2018 Apprendre à aimer

Apprendre à aimer

Ce message à juste la longueur nécessaire pour filtrer les personnes pressés. A la fin de cet article où l’essentiel est le don de soi. je vous offre ma formation « compagnonnage de soi ».   Pour ceux qui l’on déjà lu, merci d’y revenir pour y remettre vos graines de sens dans ce jardin de l’espoir à jardiner ensemble.
Face à ce qui se passe en ces temps, la panique prend place, au risque de l’oublie qu’il y a un maître du temps qui lui gère l’événement pour nous aider à mieux comprendre ce qui se cache derrière. ( Au moment où je reprend cet article pour l’édition de mon prochain livre, nous vivons un moment d’obscurité mondial, et nous arrivons dans quelques jours à la fête de Pourim qui est un fête de joie en rapport avec la révélation du caché…
Je vous invite également à relire mon dernier article
https://coachingexistentiel.com/mes-verites-sur-le-coronavirus/
Je me permets de reprendre cette article écrit en 2018, qui a toute sa force d’actualité pour nous aider à mettre de la sérénité à chacun de ces moments qui annonce un passage.

Chaque temps du passage, les événements nous enseignent cette leçon qui est d’apprendre à aimer, c’est-à-dire apprendre à donner. Réitérer nos vœux de bonheur et de santé physique ainsi que spirituelle. Réussite et prospérité dans tout ce qui est juste.
Échecs et apprenti-sage dans tout ce qui est bon.
Échec mais non mat, car il y a toujours un petit pion qui peut devenir reine pour changer le cours des événements.
Quant aux moins bons, depuis que je regarde le ciel, je n’ai jamais vu de nuages qui ne passent pas, j’ai même appris que c’est le vent qui les fait passer lorsqu’ils ont terminé leur ouvrage nécessaire à la vie. J’ai même appris que le soleil lui aussi continue à mener à bien sa mission, qu’il pleuve, ou qu’il vente. Et cela fait maintenant presque 72 ans que je regarde le ciel. Même durant la nuit, les étoiles brillent, et phénomène incroyable, plus la nuit est sombre, plus les étoiles sont visibles. Le problème est que dans nos nuits sombres, on cherche à éclairer notre vie avec des lampadaires de l’extériorité alors qu’il y a une lampe dans notre âme qui n’attend qu’un petit geste de notre part pour éclairer le monde.

A l’heure du bilan, si le ciel est sombre, il nous faut apprendre à redresser ce qui a été tordu, jeter le superflu, élaguer les mauvaises herbes, et planter les graines de sens apprises dans nos jardins des utopies. Si le ciel est bleu, on y voit plus clair, trop clair parfois au risque de voir l’oublie du sens caché derrière les apparences.  Aussi soyons vigilant pour éviter que la poésie soit prisonnière de l’éphémère.

Dans le bleu de mon âme, j’ai remarqué que mes utopies ont été plus facilement réalisé que mes projets basiques. Ce n’est pas toujours là où on les attend, mais un jour ou l’autre par le fait de je ne sais quel hasard, la synchronicité joue son rôle lorsqu’on se retire un peu pour laisser place à la Présence caché.

Reprenons nos leçons de sagesse, « je suis maître de mon agir, mais pas des résultats.
Je suis responsable des réponses que je donne à ce que je vie, même quand la vie ne va pas dans le même sens que ce que je souhaite.
Apprenons la gratitude de ce que nous recevons pour contre balancer l’amertume de ce qui nous manque à recevoir.
Ce que j’ai appris dans ma vie, c’est que le manque à recevoir est souvent comblé par l’attitude du désir à donner. Et ce désir à donner est si facile à réaliser car le don de soi n’est pas dans la balance de ce je possède.
Dans notre tradition, on associe toujours les vœux d’une bonne année douce comme une pomme au miel, au souci de réparer nos erreurs. Je n’ose ici vous partager toutes ces erreurs tant dans mes relations, dans ma communication, ou dans mon travail, puisque j’écris là où se partage la multiplicité des relations, de « l’âmi » aux passants qui tombe par « hasard » sur un de mes écrits.
Parfois, je jette une bouteille à la mer, je dirais même un tonneau plein de vins de saveurs différentes pour que celui qui l’ouvre puisse trouver parfum à son goût.

Avant de parler de ces futures utopies que nous devons réaliser avec l’aide de la Présence. Je remercie ceux qui savent lire entre les lignes, malgré mes « fôtes d’orthograves ».  Gratitude à ceux qui découvre dans mes « jeux de maux », l’essence caché derrière les contre-sens.

Merci à ceux qui sont encore là, et à ceux qui nous reviennent, et qui décideront d’être acteur de leur vie. Puis aussi de s’investir dans un projet- sens du « Tikoun-Olam », réparation universelle, pour être également acteur de changement pour un monde meilleur.   Peut-être en relisant ces phrases, vous n savez pas trop de quoi je parle. Les événements avenir, nous aiderons à mieux comprendre.

Par contre ce que je découvre avec merveille, c’est que de nombreux lecteurs, participent de près ou de loin à ce programme de réparation universelle. Et ceux qui me suivent dans ce projet-sens de « compagnon thérapeute », sont toujours là à soutenir cette soif de sagesse. Ils ont pu goûter de cette folie, qui nous vient du besoin de notre âme à retrouver la saveur des fruits du jardin de nos origines, là où la lumière était notre véritable source de vie. Ceux-ci savent qu’il est bon de partager cet espoir du retour.

Nous devons tous être vigilants face à cette faiblesse universelle que l’on nomme des achats compulsifs. La sagesse populaire nous dit qu’il nous faut en plus être « vigil-lent » sur cette autre maladie, du besoin compulsif de donner qui fait que parfois, on donne à celui qui n’a rien demandé. Aussi, s’il m’est possible de le dire ainsi, j’ose ajouter un vœu qui me vient des tripes ; Que cette maladie du don de soi compulsif puisse se répandre sur terre, le remède viendra du ciel qui nous donnera de quoi assouvir notre soif à donner, soif à aider notre prochain comme notre lointain, soif à aimer. Il faut oser le pari de s’investir dans un chemin non balisé, laisser libre cours à l’Un-connu prendre place dans le processus d’apprenti-sage pour nous apprendre à mieux donner.

Juste à comprendre qu’aimer n’est pas aimer ce que l’on aime pour soi. Aimer, c’est donner.
C’est dans ce sens que j’ai décidé de donner à ceux qui veulent aller plus loin et participer à mes recherche sur la sens de tout ça, ma formation « compagnonnage de soi » qui se trouve dans la partie « école du sens » de ce blog ( en reconstruction). Pour cela, pour ceux qui ne sont pas déjà inscrits, il vous suffit de inscrire aux modules d’introductions, en passant par la page d’accueil du blog. L’inscription se trouve à la deuxième page pour filtrer ceux qui sont motivé.

Voilà sur ceux je vais maintenant m’atteler à mettre en place le prochain programme informel, avec ceux qui ont oser le pari de s’investir dans un chemin non balisé, pour laisser libre cours à l’Un-connu prendre place dans le processus d’apprenti-sage pour nous apprendre à mieux donner.

Merci d’être là. Et de partageait ce qui vous vient, là maintenant. Sans crainte d’être jugé d’être trop aimant.

Ce texte a été écrit en 2018. Voici quelques commentaires qui à mon sens sont toujours d’actualité. Je vous invite à relire tous les commentaires et à déposer les vôtres dans ce blog en attente d’être remis à l’ordre du jour.