Guérir en découvrant la cause du symptôme ou son message

J’écris en vrac… Des idées qui passent par mon esprit après une lecture, une rencontre, un partage…

Guérir en découvrant la cause racine du symptôme ou en découvrant son message de changement ?

Nous avons déjà expliqué qu’un problème, un symptôme ne provient pas toujours d’une cause. Plus encore lorsqu’il s’agit d’une épreuve qui nous tombe dessus et dont on ne connait pas la cause (le pourquoi) tout simplement parce qu’il n’y a pas de cause dans le connu présent ou passé.
Est-ce pour autant l’effet du hasard ou du pas de chance?

En effet parfois ce qui nous arrive, peut être une épreuve, un événement,  pour nous ouvrir vers une nouvelle direction. Cette situation ne vient pas nous dire : tu reçois cela parce que tu as fait cela, mais parce que tu dois faire autre chose que ce que tu fais d’habitude.
Dans ce registre de référence, le symptôme ou l’épreuve vient comme pour nous ouvrir vers une prochaine étape de changement dans notre vie.

Le symptôme, l’épreuve, devient porteur de sens, et ne disparaitra pas par une recherche d’analyse classique de décodage de la cause racine, mais en décodant le message qu’il ou elle porte pour nous ouvrir à un changement nécessaire.
Ceci peut expliquer pourquoi une répétition d’épreuve (Je souligne peut)
 car il ne s’agit pas d’une vérité absolue.  J’ai toutefois connu des cas où,  à l’écoute du sens de l’épreuve, celle-ci n’avait plus besoin d’être.
Difficile à entendre, je sais surtout lorsqu’il s’agit de mal-à-dire, ou de mort. .. Regardez le texte de Job, ses amis essaient de l’aider à trouver une cause à son épreuve, « vous avez mal parlé à mon bien aimé » leur répond l’Eternel.

Mais pourquoi passer par des épreuves ?
D’autant que nous n’avons pas toujours les outils de décodage pour décrypter le message.
Pour ceux qui sont familiers avec le langage ésotérique biblique, (voir notre article sur les différents niveaux de lecture de la kabbale), rappelez-vous que le texte biblique n’est pas qu’une histoire mais est porteur de plusieurs niveaux de sens.
De même pourrons-nous dire que notre histoire de vie n’est pas qu’une histoire mais porte en elle plusieurs niveaux de sens.  Seulement, nous nous accrochons au phénomène, à l’événement, à l’histoire, alors qu’ils ne sont là que comme indicateurs de sens.
J’oserai même dire que notre vie n’est qu’une métaphore du sens réel du vécu de l’âme… Mais ça c’est pour après 😉
Dans une démarche d’analyse existentielle telle que nous l’entendons, nous devons en premier lieu poser l’axiome de base d’une réflexion,  C’est à lire  … L’abus  c’est-à-dire ;).

Soit nos questions se posent selon le principe de base que ce monde est créé, soit qu’il vient du hasard et de la nécessité. (Nous pouvons aussi bien concilier ces deux conceptions en disant que le principe créateur agit selon le concept dit du hasard et de la nécessité. (Mais ça c’est pour plus tard 😉

1- Sans le principe créateur, l’analyse existentielle se tournerait vers une philosophie existentialiste athée du type des ouvrages d’Yvon …  L’homme serait alors livré à lui-même et pourrait trouver une certaine sagesse de vie. L’ultime finalité serait une fin de vie, où la vie disparaitrait dans un néant absolu. .. pas d’espérance, (L’espérance étant vue comme le mal principal … Nietzche…(Ainsi parlait Zarathoustra  Freud…(l’avenir d’une illusion…)
Nous aurons de fait à nous confronter à ces idées même si elles ne sont pas les nôtres car elles font partie de notre environnement intellectuel.
2- Un principe créateur,  nous renverrait à l’idée d’un projet créateur… Et toute la question existentielle se poserait alors dans la relation entre le créateur, son projet, et la réalité humaine telle que nous la vivons.
Nous sommes ici dans un tout autre questionnement existentiel. Il n’y a plus de hasard, du moins les lois divines se cacheraient derrière.

