Sur la première vidéo :
Pour le 86, c’est la nature et Elohim. C’est aussi le « Allléluiha » et « fonds baptismaux » du coup tout se recoupe selon une logique très claire. Peu importe l’habit pris, la « religion » la pratique, tout revient à l’essence même du chemin, Elohim.

Petite question qui m’interpelle, si Kadosh signifie « séparé » pourquoi le Ari Hakadosh ? j’espère que cette question ne va pas entrainer trop loin. J’ai lu que cela signifiait aussi le « sanctifié »…..J’ai bien compris le principe du retirement et le monde binaire qui apparait à la porte du beith, la nécessité de la réparation, le Tsimtsoum.

Qui passe forcément par un acte profond d’amour, envers soi même en premier. ( Trop de personnes qui viennent en thérapie sont incapable de s’aimer et de reconnaitre leur propre valeur au regard du vivant) C’est le premier niveau.
Au second niveau, j’y placerais l’amour plus général du vivant ( amour et donc respect, l’un ne pouvant aller sans l’autre)

Lorsque l’on parvient déjà à ces niveau de compréhension, je placerait le retour vers le divin et la foi en ce qu’elle a d’amour absolu. Et dés lors, il pourra y avoir acceptation du plan, même dans ses aspects les plus obscur, les plus rigides et les plus déstabilisants.

L’ombre, nos ombres, racontent aussi cette lumière absolue du chemin d’éveil. Sans faire l’apologie de la souffrance et encore moins du sacrifice, il peu arriver que noyé par le chagrin , au fin fond du trou nous ayons alors un appel incroyablement intime vers le sacré. Ce sacré indicible, qui dépasse les mots et qui deviens alors impossible à transmettre et communiquer.

En revenir, va nous obliger à remettre en forme et en mot, puisque notre monde est aussi celui de la forme et du verbe. Au fond, peu importe que nous n’ayons pas le « fin mot de l’histoire » puisque c’est le chemin que nous suivons qui est le plus important.

En tant que lecteur, la partie la plus fondamentale de votre livre sont les dernières pages. Votre chemin. On découvre un chemin, on suis un chemin et puis…on deviens un chemin. Votre véçu a lui seul est un enseignement….

On tombe et on se relève…..celui qui est grand n’est pas celui qui ne chute pas, mais celui qui chute et se relève

Le verbe « tomber »…je Tombe…je suis dans la Tombe ( c’est aussi une dernière demeure) mais c’est juste mon corps qui est là, une partie de moi mais pas moi….
Le 2 du Beth va créer l’engendrement, si il y a engendrement, il y a fin, mort, donc tombe et donc…chute

La vie n’est que séparation, on coupe le cordon pour séparer l’enfant de la mère, la naissance est la première des séparations. et la mort, la tombe, la dernière des séparations.
Sans la foi, on reste dans la Tombe ( on ne se relève pas)

Il faudra alors, re-trouver quelque chose qui raconte notre Âme, le Aleph, retourner vers le un …accepter la séparation de l’âme du corps

Beith conduit alors au Aleph, hors de la dualité, vers le 86, puisque le divin engendra tout l’univers et tout le manifesté.