y a plus d’espoir, reste encore l’espérance qu’il peut y avoir une lumiére possible au bout du tunnel. Et même si la personne désespère, la communauté, les proches sont là pour permettre la traversée de l’épreuve. Mais quand il y a perte de l’espérance, que reste t-il ? À quoi se raccrocher ? Et la société ne peut donner une réponse à cette question qui est de l’ordre spirituel et dépasse l’ordre social. Si elle donne une réponse en légitimant le suicide assisté ou l’euthanasie, elle s’octroie le droit de donner une réponse qui n’est pas de son ressort. Et sa réponse qui est de reconnaitre à la personne un droit : celui de décider de sa vie ou de sa mort, ne sonne t-elle pas comme un aveu d’impuissance. Car outre le fait que cet espace ouvre la porte à toutes les dérives possibles, la personne n’a jamais eu besoin de la société pour décider de sa vie ou de sa mort.
La question qui survient alors est : Pourquoi donc les personnes qui ont pris la décision d’en finir avec la vie parce qu’elles ont perdu toute espérance, ont-elles besoin d’avoir l’autorisation, la caution de la société ? Pourquoi ont-elles besoin de rendre social un acte qui relève de leur stricte intimité ? Je laisse la question ouverte même si je vois poindre derrière cette revendication, la culpabilité et un sentiment fautif diffus et trop lourd à porter, au fait de s’autoriser à se donner la mort.
À suivre !
leoguez
27 mai, 2018Merci Geneviève d’ouvrir ce sujet qui est d’une extrême importance dans notre métier.
Juste pour éclaircir le débat.
Une personne qui a décidé d’en terminé avec sa vie, si elle a la possibilité de le faire, ne va pas demander une autorisation sociale pour le faire. Donc la question ici ne se pose pas. Par contre dans le cas l’euthanasie, si la personne ne peut agir de son plein gré et demande assistance, la question social se pose. D’autant plus lorsqu’il a harcèlement médical… Pour ma part nous somme ici dans un cas tout a fait singulier à savoir même si nous pouvons parler de suicide. Et nous savons pertinemment que le corps médical fait aussi de sont mieux pour soulager la souffrance physique des malades sans pour autant parler d’euthanasie. La question se repose encore autrement lorsqu’il s’agit de souffrance morale ou psychologique…
Ensuite nous avons ceux qui ont des tendance suicidaire et qui viennent consulté. Ceux-là demande assistance autre que l’accompagnement au suicide et c’est là que se situe notre possibilité d’accompagnement.
En 2005, j’ai eu la chance de participé à un colloque « suicide, religion et spiritualité » dont un ouvrage collectif avec 23 auteurs est sortie au édition Recto Verso en 2006. Je traite personnellement de cette question au regard de la logothérapie et de la kabbale. Je reprendrai certainement ce texte pour le réactualiser. Le débat reste ouvert, pour un prochain atelier sur le sujet.
Genevieve Galindo
13 mai, 2018Quant au sens de ma vie aujourd’hui : Accompagner les personnes fragilisées et en souffrance au travail à se remettre debout et à retrouver un emploi,
Genevieve Galindo
13 mai, 2018Voici ce qui ressort de l’exercice Motivation aujourd’hui :
-Mettre mes idées en pratique
– M’épanouir dans un travail stimulant et intéressant
– Liberté dans mon travail
– Utilité de mon travail
– Salaire élevé
– Être stimulée par les échanges
– Continuer d’apprendre et de me développer personnellement
En un mot l’épanouissement de moi-même qui inclut responsabilité, liberté, utilité, stimulation, développement personnel, relations, apprentissage, confort financier
Quant aux axes de ma vie, l’essentiel est de réussir ma vie càd m’épanouir ou me réaliser dans toutes les dimensions humaines et spirituelles :
– personnelle : me connaître, développer mes talents, me déployer intérieurement et extérieurement
– relationnelle : aimer l’autre, l’aider à être lui-même pour qu’il soit plus conscient, plus confiant en la vie et plus acteur libre de sa vie
– sociale : apporter ma pierre à l’édifice pour plus de conscience et d’humanité
– spirituelle : Spiritualiser ma dimension humaine càd Me laisser inspirer par ma dimension divine pour que mon Je soit Nous