Cela conduit à revoir l’équation du sens. Si il y a créateur, il y a projet créateur, si il y a projet créateur, il y a sens…  Sans sens de la création, le pourquoi du monde et de l’homme, il nous faudrait inventer un sens à la dimension humaine …  ou choisir le non-sens …  Pas de sens à la mort donc à la vie, pas de sens à la maladie donc à la santé… (Nous disparaitrions de ce monde en poussière tout ça pour ça ?)… Voir mon article « je vais mourir parce que je suis éternel ».

Par contre pour celui qui choisit le pari du sens créateur… Alors s’ouvre le chemin d’une cohérence qui commence par un grand mélange, le chaos, et qui s’organise d’une façon incroyable.  Comme un puzzle qui se construit progressivement.

Dans les deux cas, nous devons passer par une interprétation du vécu (phénoménologie) faite par notre conscience morale. Mais la différence est, que dans le premier cas, notre mesure des valeurs n’est confrontée qu’à celle d’autres hommes. Dans le cas du principe créationniste, il y aurait en plus, une valeur d’absolu révélée et posée en face à face avec nos valeurs humaines.
Quoi qu’il en soit dans les deux cas de figure,  nous devons prendre un certain recul par rapport aux « phénomènes » pour sortir d’une analyse subjective. .. Sortir de sa maison…  pour être à l’écoute… De soi, d’autres que soi ou du Soi divin… Simplement être à l’écoute sans se figer sur une vérité absolue, car cette même vérité si elle existait prendrait le vêtement du relatif humain. ..

Alors ?

Ce n’est pas la vérité qui est essentielle, mais  l’authenticité dans la quête de vérité.  Au sommet de la quête serait la quête de soi… se retrouver être ce que l’on est en potentialité, en devenir…  Avancer sur ce chemin de quête… Et la résonnance avec la voix intérieure peut venir d’une parole extérieure de sages, de philosophes, d’une lecture, d’un enseignement traditionnel ou initiatique…  Ceci tout en gardant la liberté d’avancer en volant de nos propres ailes car le principe premier des deux voies créationniste ou non, est la liberté… l’autonomie… La responsabilité de se prendre en charge…  Même si cela passe par des appuis extérieurs en dernière instance, la décision de choisir entre la droite ou la gauche m’appartient. La décision de suivre ce médecin ou ce thérapeute cette voie ou une  autre, m’appartient tant que je garde ce principe premier de liberté.

Le sens essentiel est un chemin vers la réalisation et vers la joie authentique, en relation avec notre unité en phase avec l’Un. Mais que d’obstacles sur ce chemin…
Mais est-ce que dans nos listes de difficultés, d’angoisses, de mal-être, de mélancolie il ne se trouverait pas aussi un principe Un… Qu’au fond il n’y aurait qu’un seul obstacle, qui prendrait différente forme… Encore une idée pour plus tard 😉

Qu’en est-il de la quête du bonheur face à celle du sens ? Ceux qui cherchent la paix de l’âme, le bonheur, la quiétude… ont pour eux toutes ces nouvelles philosophies du nouvel âge, avec les mille et une techniques de développement personnel. Quant à ceux qui cherchent la vérité,  ils n’ont pas d’autre choix que de renoncer à la tranquillité… Victor Frankl va jusqu’à considérer la quête du bonheur comme une pathologie due à la recherche d’homéostasie … La vie est un en constant tension vers un plus néo dynamique… Il nous faut ainsi choisir entre confort et mouvement. A chaque étape de notre évolution nous abandonnons un niveau de confort, nous sortons d’une zone de confort pour avancer vers un autre degré de connaissance… Le sentiment d’inconfort alors que tout va bien ne serait-il pas le besoin d’un renouveau ?   Choisir la voie de la connaissance, c’est prendre conscience d’un niveau d’ignorance, et donc sortir de notre confort intellectuel ou spirituel du moment. Quitter un certain niveau de croyance et s’engager dans une nouvelle relation avec D.ieu. .. Tel est le chemin des «  tourments de la vérité* »…  (Je vous parlerai de ce livre des introuvables)
Nietzche a tué le D.ieu de la superstition,   merci. Mais à la mort de D.ieu que nous propose-t-il sinon la mort de l’homme ? Si D.ieu nous annonce de renaître de nos propres cendres, faisons renaitre D.ieu des cendres de la philosophie nihiliste. Redécouvrons le D.ieu Un autrement que celui de nos peurs. .. Quitter « la fable religieuse » telle qu’il le décrit, certes, quitter « l’avenir d’une illusion » freudien, certes, mais pour un renouveau avec une équation ou se conjuguent foi et raison.
J’ai choisi le chemin de la kabbale car c’est pour moi la voie qui m’a permis de concilier mon aspiration spirituelle à mon besoin de connaissance. C’est elle qui m’a permis de trouver réponse à grand nombre de mes questions existentielles… C’est un choix conscient et volontaire qui m’a permis de sortir de la crédulité religieuse tout en restant attaché aux grands  principes de ma tradition. J’ai choisi en conscience ce chemin tout en sachant qu’il se construit en marchant et que l’effort sera de mise pour traverser les obstacles, l’intelligence pour sortir des impasses, le dépassement de soi  pour le manque de confiance en soi, prendre de la hauteur pour sortir de la vision étroite, la connaissance pour transformer la souffrance en indicateur de changement, mettre l’ accomplissement de soi au service de la réparation universelle. .. A suivre.

 

10 Comments

  • Benjamin

    Reply Reply 29 septembre, 2015

    Plus j’avance dans ma recherche de Dieu, et plus j’ai l’impression que le rôle/sens de l’existence de l’homme est de recevoir de la vie une forme incomplète, puis de discerner cette forme, et ensuite de l’adapter au monde créé.
    Je crois de plus en plus que toutes les épreuves que peu vivre l’homme à pour source l’abandon ou l’incompréhension de son rôle.
    Peut être que la meilleure façon, pour l’homme, de transformer son épreuve serait de réapprendre à lire sa propre vie, afin d’intégrer ou de ré-intégrer son propre rôle….

    • leoguez

      Reply Reply 30 septembre, 2015

      Merci Benjamin pour ton apport.
      En effet, découvrir son projet-sens nous permettra de mieux définir notre rôle. Par contre il ne faut pas faire l’impasse que dans les épreuves, qui sont souvent signes de changement nécessaires pour aller vers là où est notre sens, il y a aussi ce que nous nommons des réparations individuelles (Tikoun pratit) (apparenté au karma) ou tikoun Klalie, réparation collective voir universelle. J’en parle dans nos vidéos.

      • Benjamin

        Reply Reply 30 septembre, 2015

        De mon point de vu, je ne crois pas en la nécessité de réparations, je ne crois, pour l’instant, qu’en la necessité de changer de perception.

      • Benjamin

        Reply Reply 30 septembre, 2015

        Je crois même que la seule destruction que l’on peu faire (et qui pourrait avoir besoin d’une réparation) est de croire que le chéfa (l’influx divin) peut être rompu. Cette croyance est pour moi la seule chose qui a donc le pouvoir de rompre le chefa.

  • Sophia

    Reply Reply 22 septembre, 2015

    Un texte qui prend tout son sens dans l expérience de ma vie. Une maladie decodee en psychogenealogie et travaillée au niveau biologique de mon être m a fait prendre conscience de l’importance des mémoires familiales et donc « karmiques »( nous ne choisissons pas notre famille par hasard) . Un événement vécu intra utérin a façonné ma vie amoureuse jusqu’à ce jour où la conscience en décide autrement. Nos maladies ne nous appartiennent pas mais elles sont là aussi pour réveiller notre conscience si nous le voulons bien. Tout ceci peut faire mal ,mais en connaissant le pourquoi et surtout le pour quoi cela permet de prendre conscience d une image plus grande de la vie et de notre vécu qui n est qu’ un tremplin vers une plus grande connaissance de soi et de ce que nous avons à transcender. Le corps peut même s attaquer lui même pour un autre et son bonheur…
    Je rejoins ton sentiment pour la kabbale et cela parle à mon hésitation de me convertir depuis presque 20 ans. Je suis passée par l incomprehension tout d abord de cette attirance et cet amour profond pour les juifs et le judaisme. J ai d abord cherché si je venais d une famille marrane. J avais besoin de comprendre puis les hésitations, les peurs… et la kabbale a mis en lumiere mon desir profond de simplement munir a Dieu . Que cet appel venait de mon âme au delà de la religion et de son approche littéral sans compréhension subtile des textes. Je suis plus attirée par les Rabbis que les Rabbins, par la symbolique du judaïsme et de ses fêtes au niveau du chemin vers son être et Dieu , que la religion exoterique de l’homme . Maintenant je fais la part des choses et suis prête à accepter le premier pour aller vers l authenticité et l’union qui m’appelle . Ceci est une alliance entre moi et Dieu , le bien aimé . Le veritable Amour. Je cesse l idolatrie de l’homme et accepte la différence entre l’amour de deux êtres ici sur ce plan et l’évolution que cet amour permet de faire et l Amour de Dieu, la connection au plus haut de notre Être au delà de la dualité , du temps , de l’espace … 

    • leoguez

      Reply Reply 24 septembre, 2015

      Un choix difficile, c’est une question qui demande en effet réflexion. Je comprends aussi tes réserves. L’exotérisme religieux est un tuteur nécessaire à maintenir la droiture de la démarche ésotérique. Et ceci pour toute initiation à support religieux. ( Vers l’enseignement de René Guénon). L’ésotérisme sans support exotérique risque de nous mener à du folklore du new âge. Maintenant il y a un ésotérisme hébraïque universelle qui nécessite pas d’intégrer l’exotérisme via une conversion. Malheureusement cette approche n’est pas encore populaire. Il y a quelque Rav « courageux » qui ont commencé à ouvrir ce champs de partage. La difficulté est de rester dans un cadre traditionnel car trop d’ouverture ça « donne des courant d’air ». En tout cas c’est là que je pose mon intention. Rester dans le cadre de la tradition hébraïque universelle, ouvert à tous. Je me suis d’ailleurs lancé dans cette aventure à travers les voyages que j’ai organisé en Israël. Voir le site http://bnei-noah.blogspot.fr/ Je me suis arrêté en 2013, besoin de voir en meta-sophia le devenir de cette idée. Nous parlerons de tout ça lors de notre entretien. Elie

  • Geneviève GALINDO

    Reply Reply 18 septembre, 2015

    Bonjour Élie,
    J »avoue que je reste sur ma faim avec ce texte car chaque fois qu’une question m’interpelle, la réponse est que nous verrons cela plus tard. Notamment l’idée qu’il n’y aurait peut être au fond qu’un seul obstacle qui pendrait différentes formes. J’aime aussi l’expression que notre vie n’est que la métaphore du sens réel du vécu de notre âme. En effet, je suis tellement porteuse de l’héritage de mes lignées généalogiques, de secrets de famille que je ne comprenais pas le pourquoi de bons nombre d’événements qui m’arrivaient ou de cauchemars et aujourd’hui, je suis parvenue à lever le voile et à mettre de la conscience grâce à une personne qui nettoie les nœuds énergétiques de mes lignées. – j’ai longtemps cherché avant de trouver la bonne personne.-Je découvre alors que le monde de l’invisible est bien réel et qu’au delà de l’espace et du temps, nous sommes connectés les uns aux autres. Je suis connectée à ceux qui m’ont précédée mais également j’ai une responsabilité à l’égard de ce qui me succéderont. Est ce que le sens de tout cela ne serait pas de nettoyer l’énergie cosmique pour qu’elle retrouve sa lumière originelle ?
    Quant à la distinction que tu fais entre la quête du bonheur qui vise la paix et la quête de la connaissance qui oblige sans cesse à sortir de son confort, je ne suis pas d’accord. Pour moi, Au final, il s’agit de trouver la sérénité et la joie au cœur du plus inconfortable, inadmissible et impensable. C’est ce qui m’intéresse dans l’approche de la logothérapie..
    Au plaisir,
    Geneviève

    • leoguez

      Reply Reply 18 septembre, 2015

      Oui Geneviève, je comprend ton impatience et ta frustration. En effet, souvent je ne fait qu’ouvrir des chapitre pour éveiller le questionnement. Parfois je pose un graine de sens qui nous aiderait à cheminer vers une possible réponse. Pense que nous cheminerons ensemble pendant une année voir deux pour ceux qui iront jusqu’au bout de la formation. Nous avançons plus par le questionnement que par des réponses qui risquerait de fermer le chapitre sur vision. Je sais bien que la quête du bonheur est dans nos gènes, mais tu verras avec la logothérapie que ce qui apporte véritablement la sérénité et la joie est selon V. Frankl la voie vers le sens. Nous aurons à creuser en nous et à partager les voix de chacun et celle d’autres encore ces voix qui indique la voie vers le sens.
      Je ne fais qu’ouvrir les champs de réflexion dans les différents articles. Et j’entends bien qu’on puisse ne être d’accord. J’entends surtout qu’on puisse avoir une autre opinion ou une autre vision, ce qui permet de garder les différents possibles. Ce qui permet aussi comme dans les controverses talmudiques de dire face à deux visions apparemment différentes  » Ceci et cela sont des paroles vivantes ».
      Et le Sens devient, en tant que signifiant ou direction, « une voie pluriels » Et comme pour les autres articles c’est un sujet à développer.

  • Annie

    Reply Reply 12 septembre, 2015

    Merci pour cette analyse eclairante
    Oui nous sommes des etres complexes
    Je retiens le sens de sentir qu il faut faire differemment que d habitude quand l epreuve du pourquoi est la et nous interpelle!!
    Quand au decodage c est difficile

    • leoguez

      Reply Reply 18 septembre, 2015

      Oui Annie, le décodage n’est pas facile.
      C’est aussi l’objet de notre projet d’école, apprendre à connaitre certaines clefs de décodage, découvrir le sens derrière le voile des apparences. Comme je viens de répondre à Geneviève, je comprends que c’est peu être frustrant d’ouvrir un champs et de ne pas donner de réponse précises. Ceci est que le sens n’est pas une réponse qui vient de l’extérieure. Selon le RAMHAL ce que nous pouvons apprendre ce sont les principes généraux, ensuite chacun dois chercher le sens particulier par rapport à son histoire singulière. Ne connaissant pas la serrure à ouvrir,je propose de donner un trousseau de clefs, je propose aussi a apprendre à être serrurier pour construire ses propres clefs… Et pourquoi pas découvrir un passe partout qui ouvrirait toute nos portes.
      Oui je l’ai dit, Geneviève l’a soulevé : Et s’il n’y avait qu’un seul obstacle qui prendrait différente forme… Rendez-vous à la porte Daleth ?  » intéressant de voir que c’est le 4em commentaire valeur numérique de la lettre Daleth qui sera notre 4em porte du programme.
      Et si tu n’as pas accès à ce programme, pense que je partage certaines clefs dans le site https://kabbale26.wordpress.com/.
      Nous sommes dans une période de l’année propice au passage. Que les échanges que nous avons eu puissent t’aider à vivre ton propre passage. Elie

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